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Un 30e pour Pacioretty, une 40e pour le Canadien

Written By Unknown on Jumat, 27 Februari 2015 | 16.10

Le Canadien a défait les Blue Jackets 5-2, jeudi soir, à Columbus. C'était la 40e victoire de la saison du Tricolore.

C'est la première fois depuis 1992-1993 (année de sa dernière Coupe Stanley) que le Canadien remporte une 40e victoire avant d'avoir subi 20 défaites.

Max Pacioretty est de plus devenu le premier joueur du Canadien depuis Vincent Damphousse à atteindre le plateau des 30 buts lors de trois saisons complètes consécutives..

P.K. Subban, Andrei Markov et Jacob De La Rose, deux fois, ont complété la marque pour le Canadien (40-16-5), qui a remporté ses trois matchs contre la formation de l'Ohio cette saison. Subban a également amassé deux mentions d'aide.

Brandon Dubinsky et Marko Dano ont riposté pour les Blue Jackets (26-30-4).

Carey Price, qui a paru faible sur le premier but des Blue Jackets, a effectué 25 arrêts, en route vers sa 10e victoire d'affilée à l'extérieur, un record d'équipe.

En l'absence de Sergei Bobrovsky, qui est blessé à l'aine, Curtis McElhinney a défendu tant bien que mal la cage des Blue Jackets. Il a conclu sa soirée de travail en ayant repoussé 22 tirs.

L'attaquant Devante Smith-Pelly a remplacé Christian Thomas dans la formation partante et disputé un premier match dans l'uniforme tricolore. Au sein du troisième trio, en compagnie de Brandon Prust et De La Rose, Smith-Pelly a bien paru, distribuant quelques bons coups d'épaule et s'assurant de ne pas mettre son équipe dans le trouble défensivement.

Un début de match endiablé

Subban a ouvert la marque à 1:49 en décochant un boulet de canon de la ligne bleue qui a terminé sa course dans la lucarne, au-dessus de la mitaine de McElhinney.

Dubinsky a créé l'égalité moins d'une minute plus tard en déjouant Price d'un tir des poignets anodin. Price aurait sans doute aimé revoir ce tir, le premier de la soirée des Blue Jackets. Sur la séquence, Dubinsky s'est écrasé lourdement contre la rampe derrière le filet du CH et s'est blessé au haut du corps. Il n'est pas revenu au jeu par la suite.

Le début de match endiablé n'était pas terminé.

Markov a porté la marque à 2-1 à 4:25 en acceptant une passe de David Desharnais avant de décocher un tir sur réception qui s'est faufilé entre les jambières du gardien des Jackets. Ça faisait trois buts en seulement tirs... et moins de cinq minutes de jeu!

De La Rose connaît son éclosion

Pacioretty a doublé l'avance des siens avec un peu plus de cinq minutes à jouer au premier engagement. Il a profité de la mauvaise couverture défensive de Ryan Johansen pour se faufiler dans l'enclave et décocher un tir sur réception qui a battu de vitesse McElhinney.

Corey Tropp croyait bien avoir rétréci l'écart en réalisant un but spectaculaire en milieu de deuxième période, sauf que la reprise vidéo l'a invalidé. Tropp a délogé avec son bâton la rondelle qui s'était immobilisée sur le dessus du filet de Price, alors qu'il était sur le dos, et il l'a ensuite frappée au vol au fond de la cage montréalaise.

De La Rose a porté la marque à 4-1 en faisant dévier au vol un tir de Prust au fond du filet de McElhinney, à 5:33 du dernier tiers. Il s'agissait du premier but de sa carrière, à son 12e match dans la LNH. Dano a riposté pour les Blue Jackets deux minutes plus tard en profitant de la mollesse du CH dans son territoire, mais c'était déjà peine perdue.

De La Rose a complété la marque en tirant dans un filet désert avec 17 secondes à jouer.


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À 100 jours de la Coupe du monde FIFA au Canada

La Coupe du monde FIFA 2015 commence dans 100 jours au Canada, avec le premier match présenté à Edmonton, le 6 juin, entre le Canada et la Chine.

La Ville de Montréal, une des six villes qui présentera des matchs, a souligné cette date, jeudi, avec une cérémonie sur les marches de l'hôtel de ville par une température froide.

L'équipe canadienne se prépare en participant début mars au Tournoi de Chypre. Elle a des ambitions après avoir remporté la médaille de bronze aux Jeux de Londres en 2012. Elle occupait en décembre 2014 le 9e rang du classement mondial FIFA.

Sylvie Béliveau a été l'entraîneure de l'équipe canadienne femmes, qu'elle a menée à la phase finale de la Coupe du monde de 1995. Elle est aujourd'hui responsable du programme de développement des jeunes à Soccer Canada.

« [Cette Coupe du monde au Canada] est une chance inouïe, car on sera en mesure de voir performer sous nos yeux, en direct, les meilleures joueuses au monde, explique Sylvie Béliveau à Radio-Canada Sports. 

« Ce que ça représente pour les joueuses, c'est de voir les standards : qu'est-ce que c'est que d'être la meilleure joueuse au monde ou parmi les meilleures joueuses au monde ? Qu'est-ce que le jeu offre dans ses tendances actuelles? Et pour les amateurs qui apprécient le soccer, on parle de joueuses qui sont accomplies, qui sont vraiment dans la performance, et qui offrent un spectacle. »

Sylvie Béliveau a vécu les touts débuts du soccer féminin canadien au niveau international et elle tient à saluer le travail de la FIFA afin de permettre aux femmes de viser le plus haut niveau.  

« On parlait il y a 20 ans, en 1995, d'une équipe nationale du Canada, sans équipe de relève. Il n'y avait pas d'équipe de jeunes, je parle des moins de 20 ans, des moins de 17 ans. La FIFA a mis en place des compétitions avant même qu'il y ait du soccer professionnel féminin, rappelle-t-elle.

« C'est grâce à ces compétitions que les équipes émergent, dans tous les pays du monde. S'il y a 129 équipes en 2015, c'est grâce aux compétitions que la FIFA a mises en place. »

La FIFA a eu mauvaise presse quand elle s'est montrée ferme sur le choix de la surface (artificielle) malgré la requête devant les tribunaux de certaines joueuses vedettes (qu'elles ont finalement abandonnée). Sylvie Béliveau comprend la démarche.    

« Je me mets dans la peau des joueuses qui travaillent pendant 4 ans pour arriver à un sommet de compétition, la plus importante dans leur carrière. Si elles s'entraînent tous les jours sur du naturel, explique Madame Béliveau, je peux les comprendre de dire : si ma meilleure performance doit être sur une aurface synthétique qui est différente de celle sur laquelle je joue à tous les jours, à ce moment-là, il y a une crainte de ne pas pouvoir être dans les meilleures conditions pour arriver à terme dans leurs performances et avoir une satisfaction.

« Mais qu'est-ce que l'avenir nous réserve? Est-ce que dans 20 ans on sera tous sur des surfaces artificielles? Je ne le sais pas. Certaines sont plus habituées à jouer sur des surfaces naturelles, mais aujourd'hui, les surfaces sont de plus grande qualité, rappelle-t-elle, et donc, ça nous permet de voir un beau jeu. Est-ce que les hommes joueront éventuellement un jour sur surface artificielle? C'est la question qu'il faut poser, et il faut la poser à la FIFA. » 

Remplir les stades pour aider le soccer féminin 

Six villes canadiennes accueillent les équipes de la Coupe du monde 2015: Moncton, Montréal, Ottawa, Winnipeg, Edmonton et Vancouver. L'objectif est d'attirer un total de 1,5 million de spectateurs dans les stades.

Le comité d'organisation a profité de cette journée des 100 jours pour lancer la vente de billets pour les matchs individuels, et dit avoir atteint 33 % de sièges vendus à travers le Canada.        

« Depuis 1991, j'ai fait toutes les Coupes du monde, et je sais ce que ça représente de voir les meilleures au monde performer, c'est un spectacle, rappelle l'ancienne entraîneure de l'équipe canadienne. Les femmes ont besoin du soutien de la population. C'est ce qui fait la différence, dans tout, le soutien financier, la croissance du sport à tous les niveaux. »

La bourse totale pour les équipes participant à cette Coupe du monde 2015 est de 15 millions de dollars. L'équipe gagnante recevra 2 millions de dollars. Lors de la Coupe du monde hommes en 2014, la bourse totale était de... 576 millions de dollars et l'équipe gagnante a reçu 35 millions.

« C'est le contexte économique, la Coupe du monde des hommes attire tellement de public, c'est le plus grand événement au monde, explique Sylvie Béliveau. Donc, je pense que les retombées sont équivalentes au marché. Le marché des femmes est encore méconnu, peu connu malheureusement.

« C'est sûr que je souhaiterais en tant que femme voir une équité éventuellement, mais je sais que c'est purement une question de marché et d'économie, mais si on veut changer ça, peut-être que le Canada peut initier un démarrage, lance Madame Béliveau, ou une remise en question si on remplit les stades, et aider à changer les mentalités.

« Rappelons qu'en 1999, les Américains ont reçu la Coupe du monde des femmes et ont rempli les stades. On parlait de records, on dépassait les 90 000 personnes dans le stade pour la finale, et malgré tout, on est encore derrière par rapport aux hommes. On est 15 ou 16 ans plus tard et on se retrouve avec une meilleure partie du marché parce que les bourses ont augmenté, mais ce n'est pas encore comparable aux hommes. »

Lors de la Coupe du monde femmes en 2011, l'équipe gagnante, le Japon, avait reçu un million de dollars. La bourse au vainqueur a donc doublé, alors que la bourse totale aux équipes est passée de 10 à 15 millions de dollars.

Le premier match de la Coupe du monde de 2015 opposera les Canadiennes aux Chinoises le 6 juin. Malgré la température froide de ce 26 février, les personnes impliquées dans l'organisation de l'événement étaient toutes d'accord pour dire que le 6 juin, c'est demain.      

« Les gens qui sont dedans à tous les jours espèrent tellement que ça va lever, que la compétition va être un succès, affirme Sylvie Béliveau. On a hâte, mais il faut transmettre un peu, être contagieux. Je souhaite vraiment que le public aille en grand nombre à la compétition, et après, que la meilleure équipe gagne, mais ça, ça ne nous appartient pas. »  


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Jonathan Bernier brille et les Leafs battent les Flyers

Jonathan Bernier a stoppé 47 des 49 tirs dirigés vers lui et les Maple Leafs ont défait les Flyers de Philadelphie 3-2, jeudi, à Toronto.

La victoire est survenue quelques heures après avoir échangé David Clarkson aux Blue Jackets de Columbus contre l'attaquant blessé Nathan Horton.

Le directeur général des Maple Leafs, Dave Nonis, s'est débarrassé du contrat de Clarkson, ce que plusieurs croyaient impossible à faire, en retour d'un joueur qui pourrait ne plus jamais jouer dans la LNH.

Les Flyers ont gaspillé une occasion de rattraper du terrain dans la course aux séries éliminatoires même s'ils ont dominé les Maple Leafs 49-17 au chapitre des tirs au but.

Phil Kessel et Tyler Bozak ont marqué sur des tirs à bout portant, chassant le gardien Rob Zepp de la rencontre. Steve Mason, de retour après une absence de deux semaines en raison d'une opération à un genou, a pris la relève et a cédé une fois contre neuf tirs. Zepp a accordé deux buts sur huit tirs.

Dion Phaneuf a battu Mason en troisième période pendant une supériorité numérique. Phaneuf était aussi de retour après avoir raté un mois en raison d'une blessure à une main.

Claude Giroux et Brayden Schenn ont rendu les choses intéressantes en fin de match, mais les Flyers ont finalement encaissé un deuxième revers de suite.


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« J'ai vu beaucoup de bonnes choses » -Michel Therrien

L'entraîneur-chef du Canadien Michel Therrien souhaitait que ses hommes connaissent un début de match sur les chapeaux de roue, et c'est exactement ce qu'ils ont fait dans le gain de 5-2 contre les Blue Jackets de Columbus, jeudi soir.

L'attaque du Canadien a donc généré 10 buts en deux matchs pour la première fois depuis ses duels contre les Kings de Los Angeles et les Hurricanes de la Caroline, les 12 et 16 décembre derniers. Une éclosion qui semble plaire à Therrien.

« Après notre très gros match à St. Louis (mardi), il fallait qu'on connaisse un très bon début de match, a-t-il fait remarquer. Et c'est ce qu'on a fait, en allant chercher l'avance en première période, sauf que ç'a été échevelé par la suite. Mais en général j'ai vu beaucoup de bonnes choses. »

Therrien a aussi trouvé de bons mots pour la performance de Jacob De La Rose, qui a enregistré les deux premiers buts de sa carrière.

« J'ai bien aimé ce que j'ai vu de lui ce soir, a déclaré Therrien. C'est toujours le fun de voir un jeune joueur de 19 ans marquer son premier but en carrière. Il joue avec confiance, et il est très responsable dans son positionnement avec la rondelle. Il ne forcera jamais le jeu. (...) Il ne se met pas souvent dans le trouble. »


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Deux sœurs en or

PRINCE GEORGE - Adriana et Ana Laura Portuondo Isasi rêvent d'être toutes deux décorées d'or olympique. En guise de répétition, elles ont chacune grimpé sur la plus haute marche du podium aux Jeux du Canada jeudi.

« On était toutes petites, on faisait de la gymnastique et on avait déjà cet objectif. On a vu les sœurs Williams avec des médailles d'or en tennis et on s'est dit qu'on y arriverait un jour », raconte Adriana, championne chez les moins de 70 kg.

La cadette, âgée de 17 ans, avait repris son calme après un combat final endiablé. « J'ai été plus agressive que d'habitude. Je n'étais plus moi-même », lance-t-elle, fière de sa victoire.

Ce combat, sa sœur l'a vécu tout aussi intensément aux abords du tatami. Ana Laura a crié, gesticulé et lancé des directives jusqu'à la manœuvre gagnante d'Adriana.

Une fois le résultat officialisé, Ana Laura a célébré de façon encore plus expressive qu'après sa propre conquête de l'or.

« Elle me fait tellement stresser. C'est pire que pour mes propres combats », admet l'aînée de 18 ans.

« Moi aussi je vire folle quand ma sœur se bat, admet Adriana. C'est parce que je ne peux rien faire, je me sens impotente. »

Les Jeux du Canada sont une des rares occasions où les deux Québécoises luttent sur les mêmes tatamis. Ana Laura, classée 36e au monde chez les moins de 78 kg, combat sur la scène internationale tandis qu'Adriana participe plutôt aux compétitions nationales.

Ana Laura a d'ailleurs disposé assez aisément de ses quatre adversaires à Prince George même si, pour les Jeux, elle se bat au-dessus de son poids, dans la catégorie des 78 kg et plus.

Entre leurs combats, les sœurs Portuondo Isasi se conseillent, s'écoutent et se motivent.

Séparées en âge par seulement 18 mois, elles entretiennent une relation assez égalitaire, aux dires d'Ana Laura. N'empêche, elle demeure la grande sœur sur au moins un aspect. « C'est mon modèle », confie Adriana.

« Elles veulent atteindre la perfection »

En plus de leur frangine, les Portuondo Isasi peuvent compter sur la présence rassurante de Fayçal Bousbiate à Prince George. Celui qui les entraîne depuis cinq ans au club de judo de Boucherville œuvre à titre de gérant de l'équipe québécoise.

« N'importe quel entraîneur veut travailler avec des filles comme elles, lance-t-il. Elles sont sérieuses. Elles travaillent fort, ne sont jamais satisfaites et veulent atteindre la perfection. C'est comme ça aussi à l'école et dans le reste de leur vie. »

Ana Laura et Adriana s'entraînent désormais au centre national, à Montréal. M. Bousbiate les supervise deux fois par semaine pour assurer la transition.

Il prédit une belle ascension pour Ana Laura, 3e des Championnats du monde junior en 2014. « Ce n'est pas quelque chose qu'on voit souvent, faire des médailles en Coupe du monde à 18 ans. Elle peut se classer dans le top 10 mondial en 2017 ou 2018, après les départs à la retraite de certaines judokas qui suivront les Jeux de Rio. »

« Adriana, elle, va devoir changer de catégorie de poids, poursuit l'entraîneur. Chez les moins de 70 kilos, les filles sont trop grandes, ça la désavantage. À 63 kilos, ça sera mieux pour elle. »

Pour les médailles olympiques simultanées, les sœurs visent les Jeux de Tokyo en 2020. Mais Ana Laura n'a pas l'intention d'attendre sa petite sœur pour se lancer dans l'aventure olympique. Elle veut s'envoler pour Rio en 2016.

Pour ce faire, elle devra surpasser Catherine Roberge, âgée de 33 ans et classée 13e au monde dans sa catégorie de poids. Un objectif ambitieux, qu'elle compte atteindre avant les Jeux panaméricains de cet été à Toronto.


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Patrick Kane sera absent pendant douze semaines

Written By Unknown on Kamis, 26 Februari 2015 | 16.10

L'attaquant vedette des Blackhawks a subi mercredi une intervention chirurgicale pour une fracture de la clavicule gauche.

Kane s'est blessé mardi soir à Chicago contre les Panthers de la Floride.

En première période, Kane a été victime d'un double-échec d'Alex Petrovic, près la bande. Il a perdu l'équilibre et son épaule gauche a encaissé le choc.

Le défenseur des Panthers a écopé d'une pénalité de deux minutes sur la séquence. 

Kane, qui partage le sommet du classement des marqueurs de la LNH avec Nicklas Backstrom, est aussitôt rentré au vestiaire, le bras replié contre son corps. 

L'Américain a pris part aux 61 matchs des Blackhawks cette saison. Il a marqué 27 buts et récolté 37 passes. 

La perte risque donc d'être très lourde pour les Blackhawks qui ne devraient pas pouvoir compter sur Kane avant la mi-mai, ou au 3e tour des séries éliminatoires


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Jeunes de coeur sur patins

Le reportage de Louis Lahaye Roy

Dans un aréna de Rimouski, les membres de la « Ligue de hockey des anciens jeunes » se rencontrent deux fois par semaine, dans une ambiance enjouée. La particularité de cette ligue? Elle compte notamment dans ses rangs des joueurs qui évoluent ensemble depuis quelques décennies.

La majorité des joueurs des Caps, la seule équipe de la ligue, ont plus de 60 ans. Certains d'entre eux se connaissent depuis l'époque des Feuilles d'érable, une équipe qui jouait dans une ligue de l'Est du Québec durant les années 1960 et 1970. 

En 2000, Doris Labonté a remporté la Coupe Memorial, le plus prestigieux trophée au hockey junior canadien, en tant qu'entraîneur-chef de l'Océanic de Rimouski. Après 30 ans de carrière, il continue à vivre sa passion.

« C'est un sport que j'ai pratiqué dans ma jeunesse tout le temps et avoir la chance et la santé d'être capable de jouer encore à ça, ce n'est pas facile plus tard, ce n'est pas évident. Il y a des gars de 77 ans ici. Je ne pense pas de me rendre à ça sur la glace, donc j'en profite », affirme-t-il.

À 77 ans, Claude Duguay s'est fixé comme objectif de jouer jusqu'à 90 ans. « C'est l'esprit d'équipe qui transcende toute la philosophie de notre équipe », soutient-il.


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Smith-Pelly devrait jouer jeudi, Gonchar et Parenteau non

La nouvelle acquisition du Canadien, Devante Smith-Pelly, se fait attendre. Il n'a pas participé à l'entraînement d'aujourd'hui à Columbus et ne joindra l'équipe
qu'en soirée.

Michel Therrien compte lui parler jeudi matin pour voir comment il se sent. « Mais en principe, il devrait jouer demain, » indique l'entraîneur-chef.

Therrien a, par ailleurs, confirmé que ni le défenseur Sergei Gonchar, ni Pierre-Alexandre Parenteau n'affronteront les Blue Jackets.

Les deux joueurs ont fait le voyage avec l'équipe. Gonchar a été blessé par David Clarkson, des Maple Leafs, le 14 février dernier. Parenteau a raté les 17 derniers matchs en raison d'une commotion cérébrale.

« C'est la pire blessure au hockey, dans le sport, » raconte l'attaquant. « N'importe qui prendrait un bras brisé avant une commotion cérébrale. Je suis content de m'en être sorti. »

Parenteau a subi une première commotion le 2 janvier. Puis à peine 13 jours plus tard, à son deuxième match de retour, il en a subi une deuxième. Le joueur jure que son retour au jeu n'était pas trop hâtif.

« La dernière fois, j'étais rétabli à 100%. C'est sûr que j'ai joué un peu de malchance à Ottawa quand je me suis blessé de nouveau. Mais là, on a suivi le protocole comme il faut. J'ai eu le feu vert des médecins. C'est une question maintenant de me remettre en forme. »

Pierre-Alexandre Parenteau aimerait revenir au jeu cette semaine. À l'entraînement de mercredi, il alternait avec Christian Thomas au sein du quatrième trio aux côtés de Bournival et Malhotra.

L'ailier droit ne croit pas être fragilisé par ces deux commotions et dit se sentir en confiance.

« J'ai eu une commotion de la même envergure il y a cinq ans, explique Parenteau. Quand je suis revenu au jeu, je me sentais bien. Si tu suis le protocole comme on l'a suivi ici à la lettre, il n'y a pas de problème. Tu ne penses même pas à ça. »

Michel Therrien n'a apporté aucun changement aux trois premières unités.

C'est Carey Price qui sera devant le filet du Tricolore. Il tentera d'améliorer son record établi mardi lorsqu'il a remporté un neuvième match de suite sur la route à St. Louis.

Le gardien du Canadien a battu l'ancienne marque d'équipe (8 matchs) établie par Rogation Vachon en 1968-1969.

Son vis-à-vis chez les Blue Jackets de Columbus sera Curtis McElhinney. Le numéro 1 Sergei Bobrovsky n'est toujours pas remis d'une blessure à l'aine.

Le défenseur Andrei Markov était le seul absent à la séance sur glace au Nationwide Arena mercredi.

Trios à l'entraînement:

  • Pacioretty-Desharnais-Gallagher
  • Eller-Plekanec-Galchenyuk
  • Prust-De La Rose-Weise
  • Bournival-Malhotra-Thomas/Parenteau

Défenseurs:

  • Subban-Weaver
  • Beaulieu-Gilbert
  • Tinordi/Gonchar-Pateryn

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Une victoire pour papa

PRINCE GEORGE - Jason Ho-Shue a une fois de plus eu une pensée pour son défunt père quand il a confirmé sa victoire en finale du tournoi de badminton. Histoire d'un jeune prodige au destin renforcé par la mort.

Ho-Shue a triomphé de la compétition de badminton masculin en simple des Jeux du Canada mercredi. À 16 ans seulement, il a régné sur un tournoi opposant les meilleures raquettes de 16 à 23 ans.

« Il serait très fier de moi, a commenté l'Ontarien à propos de son père. Mais il me dirait probablement que ce n'est pas suffisant, que je dois continuer et obtenir de meilleurs résultats. »

Ho-Shue a été guidé vers le badminton par son père, son premier entraîneur. Mais en 2011, le choc. Son père meurt d'un infarctus subi sur le terrain.

Jason prend quelques nécessaires semaines loin des raquettes et volants. Il se décide finalement à renouer avec sa passion et remporte ses premiers Championnats canadiens juniors. À 12 ans, il obtient l'or chez les moins de 14 ans en simple, en double et en double mixte... la première étape de son irrésistible ascension.

« Il a été ma motivation pour ne jamais lâcher. C'est pour lui que je suis revenu », confie l'humble adolescent.

« De ce que j'ai perçu, (la mort de son père) lui a fait réaliser que la vie est précieuse et qu'il n'y a pas de temps à perdre, explique l'entraîneur-chef de l'équipe ontarienne Andrew Dabeka, qui côtoie plus fréquemment Jason depuis deux ans.

« Il a développé sa motivation plus jeune que la plupart des joueurs. Habituellement, c'est à 15 ou 16 ans qu'ils décident de s'investir à 100% dans leur sport. Il démontre la maturité d'un joueur de 20 ans. »

Règne canadien

Jason s'est lancé dans la pratique de son sport sans retenue. Il a triomphé aux Championnats canadiens juniors chaque année depuis le tragique incident. Son dernier titre canadien en lice : celui des moins de 19 ans obtenu à 15 ans en 2014.

Puis, ce mercredi, cette victoire aux Jeux du Canada contre son compatriote ontarien Andrew D'Souza, classé 1er sénior au pays.

Jason n'a pas que remporté l'or face à D'Souza. Il a aussi vaincu une de ses idoles, de quatre ans son aîné, et prouvé que le gain signé à ses dépens plus tôt cette année n'était pas un accident.

La fiche entre les deux hommes est désormais de 2-2 cette saison. Au total, Jason n'a subi que 3 défaites en 2014-2015. « En  50 ou 60 matchs », estime-t-il. 

« Je prends chaque défaite comme une leçon, confie Jason Ho-Shue. Je me donne le temps de réfléchir à ce que j'ai fait de mal et je retourne à l'entraînement pour corriger mes erreurs. »

Vers le top 10 mondial

À sa première campagne sur la scène nationale sénior, Jason pointe au 5e rang général. Il vise la 2e position au pays dès l'an prochain. Mais avant, il espère participer aux Jeux panaméricains cet été à Toronto. Il a également les Jeux olympiques de 2020 dans sa mire.

L'entraîneur Andrew Dabeka, qui a pris part aux Jeux de Pékin comme joueur, voit grand pour le jeune Ontarien. « Il atteindra le top 10 mondial un jour. Il va continuer de s'améliorer et de prendre de la force physique. Il a beaucoup de potentiel à développer. »

Dans cet ambitieux développement qui lui est prédit, Jason conservera la mémoire de son père comme source inépuisable de motivation.

L'Ontario, puissance du badminton

L'Ontario a décroché 7 des 15 médailles attribuées à ce jour aux Jeux du Canada : un doublé or-argent en simple chez les hommes et les femmes ainsi qu'en double mixte et l'or en double masculin.

« La taille de notre population aide, concède d'entrée de jeu l'entraîneur-chef Andrew Dabeka.

« Sans vouloir porter préjudice à qui que ce soit, on a une grosse population asiatique dans la région de Toronto. Le badminton est très populaire dans l'Est de l'Asie. Traditionnellement, les familles asiatiques sont plus intéressées par ce sport que par le hockey par exemple. »

« À Markham, près de Toronto, il y a une trentaine de gros clubs de badminton. Ça a créé une atmosphère très compétitive qui a fait grimper le niveau de jeu rapidement ces dernières années. »


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La série de défaites des Flames de Calgary s'arrête à trois

En l'emportant 3-1 à East Rutherford, ils mettaient aussi un terme à une séquence de quatre victoires des Devils du New Jersey.

Comme la veille au Madison Square Garden, les Flames n'ont accordé qu'un seul but à leurs adversaires.Mais plutôt qu'être blanchis, ils ont trouvé trouvé quelques failles dans l'armure adverse.

Avec 14 secondes à écouler au deuxième tiers, Curtis Clencross a créé l'égalité 1-1 en déjouant Cory Schneider. Puis, Sean Monahan (21e) a dévié un tir de Mark Giordano à la 35e seconde du troisième vingt pendant qu'un Devil purgeait une pénalité.

Le but de T.J. Brodie dans la dernière minute a été compté en l'absence de Schneider, remplacé par un sixième attaquant. Karri Ramo a bloqué 26 tirs devant la cage albertaine.

Mike Cammalleri (23e) a inscrit l'unique but des Devils en première.

Les Flames resteront dans la région new-yorkaise jusqu'à vendredi, alors qu'ils affronteront les Islanders. Ce sera la troisième scale d'un voyage qui en compte sept.


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« Je suis prêt à jouer n'importe où » -Smith-Pelly

Written By Unknown on Rabu, 25 Februari 2015 | 16.10

Réactions de Devante Smith-Pelly (en anglais)

Le nouveau venu chez le Canadien de Montréal, Devante Smith-Pelly, s'est dit très heureux mardi de s'amener jouer pour un club canadien.

Le joueur est originaire de Scarborough, un arrondissement de Toronto. Il a indiqué lors d'une conférence téléphonique qu'il est bon ami avec Malcolm Subban, le frère de P.K. Il connaît aussi Nathan Beaulieu et Brendan Gallagher.

« J'ai parlé à mes parents et ils sont super excités de voir que je me joins à un club canadien, près de la maison, et mes grands-parents sont emballés aussi. Ils sont maintenant tous des partisans du Canadien de Montréal ! », a ajouté Smith-Pelly.

L'attaquant ontarien connaissait une saison difficile à Anaheim et lorsque questionné sur le sujet, il a tenté une explication: « Je ne sais pas trop ce qui ne fonctionnait pas. Les trios changent souvent chez les Ducks et c'est difficile pour certains joueurs de s'y faire.

« De mon côté, j'ai joué à l'aile droite toute ma vie et là, j'ai dû jouer davantage à l'aile gauche ou au centre qu'à droite. Tu commences à bien te sentir à une position et tu dois encore changer de place, c'est difficile de bien s'adapter dans ce temps-là. Personnellement, c'est une année un peu plus difficile. »

Smith-Pelly n'a récolté que deux points à ses 20 derniers matchs avec les Ducks.

Il rejoindra le Canadien à Columbus et devrait être en uniforme pour le match de jeudi contre les Blue Jackets.

Son style correspond à ce qu'une équipe recherche chez un joueur de troisième ou quatrième trio.

« Je travaille fort tous les soirs, a-t-il dit. Je connais le plus de succès quand je termine mes mises en échec. C'est ce que je compte apporter à la formation et j'espère aussi pouvoir apporter une contibution offensive.

« Je vais remplir le rôle que les entraîneurs voudront bien me confier. Je suis prêt à jouer à n'importe quelle position. Je ne sais pas trop de quelle façon est bâtie leur formation, mais peu importe où l'entraîneur voudra me faire jouer, je crois que je pourrai apporter ma contribution. »


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Galchenyuk fait sentir sa présence à son retour au jeu à Saint Louis

Absent des deux derniers matchs , Alex Galchenyuk a inscrit deux buts et récolté une passe dans un gain de 5-2 du Canadien. 

Le Canadien et les Blues disputaient leur 60e match de la saison. Carey Price faisait face à Jake Allen, vainqueur à ses six départs précédents

Prudence de mise en 1ere

Utilisé pour la première fois de la saison à l'aile droite (dans un trio complété par Tomas Plekanec et Lars Eller), Alex Galchenyuk a redirigé un tir de P.K. Subban à la 15e minute de jeu, pour son 17e but de la saison. 

Le Canadien menait donc 1-0 après la première période.

Les écluses s'ouvrent en 2e

À la 4e minute du 2e tiers, Galchenyuk a profité de la générosité du gardien des Blues. Allen était déjà agenouillé quand le numéro 27 lui a offert un tir dans la partie supérieure d'un angle presque impossible.

Le capitaine David Backes a ensuite atteint la vingtaine de buts cette saison pour réduire l'écart à 2-1.

Les hommes de Michel Therrien ont aligné deux succès en moins d'une minute. D'abord Brendan Gallagher, qui a réussi son 16e à la faveur d'une attaque à deux contre un où David Desharnais lui servait d'appât. Et puis, Michaël Bourvival, auteur d'une splendeur au bout d'une échappée créée par une passe magique de Galchenyuk. 

C'était 4-1 Montréal, mais le deuxième de la soirée de Backes a ramené le score à 4-2 et c'est ainsi qu'a pris fin le deuxième vingt.

On consolide les acquis en 3e

Le Canadien a accentué sa domination en 3e période, obtenant les meilleures occasions et le seul but de l'engagement. 

Max Pacioretty et Brandon Prust aurait pu être crédités d'un ou deux buts et sans que personne ne crie à l'injustice.

C'est Gallagher qui a fermé les livres avec son 2e du match, celui-ci inscrit en supériorité numérique.

Après cette victoire de 5-2, le Canadien se dirigera à Columbus où il affrontera les Blue Jackets jeudi.


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« Je n'ai jamais vraiment compris mon rôle à Montréal » -Jiri Sekac

D'abord secoué d'apprendre qu'on l'avait échangé, l'ex-attaquant du Canadien était beaucoup moins avare de commentaires en fin de journée sur le site des Ducks.

Quelques heures après l'annonce de la transaction qui l'a fait déménager à Anaheim, le Tchèque était plus en mesure de faire part de ses observations sur son court séjour à Montréal. Et l'honnêteté tout autant que la franchise transpire de ses propos. Peut-être aussi un soupçon d'amertume.

« Pour être honnête, je n'ai jamais vraiment compris quel était mon rôle à Montréal, lance-t-il d'entrée de jeu. Quand tu changes constamment de trio, ton jeu est en montagnes russes. Et tu perds confiance. »

Sekac souligne la différence de style entre les Ducks et le Canadien qui pourrait lui permettre de retrouver sa touche. « Le jeu du Canadien est axé sur la défense et souvent, on ne marquait qu'un ou deux buts par match. Ça complique les choses pour les joueurs de 3e trio avec des missions défensives. Je pense que ça s'est quand même assez bien passé à Montréal. J'ai eu mes occasions, mais je n'ai pas pu en profiter. J'ose croire que c'est ce qui va changer avec les Ducks. »

Jamais repêché dans la Ligue nationale de hockey, l'attaquant s'était amené à Montréal à titre de joueur autonome cet été, après avoir joué au hockey professionnel en République tchèque et dans la Ligue continentale de hockey.

Joueur autonome issu du hockey professionnel européen, Sekac maintient qu'il ne regrette pas son choix d'être venu dans la métropole canadienne, Joueur autonome issu du hockey professionnel européen, son aventure nord-américaine bifurque six mois à peine après qu'il l'eut entreprise. « Je n'ai jamais voulu quitter Montréal, mais maintenant que je suis un Duck, j'ai hâte de jouer pour eux. »

Sekac n'aura pas à attendre longtemps avant de renouer avec ses anciens coéquipiers. Le Canadien sera à Anaheim le 4 mars prochain.

« Ce sera un peu étrange, a-t-il noté. « Je n'ai jamais été échangé, je ne sais pas comment je vais me sentir. Ce sont des amis hors de la glace, mais pas sur la patinoire. Je vais maintenant travailler pour ma nouvelle équipe et ne pas regarder derrière. »


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« J'ai aimé son implication » -Michel Therrien

Après la victoire de 5-2 du Canadien à Saint Louis, Michel Therrien n'a pas hésité à lancer des fleurs à Alex Galchenyuk, réalisateur de deux buts et une passe.

« J'ai aimé son implication, d'un point de vue offensif surtout, a noté Therrien qui a utilisé Galchenyuk autant à l'aile droite qu'à l'aile gauche et au centre. C'est sûr que de l'avoir sur l'un de nos deux premiers trios, ça change la donne. Donc j'ai bien aimé sa façon de se comporter à son retour au jeu. »

Brendan Gallagher, deux fois, et Michaël Bournival ont aussi marqué pour le Canadien (39-16-5), premier dans l'Association de l'Est. Andrei Markov et P.K. Subban ont amassé deux mentions d'aide chacun.

« On est très satisfait de leur progression, a ajouté Therrien, à propos de Galchenyuk et Gallagher, qui approchent du plateau des 20 buts cette saison. Ce sont des jeunes vétérans qui jouent avec beaucoup de confiance. »

Le capitaine David Backes et T.J. Oshie ont riposté pour les Blues (38-18-4), qui n'ont remporté que quatre de leurs neuf derniers matchs.

Carey Price a éclipsé la marque de Rogatien Vachon établie lors de la saison 1968-1969 en enregistrant une neuvième victoire consécutive à l'extérieur du Centre Bell. Il a complété sa soirée de travail avec 27 arrêts.

Son vis-à-vis, Jake Allen, a repoussé 18 tirs dans la défaite.

L'attaquant Devante Smith-Pelly, qui a été acquis des Ducks d'Anaheim mardi matin en retour de Jiri Sekac, n'était pas de la formation partante. Il pourrait revêtir son nouvel uniforme jeudi contre les Blue Jackets à Columbus.

Une expérience à répéter?

Galchenyuk, qui a effectué son retour dans l'alignement du CH après avoir raté les deux dernières rencontres en raison d'un virus, a participé à une expérience concoctée par l'entraîneur-chef Michel Therrien. Il a évolué de façon sporadique à la droite d'un trio piloté par Tomas Plekanec et complété par Lars Eller.

« C'était bien de le voir évoluer sur le flanc droit, il avait l'air à l'aise », a commenté Gallagher.

Ses deux réussites ne sont toutefois pas attribuables à cette décision puisqu'il a fait vibrer les cordages de l'enclave et de l'aile gauche, respectivement. Galchenyuk a d'abord ouvert la marque à 13:22 en faisant habilement dévier un tir du point d'appui droit de Subban derrière Allen.

L'Américain a doublé l'avance des siens à 3:11 de la période médiane en surprenant le gardien des Blues d'un tir des poignets anodin du coin de la patinoire. Plekanec fut son complice, lui qui venait de remporter la mise en jeu en territoire offensif quelques secondes plus tôt. Backes a réduit l'écart à 2-1 trois minutes plus tard en complétant une belle manoeuvre à trois joueurs.

Trois buts en deux minutes

Ç'a mis la table pour une séquence complètement folle au cours de laquelle trois buts ont été échangés en moins de deux minutes.

Gallagher a d'abord redonné un coussin de deux buts aux Montréalais en trompant la vigilance d'Allen d'un tir des poignets vif lors d'une descente à deux contre un en compagnie de David Desharnais, à 15:49.

Moins d'une minute plus tard, Bournival a porté le score à 4-1 en profitant d'une échappée pour déjouer Allen d'un tir des poignets dans la lucarne, du côté de la mitaine.

Oshie a couronné cette séquence offensive en déjouant Price d'un lancer frappé de la ligne bleue, à 17:45.

Gallagher a cloué le cercueil des Blues en récupérant un retour de lancer dans l'enclave, en avantage numérique, à 15:47 de la troisième période.


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L'Impact fait match nul 2-2 contre Pachuca

L'Impact a fait match nul 2-2 contre Pachuca au match aller de son quart de finale de la Ligue des champions de la CONCACAF, mardi, et est en bonne posture pour le match retour, qui aura lieu mardi prochain au stade olympique de Montréal.

Dilly Duka a été la grande vedette du Bleu-blanc-noir avec un doublé. S'amenant vers le haut de la zone de penalty, Duka a d'abord battu Oscar Perez avec une frappe d'un bel angle au sol à la droite du gardien, à la 25e minute.

Quinze minutes plus tard, il est passé bien près de doubler l'avance avec un tir à bout portant. C'est finalement à la 53e minute qu'il a concrétisé le doublé, sur le retour d'une belle charge de Justin Mapp.

Heriberto Olvera a toutefois réduit l'écart quatre minutes plus tard, sur un coup franc, puis Ariel Nahuelpan a créé l'impasse à la 68e, de courte distance.

Les dernières minutes du temps régulier ont donné lieu à quelques gestes hasardeux. Ignacio Piatti de l'Impact et Aquivaldo Mosquera du club local ont reçu des cartons jaunes, d'ailleurs.

Le onze montréalais se trouvait au Mexique depuis le 8 février, pour tenter de s'acclimater aux 2400 mètres d'altitude.

Pachuca avait déjà joué quelques matchs cette saison, montrant une fiche de 3-3-1. En première division mexicaine, ils se trouvent au 10e rang sur 18 clubs.


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Ceux qui ont marqué la première semaine et marqueront les prochaines années

Written By Unknown on Senin, 23 Februari 2015 | 16.10

PRINCE GEORGE - La première semaine des Jeux du Canada s'est conclue avec la victoire de l'équipe du Québec sur l'Ontario au hockey féminin, vendredi. Coup d'œil sur quelques athlètes qui ont brillé durant la première semaine et qui forment l'avenir du sport amateur au pays.

La délégation du Québec trône au sommet du classement des médailles avec une récolte de 83 médailles, dont 35 en or. Elle est loin devant l'Ontario, 2e avec 44 podiums. Conséquemment, les athlètes québécois occupent une place prépondérante dans le palmarès qui suit.

Québec :

  • Béatrice Lamarche, 16 ans, courte piste

L'équipe de courte piste est l'incarnation de la domination du Québec. Dans ce cas, on parle de suprématie. Les Québécois ont remporté la totalité des 24 médailles individuelles et ont signé des victoires aux relais masculin et féminin.

Dur de nommer un seul patineur dans un groupe aussi talentueux. Chez les hommes, la parité est grande; les cinq patineurs ont atteint un podium individuel. Chez les femmes, Rosalie Tremblay et Béatrice Lamarche se détachent du lot. La dernière, âgée de 16 ans, a impressionné avec l'or au 1000 m et au 3000 m ainsi que l'argent au 500 m et 1500 m.

« Mon objectif était de remporter deux médailles, donc je suis très contente. Ça m'a montré que je suis capable d'être bonne également en courte piste », s'est réjouie celle qu'on pressentait plutôt comme une patineuse de longue piste. Elle a maintenant comme objectif de participer aux Mondiaux juniors tant sur courte que sur longue piste.

  • Geanne Blais-Dufour, 19 ans, patinage de vitesse

À l'anneau extérieur de Prince George ou à l'anneau couvert de Fort St. John, Geanne Blais-Dufour a brillé. L'or au 1000 m, au 1500 m et à la poursuite par équipe, l'argent au 3000 m et le bronze au 500 m : une semaine bien remplie pour la patineuse de 19 ans.

« C'est une des meilleures compétitions de ma carrière, reconnaît-elle. J'étais bien concentrée à toutes les épreuves. J'ai visualisé mes courses et ça a fonctionné. Je suis très fière. »

Blais-Dufour vise maintenant à intégrer l'équipe nationale pour participer au circuit des Coupes du monde aux côtés des Laurent Dubreuil et autres étoiles canadiennes du longue piste.

  • Valérie Gilbert, 16 ans, ski acrobatique

L'équipe de ski acrobatique québécoise s'est également illustrée en remportant 7 des 12 médailles aux épreuves de bosses. Valérie Gilbert est montée sur la première marche du podium aux bosses et aux bosses en parallèle.

« Je suis très contente, s'est-elle exclamée après sa deuxième victoire. C'est tellement gros les Jeux du Canada, c'est vraiment officiel. Être sur la première marche du podium deux fois, c'est vraiment un beau sentiment. »

L'athlète de 16 ans poursuit sa saison de Coupe Nor-Am. Elle occupe le 15e rang sur ce circuit, mettant en vedette la relève mondiale (principalement nord-américaine).

  • Félix Dolci, 12 ans, gymnastique

À 12 ans seulement, Félix Dolci a marqué les Jeux du Canada avec un palmarès impressionnant : l'or à la poutre et au cheval d'arçon, l'argent au sol, au concours multiple individuel et au concours par équipe.

« Je suis fier, a lancé celui qui s'était donné d'ambitieux objectifs. Ça me donne une dose d'énergie pour continuer à m'entraîner. »

Le jeune homme, étudiant en sports-études à l'école secondaire St-Exupéry à Montréal, vise les Jeux olympiques de 2020 à Tokyo et il ne ménage pas les efforts pour y parvenir. Il s'entraîne une trentaine d'heures par semaine.

Chez les femmes, la Québécoise Rose Woo a également épaté la galerie avec l'or à la poutre, au concours multiple individuel, au concours par équipe, l'argent aux barres asymétriques et le bronze au cheval-sautoir.

Ontario :

  • Justin Karstadt, 17 ans, gymnastique

L'Ontarien a beau avoir l'avantage d'être cinq ans plus vieux que Dolci, son rival québécois, il est tout de même parvenu à remporter le concours multiple individuel, une de ses quatre médailles d'or avec celles au cheval d'arçon (à égalité avec Dolci), au cheval-sautoir et au concours par équipe. Il a ajouté une médaille de bronze aux barres parallèles.

« C'est énorme pour moi. C'est ma plus grande victoire », a commenté Karsadt, 17 ans.

Sa préparation a été compromise par une blessure au poignet gauche deux semaines avant les Jeux. « Mes parents et entraîneurs m'ont fourni un appui précieux pendant ce temps. Je me suis assuré d'être prêt à 100 % mentalement à défaut de l'être physiquement. »

Justin bénéficiera, à compter de l'automne prochain, d'une bourse pour étudier et pratiquer son sport à l'Université du Minnesota. Il prévoit terminer ses études en kinésiologie en 2019 et espère participer aux Jeux olympiques de 2020.

  • Leilani Tam von Burg, 19 ans, biathlon

L'Ontarienne, Québécoise d'origine, s'est montrée dans une classe à part dans les épreuves individuelles. Elle a remporté l'or au 12,5 km et au 7,5 km sprint, en plus de l'argent à la poursuite de 10 km.

Âgée de 19 ans, elle a les Mondiaux juniors 2016 dans sa mire. « Les pays européens sont vraiment forts en biathlon, mais je vise une médaille. »

Elle souhaite ensuite intégrer l'équipe sénior pour rejoindre le circuit de la Coupe du monde. Elle aimerait participer aux Jeux olympiques de 2018 à Séoul même si « 22 ans, c'est jeune en biathlon ». « Je préfèrerais faire ça le plus vite possible pour ne pas être trop vieille quand viendra le temps de terminer mes études et travailler. »

Colombie-Britannique :

  • Elena Gaskell, 13 ans, ski acrobatique

À 13 ans seulement, Elena Gaskell s'est imposée comme la reine du parc à neige. Au slopestyle, elle était clairement dans une classe à part, enchaînant ses spectaculaires manœuvres sans crainte et avec une aisance surprenante. Elle a terminé avec un total de 77,70 points, soit 16 devant sa plus proche poursuivante.

Gaskell, qui a également remporté l'or au grand saut (Big air), peut légitimement rêver aux Jeux olympiques. Si ce n'est pas en 2018, où elle n'aura que 16 ans, ce devrait être en 2020.

  • Teal Henderson Harle, 18 ans, ski acrobatique

Les épreuves disputées dans le parc à neige ont également été l'affaire d'un skieur britanno-colombien chez les hommes. Teal Henderson Harle, âgé de 18 ans et originaire de Whistler, a remporté l'or tant au grand saut (Big air) qu'en slopestyle.

  • Sara Spence, 19 ans, patinage de vitesse

La patineuse de 19 ans de Kamloops a impressionné aux épreuves de longue piste avec une faste récolte.

Spence s'est emparée de l'or au 500 m et au 3000 m, en plus d'obtenir l'argent au 1500 m et à la poursuite par équipe. Elle a également ajouté deux médailles de bronze.

Yukon :

  • Nadia Moser, 17 ans, biathlon

Le Yukon compte trois médailles au terme de la première semaine d'activité. Elles pendent toutes au même cou, celui de Nadia Moser. L'athlète de Whitehorse a remporté l'argent au 12,5 km ainsi que le bronze au 7,5 km sprint et au 10 km poursuite.

« Je suis surprise. Je ne m'attendais pas à gagner de médaille. D'être la seule à avoir gagné des médailles pour le Yukon, je ne peux y croire. »

Ces bons résultats ne changent rien à son objectif principal : participer aux Mondiaux juniors.

Alberta :

  • Searik Markle, 17 ans, ski acrobatique

L'Albertaine Searik Marlke s'est imposée comme la dauphine de Valérie Gilbert en bosses. Elle a pris l'argent derrière Gilbert aux bosses et aux bosses en parallèle.

Sur le circuit Nor-Am, elle occupe le 24e échelon.


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Beinfeito et Filion raflent l'or, Abel et Ware, le bronze

Les Québécoises Meaghan Benfeito et Roseline Filion ont remporté l'épreuve synchronisée de la plateforme de 10 m, dimanche, au Grand Prix de Rostock en Allemagne.

Jennifer Abel et Pamela Ware ont ensuite mérité le bronze au 3 m syncro.

Les juges ont accordé 302,55 points au duo Benfeito-Filion. Elles ont ainsi devancé par quelques poussières les Chinoises Lin Jing et Suo Miya (301,56). L'équipe mexicaine de Karia Rivas et Alejandra Estrella a fini au troisième rang avec 294,30 points.

« Battre les Chinoises est la cerise sur la crème glacée, c'est certain, a réagi Filion. Nous avons eu une super bonne compétition, et elle a été le reflet de comment notre entraînement s'est passé cette semaine. Nous n'avions pas concouru ensemble depuis septembre, donc il était important pour nous d'avoir du succès ici.

« Nous avons vraiment eu de l'impact cette semaine, a-t-elle ajouté. Nous avons montré que notre entraînement va bien et que nous faisons beaucoup de progrès. Nous avons conservé la même liste de plongeons que la saison dernière et nous ajustons et polissons ces plongeons. »

Pamela Ware et Jennifer Abel ont obtenu un score de 284,34. Un score suffisant pour rafler le bronze au tremplin de trois m.

Elles n'étaient qu'à six centièmes de la deuxième place remportée par les Italiennes Tania Cagnotto et Francesca Dellapé (284,40).

Les Chinoises Qu Lin et Wu Chunting ont dominé l'épreuve avec 305,40 points.


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Nathan Beaulieu gagne constamment en confiance chez le Canadien

La patience du Canadien rapporte des dividendes dans le cas de Nathan Beaulieu.

Le jeune défenseur ne cesse de s'améliorer, et on dirait que d'avoir finalement réussi son premier but dans la LNH lui a donné des ailes. Il est tout simplement méconnaissable par rapport au mois d'octobre.

« C'est le meilleur match que je viens de le voir jouer »
, l'a encensé l'attaquant Max Pacioretty, à l'issue de la victoire de 3-1 du Tricolore contre les Blue Jackets de Columbus.

Beaulieu se met en évidence en l'absence des vétérans défenseurs Sergei Gonchar et Alexei Emelin, blessés. Samedi, il a vu plus de 23 minutes d'action dans un troisième match de suite.

Patinant avec énormément d'aisance, il a servi une passe chirurgicale à Pacioretty sur la séquence de son deuxième but, en plus d'obtenir deux tirs au filet et de bloquer six lancers des Blue Jackets.

« Il est tellement un bon patineur, il ne réalise pas combien il est un bon, a repris Pacioretty. J'espère qu'une performance comme celle qu'il vient d'offrir le lui fera réaliser. Il était le plus beau patineur sur la patinoire. Quand il joue avec confiance, c'est un pur délice de le voir à l'oeuvre et de jouer en sa compagnie. »

Beaulieu a reconnu qu'il a le sentiment que le jeu a ralenti, signe qu'il s'est adapté au rythme de la LNH, et que d'avoir marqué un premier but à son 65e match, mercredi dernier à Ottawa, lui a retiré un poids énorme sur les épaules.

« On me demande de jouer des minutes plus difficiles. Je sais que c'est le moment d'élever mon niveau de jeu. Je veux prouver à l'équipe que je peux être un joueur de premier plan », a-t-il déclaré.

L'entraîneur Michel Therrien a dit souhaiter que l'Ontarien âgé de 22 ans, premier choix du Canadien en 2011 (17e au total), poursuive dans cette voie et qu'il fasse preuve de constance.

« Il joue avec plus de sang-froid qu'en début de saison, a relevé Therrien. C'est un formidable patineur et ses prises de décisions sont meilleures. Nous voulons le voir afficher de la constance. Un joueur doit avoir confiance en ses moyens pour y parvenir. Et de la confiance, il en a présentement. »

Beaulieu ne fait pas que sortir de sa coquille sur la glace. Il est plus épanoui à l'extérieur et il occupe une plus grande place au sein du groupe.

« Nathan a beaucoup appris de Sergei Gonchar cette saison, a soulevé Pacioretty. Il se voit maintenant offrir la chance de se mettre en valeur, et il la saisit. Il doit continuer. Je ne suis pas inquiet parce qu'il possède une bonne attitude. »

D'abord les Blues

Après avoir aidé l'équipe à remporter deux matchs sur quatre la semaine dernière, Beaulieu et les autres jeunes joueurs ont une semaine de trois rencontres sur les bras.

Le Canadien recommence une autre semaine en allant jouer deux fois à l'étranger: à St.Louis face aux Blues, mardi, et à Columbus contre les Blue Jackets, jeudi. Il reviendra la compléter à Montréal, en accueillant les Maple Leafs de Toronto, samedi.

« Nous devons surmonter de l'adversité en raison des blessures, mais c'est très motivant de voir les jeunes accomplir du bon travail », a affirmé Pacioretty.

L'ailier gauche américain prend également les choses en main à l'attaque. Il cogne à la porte des 30 buts pour la troisième fois de sa carrière. Il possède même des chances légitimes d'atteindre la marque des 40 pour la première fois.

Le principal intéressé, qui s'est arrêté à 39 buts la saison dernière, dit ne pas accorder d'importance au plateau des 40 buts.

« Il n'y a rien d'impossible avec Max, a répondu à sa place le joueur de centre David Desharnais. Mais moins on va en parler, mieux Max va se porter », a-t-il glissé en arborant un large sourire.

Le Canadien devrait miser sur le retour au jeu du jeune Alex Galchenyuk, qui a raté les deux derniers matchs en raison d'un virus.

Il sera intéressant de voir lundi si Pierre-Alexandre Parenteau (commotion) rejoindra ses coéquipiers à l'entraînement.

Gonchar (haut du corps) doit reprendre l'entraînement cette semaine tandis que la date du retour d'Emelin (épaule) devrait se préciser.

En l'absence de Galchenyuk, Therrien avait jumelé le jeune Jiri Sekac et Lars Eller à Tomas Plekanec.

« Ils (Sekac et Eller) ont connu des hauts et des bas, a commenté l'entraîneur. Sekac a travaillé fort et il tente de faire de bonnes choses. Mais Eller, qui a dû s'adapter à une nouvelle position, a paru hésitant par moments le long des bandes. Mais globalement, il a bien travaillé. »


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Les Bruins en parfait contrôle à Chicago

Les Bruins de Boston (29-21-9) ont profité de leur passage dans la Ville des vents pour terrasser les Blackhawks de Chicago (35-20-5), dimanche. Les visiteurs ont triomphé 6-2.

Patrice Bergeron a sonné la charge dès la troisième minute de jeu. Le Québécois a enfilé l'aiguille sur une savante passe de Reilly Smith. Bergeron a du même coup atteint le plateau des 200 buts à son 717e match dans le circuit Bettman.

Le joueur de centre a ajouté deux mentions d'assistance à sa récolte au cours du deuxième engagement sur des filets de Dougie Hamilton et Smith. On lui a attribué la première étoile de la rencontre.

Les attaquants Loui Eriksson, Milan Lucic et Gregory Campbell ont inscrit les autres buts dans le clan des victorieux. Du côté des Blackhawks, Jonathan Toews et Bryan Bickell ont touché la cible.

Appelé en relève à Corey Crawford, qui a cédé 4 fois sur 14 tirs, Antti Raanta a tenté tant bien que mal de limiter les dégâts, mais en vain. Le gardien finlandais a flanché à deux occasions (14 arrêts).

Les hommes de Claude Julien pointent actuellement au 8e échelon de l'Association de l'Est, dernière place donnant accès aux séries. Ils renoueront avec l'action mardi, devant leurs supporteurs, contre les Canucks de Vancouver (34-22-3).


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La skip Jennifer Jones reprend le sommet

Pour la cinquième fois de sa carrière, Jennifer Jones s'est hissée sur la plus haute marche du podium au Tournoi des Coeurs Scotties.

Le Manitoba a vaincu l'Alberta 6-5 en finale, dimanche.

Dans le cas de Val Sweeting, la capitaine albertaine, il s'agit d'une deuxième défaite d'affilée au tour ultime de la compétition canadienne de curling féminin.

Jones, couronnée aux Jeux olympiques de Sotchi, n'a jamais eu à combler un retard au cours de l'affrontement. Elle a toutefois vu sa rivale niveler la marque à quatre occasions.

Avec un pointage de 5-5 après neuf bouts et la possession du marteau, les Manitobaines étaient très bien positionnées pour l'emporter. La skip Jones a saisi l'occasion qui s'offrait à elle et a marqué le point décisif sur un placement.

Le quatuor représentera donc le Canada aux Championnats du monde de curling féminin, qui se dérouleront du 14 au 22 mars à Sapporo, au Japon.

Jones a déjà été décorée d'une médaille d'or (2008) et de bronze (2010) aux Mondiaux.

Un baume pour Homan

La championne des éditions 2013 et 2014, Rachel Homan, n'est pas repartie bredouille de Moose Jaw, en Saskatchewan. Équipe Canada a décroché le bronze dimanche après-midi devant la favorite de la foule, Stefanie Lawton.

Homan et ses partenaires ont triomphé 7-5. Elles ont inscrit des doublés aux 2e, 4e et 7e bouts, avant de confirmer leur victoire avec un septième point au 10e.

Il s'agissait d'une reprise du match de samedi entre les équipes ayant conclu aux 3e et 4e échelons du tournoi à la ronde.


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Harvey médaillé de bronze au skiathlon de Falun

Written By Unknown on Minggu, 22 Februari 2015 | 16.10

Alex Harvey a remporté la médaille de bronze de l'épreuve de skiathlon (2 x 15 km) des Championnats du monde 2015.

Le fondeur québécois a terminé 3e grâce à un effort remarquable dans la dernière ligne droite, qui lui a permis de dépasser le Norvégien Didrik Tönseth.

« Je me suis vraiment battu, a réagi Harvey. Dans le "skate" [pas de patin], je prenais la tête pour ralentir le rythme, pas parce que ça allait bien. Je ne voulais pas me faire prendre dans les montées, car mes jambes étaient comme des briques, a admis Harvey. Mais j'avais vraiment de bons skis. Dans les descentes, je faisais attention à rester sur mes skis.

« L'ambiance était incroyable, je ne m'entendais pas souffrir, a-t-il précisé, à la blague. C'est une de mes plus belles courses. »

C'est le Russe Maxim Vylegzhanin qui a remporté l'épreuve en 1 heure 16 minutes 25 secondes et 9/10. Il a devancé au sprint le Suisse Dario Cologna, de 4 dixièmes de seconde.

Harvey avait passé la mi-course (transition) au 15e km en tête. Il a ensuite profité de skis très performants pour se maintenir dans le groupe de tête dans la deuxième partie de l'épreuve.

Il a fini avec un temps de 1h16:27,5, à 1,6 seconde du vainqueur, établissant un record canadien. Son compatriote Ivan Babikov a fini au 23e rang (1h19:09,7).

66 fondeurs participaient à l'épreuve. qui se disputaient en 6 boucles. Le skiathlon, d'une distance de 30 kilomètres, est divisé en deux segments de15 kilomètres que les fondeurs doivent parcourir en style classique et en pas de patin.

Rappelons qu'Alex Harvey avait fini le skiathlon olympique de Sotchi en 18e position.

C'était sa quatrième médaille durant des Championnats du monde (or en 2011 et bronze en 2013), sa deuxième à ceux de Falun, après sa médaille d'argent en sprint classique.

Alex Harvey ne participera pas à l'épreuve de sprint par équipe, prévue dimanche. 

« J'ai vraiment épuisé toutes mes ressources, alors demain, je vais prendre une journée de congé », a dit Harvey à la presse sur place. 

Dans le volet féminin du skiathlon, sur une distance plus courte, la Canadienne Perianne Jones a terminé au 37e rang.


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Michael Ciccarelli rafle l'or à Stoneham

Le planchiste canadien Michael Ciccarelli a réalisé la performance de la journée à l'épreuve de slopestyle de la Coupe du monde de Stoneham, samedi.

L'Ontarien de 18 ans s'est en effet invité sur la plus haute marche du podium, devant le Finlandais Janne Korpi et le Japonais Keita Inamura. Il s'est vu attribuer un pointage de 95,50 au tour décisif. Korpi et Inamura, eux, ont respectivement obtenu 91,00 et 88,25 points.

« À ma première descente, j'ai fait preuve de prudence pour bien réussir mes sauts. À la deuxième, j'ai bien réussi mon backside 12 sur le dernier saut. J'en suis très satisfait », a affirmé le vainqueur.

Ciccarelli n'avait pas été en mesure de se hisser sur le podium lors de ses neuf premières compétitions sur le circuit de la Coupe du monde de surf des neiges.

Le Canadien Matts Kulisek (57,50 points) a également pris part à la finale. Son pointage lui a valu le 7e rang. Le Britanno-Colombien Darcy Sharp, de son côté, a déclaré forfait en raison d'une commotion cérébrale subie dans la demi-finale. Il a finalement été relégué au 10e échelon.

Du côté des femmes, la Néerlandaise Cheryl Maas a poursuivi sa fin de semaine en or dans la région de Québec. Elle s'est imposée sur le parcours de slopestyle, comme elle l'avait fait vendredi sur le tremplin du big air.

Avec un total de 95,00 points, elle a devancé l'Américaine Jessika Jenson (90,50) et la Slovaque Klaudia Medlova (81,75).

Le meilleur résultat des représentantes de l'unifolié a été signé par la planchiste Laurie Blouin (65,25), qui a conclu en 6e position.

« C'est plate. J'étais à deux poils d'atterrir mon saut. Si je l'avais réussi, un podium était envisageable. Je suis contente d'avoir participé à la finale, mais j'en voulais davantage », a indiqué la native de Stoneham.

Autres résultats canadiens :

Hommes :

  • Tyler Nicholson -11e rang
  • Anthony Stefanizzi - 13e rang
  • Justin De Castris - 16e rang
  • Michel Grégoire - 19e rang
  • Max Eberhardt - 28e rang
  • Jordan Phillips - 30e rang
  • David Kinskofer - 31e rang
  • Andrew Matthews - 34e rang
  • Max Melvin-McNutt - Ne s'est pas élancé

Femmes :

  • Breanna Stangeland - 12e rang
  • Brooke Voigt - 13e rang
  • Audrey McManiman - 17e rang

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Pacioretty et Price s'occupent des Blue Jackets

La recette a été éprouvée et elle a permis au Canadien (38-16-5) d'accumuler les succès cette saison. Carey Price ferme la porte et Max Pacioretty s'occupe de l'attaque.

Le Tricolore a mis fin à une courte série de deux défaites, samedi. Les hommes de Michel Therrien ont pris la mesure des Blue Jackets de Columbus (26-28-3) 3-1, au Centre Bell.

Price a maîtrisé 31 lancers et Pacioretty a réussi 2 buts, ses 28e et 29e de la campagne. Tomas Plekanec a apposé le sceau sur la 38e victoire de l'équipe lorsqu'il a envoyé la rondelle dans un filet abandonné à 50 secondes de la fin de la rencontre.

Nick Foligno a été l'unique marqueur des Jackets, qui voient leurs espoirs d'accéder aux séries s'estomper petit à petit. Le gardien Curtis McElhinney a bloqué 21 lancers devant la cage des visiteurs.

Rapide sur la gâchette

L'entraîneur des Blue Jackets Todd Richards a mentionné vendredi qu'il arrivait trop souvent à ses troupiers d'amorcer les matchs lentement. Et c'est ce qui s'est passé dans la métropole québécoise.

Le Canadien, peu doué également cette saison pour les départs canon, a tôt fait de prendre l'initiative. Pacioretty a été vite sur la gâchette en marquant deux buts quasi identiques.

L'attaquant américain a d'abord fait mouche du flanc droit avec un tir à la réception de la passe d'Andrei Markov, au cours d'un jeu de puissance. Il a ensuite concrétisé la passe transversale du défenseur Nathan Beaulieu en dégainant d'un peu plus haut dans la zone des Blue Jackets.

Mais comme ç'a été le cas contre les Panthers de la Floride jeudi, les hôtes n'ont pas savouré leur avance de deux buts bien longtemps.

À 14 min 5 s du premier engagement, Foligno a été crédité du but des siens, à la suite de l'irrésistible charge d'Artem Anisinov, qui a pris de vitesse le vétéran Markov. La rondelle, que Price a initialement bloquée, a été dirigée dans le filet par son patin droit.

Tinordi, encore

Avant la fin de la période initiale, Jarred Tinordi a laissé tomber les gants devant Jared Boll, qui venait de rudoyer Christian Thomas. Le combat a davantage été une interminable épreuve de force. Aucun coup n'a véritablement été porté de part et d'autre.

Il s'agit du deuxième combat en autant de matchs pour Tinordi depuis son récent rappel de la Ligue américaine (LAH). À son retour sur la glace en deuxième période, le jeune arrière portait un protecteur facial complet.

Au deuxième vingt, le Canadien s'est accroché à sa priorité d'un but. Les visiteurs ont eu le meilleur 12-5 au chapitre des tirs et Price a vu la chance lui sourire à quelques reprises.

Cam Atkinson a cru avoir nivelé le pointage au moment où s'égrenaient les dernières secondes. Son tir des poignets a fouetté les deux poteaux verticaux.

En troisième période, le Canadien a résisté à trois attaques massives des Blue Jackets.


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Fognini se dresse devant Nadal

Fabio Fognini a privé les Brésiliens d'une finale entièrement espagnole, samedi, au tournoi de Rio de Janeiro. L'Italien s'est imposé 1-6, 6-2, 7-5 contre Rafael Nadal.

Dans l'autre demi-finale, la deuxième tête de série David Ferrer a pris la mesure de l'Autrichien Andreas Haider-Maurer en deux manches de 7-5, 6-1.

Avant ce duel, Fognini (no 4) n'avait jamais vaincu le spécialiste de la terre battue en quatre affrontements sur le circuit de l'ATP. Et tout portait à croire au terme de la manche initiale que Nadal (no 1) allait enchaîner une cinquième victoire d'affilée.

Fognini a toutefois élevé son jeu d'un cran en retour de service dans la deuxième manche, ce qui lui a permis de signer quatre bris, en route vers un gain de 6-2.

En avance 6-5 dans le dernier tiers, la 28e raquette mondiale a réalisé l'unique bris de la manche décisive. Au cumulatif, il en a réussi cinq en neuf tentatives.

« Je suis très heureux d'avoir joué contre le meilleur joueur au monde sur cette surface. Je me trouvais à un moment très difficile de ma carrière, car je ne jouais pas bien, mais le travail paye et je suis heureux », a déclaré le vainqueur.

Nadal a affiché un pâle ratio d'aucun as contre six doubles fautes sur sa surface favorite. Il n'a pas accédé à la finale de l'une ou l'autre des trois compétitions auxquelles il a pris part en 2015.

Pour mettre la main sur le quatrième titre de sa carrière, Fognini devra mettre un frein à une autre séquence noire. L'homme au tempérament colérique s'est en effet incliné sept fois en autant d'occasions devant Ferrer.

La finale féminine sera également disputée dimanche. Sara Errani (no 1) croisera la raquette avec la Slovaque Anna Schmiedlova (no 6).


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« Tout le mérite leur revient » - Max Pacioretty

Max Pacioretty a une fois de plus été le meneur de l'unité offensive montréalaise. Le principal intéressé a inscrit deux buts samedi dans une victoire de 3-1 contre les Blue Jackets de Columbus.

Les deux filets de l'attaquant américain ont été réalisés au cours du premier vingt, à la suite de savantes passes des défenseurs Andrei Markov et Nathan Beaulieu.

« Je retire une grande satisfaction de marquer sur de belles passes de mes coéquipiers. Tout le mérite leur revient, a affirmé celui qui compte 29 réussites cette saison. La première étoile de la rencontre a tenu à ajouter qu'il n'a pas en tête d'atteindre le plateau des 40 buts pour la première fois de sa carrière.

L'entraîneur-chef Michel Therrien, de son côté, croit que c'est en raison d'un effort collectif que ses protégés ont mis fin à une séquence de deux défaites.

« Tout le monde a contribué à la victoire à sa façon, a relevé le pilote du Tricolore. Nous avons connu un très bon début de match et nous avons par la suite bien géré notre avance. Nous avons reçu quelques bonds favorables en deuxième période. Une équipe a toujours besoin d'en avoir. »

Therrien a ensuite louangé le jeune arrière Nathan Beaulieu, qui a été le deuxième joueur le plus utilisé (23 min 45 s) derrière P.K. Subban (26:39).

« Nathan [Beaulieu] est appelé à jouer un rôle plus important en raison de l'absence de vétérans, et il gagne en confiance. C'est agréable de le voir progresser de la sorte. Il nous donne du gros hockey. »

Le Canadien et les Blue Jackets croiseront de nouveau le fer le jeudi 26 février prochain, à Columbus. Les Montréalais tenteront de balayer la série de trois rencontres, eux qui ont remporté le premier affrontement 3-2.


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Benfeito gagne l'or en Allemagne

Written By Unknown on Sabtu, 21 Februari 2015 | 16.10

Meaghan Benfeito a devancé deux plongeuses chinoises et remporté le Gand Prix de Rostock à la plateforme de 10 m, vendredi, en Allemagne.

La Montréalaise a gagné la compétition par moins d'un point. 

Benfeito a obtenu un pointage de 360.20 tandis que Lin Jung a récolté 359,40 pts. Suo Miya a terminé au 3e rang avec 337,65 pts.

« Je me sentais super bien avant ma finale. Je ne m'attendais pas à monter sur la plus haute marche du podium. Je suis vraiment contente, ça veut dire que les correctifs que j'ai faits fonctionnent bien. J'ai changé l'ordre de ma liste de plongeons », a commenté Benfeito.

Roseline Filion a raté le podium de justesse. La Montréalaise a amassé 332,10 pts. 

« Ma journée s'est bien déroulée en générale. Quand je suis arrivée en finale, j'étais prête. J'ai raté mon deuxième plongeon. Il m'a couté cher mais, je suis vraiment fière de ne pas avoir baissé les bras et d'avoir effectué trois beaux plongeons par la suite. C'est sûr que la quatrième place est toujours crève-cœur, mais je me suis bien relevée », a dit l'athlète de 27 ans.

Au tremplin de 3 m, chez les hommes, Philippe Gagné a été éliminé en demi-finale.


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Un après-midi au champ de tir

Des spectateurs costumés qui se déchaînent à chaque dégaine, des athlètes qui restent sur place durant toute leur compétition et des fusils futuristes : incursion dans le surprenant univers du tir à la cible.

Mettons cartes sur table en commençant : l'auteur de ces lignes ne connaissait absolument rien au tir à la cible quand il s'est présenté dans un gymnase de Prince George pour la compétition féminine de pistolet à air, jeudi.

D'entrée de jeu, l'enthousiasme de la foule détonne avec l'aspect solennel de la compétition. Les athlètes, ancrés à une dizaine de mètres de leur cible, enchaînent calmement des gestes répétés maintes fois, selon les directives de l'annonceur : « chargez, armez, tirez ».

Les spectateurs, eux, sont tout sauf posés. Cris, applaudissements, agitation de crécelles et de drapeaux : ils réagissent vivement chaque fois que, sur l'écran, apparaît la reproduction de la cible touchée par leur tireuse favorite.

C'est la première fois de leur histoire que les Jeux du Canada utilisent des cibles électroniques. Sur deux larges écrans, on peut voir où le plomb a été tiré, le nombre de points attribués au tir et l'évolution du tableau des meneurs.

« Ça ajoute beaucoup d'intérêt à un sport comme celui-là. Autrement, c'est comme regarder de la peinture sécher », rigole Susan Verdier, directrice technique de la Fédération du tir du Canada.

« Après une compétition, je suis brûlée »

Dans cette activité où la concentration fait foi de tout, les athlètes doivent se couper de l'ambiance que leurs bouchons ne parviennent qu'à amoindrir.

« C'est dur. Avec l'annonceur, tu entends les résultats des autres. Il faut faire fi de ça et se concentrer sur ce que tu fais, pas sur ce que tu vas faire ou ce que tu viens de faire », explique l'Albertaine Veronika Schulze, médaillée d'argent, jeudi.

En finale, les huit athlètes tirent d'abord huit plombs au terme desquels la moins bien classée est éliminée. Ensuite, une compétitrice tombe à chaque 2 tirs si bien qu'après 20 plombs, tirés sur une quarantaine de minutes, une gagnante est consacrée.

« Après une compétition, je suis brûlée, rapporte la médaillée de bronze, Jessica Auton. L'attention mentale dont tu as besoin, ça te vide. » La Britanno-Colombienne excelle lorsqu'elle manque de sommeil. Ainsi, elle se concentre plus facilement sur sa seule tâche : tirer.

Pour Jessica comme pour la plupart des athlètes rencontrées, le tir est une histoire de famille. Son grand-père l'y a initiée et depuis, ce sport est devenu son havre de paix. « C'est plus relaxant que la danse », lance cette ancienne danseuse.

Caroline Dion ne partage pas son avis. « Le stress. Combattre le stress... Quand on lève notre arme, notre bras tremble. Le plus difficile, c'est de contrôler ça. C'est pour ça que ma finale a été une catastrophe », renchérit la Québécoise, 7e du jour.

Les exercices de respiration sont cruciaux. Quelques accessoires peuvent également être utiles pour améliorer sa performance : des souliers spéciaux pour favoriser un meilleur équilibre et des lunettes masquant un des deux yeux. « Si tu fermes l'œil dont tu ne te sers pas, toute cette moitié de ton corps va se crisper », explique Jessica Auton.

Un sport, vraiment?

Le tir à la cible, est-ce vraiment un sport? Les tireuses en ont soupé de cette critique, fréquemment adressée au golf et au curling.

« On me l'a dit pas plus tard que la semaine passée avant de partir pour les Jeux, se souvient la Québécoise Audrey-Anne Le Sieur, 6e.

« Il faut l'essayer pour savoir que tout se passe dans la tête. Un sport n'a pas besoin d'être physique, fait valoir l'ancienne patineuse artistique. Si tu n'es pas dans le bon état d'esprit, ça va tout gâcher. »

Même si les bénéfices physiques sont moindres que pour d'autres sports, la pratique du tir à la cible a des effets positifs.

« Ça demande beaucoup de contrôle. Ça m'a appris à gérer mes émotions... ma rage, ma peine. Ça m'a rendue plus mature et ça a fait de moi une meilleure personne », estime la gagnante du jour, la Manitobaine Krista Hildebrand.

Dans cette optique, les tireuses sont bien attristées du retrait de leur sport du programme des Jeux du Canada pour 2019. Le tir à la cible faisait partie des disciplines optionnelles et n'a pas été retenue par le comité organisateur des Jeux de Red Deer en Alberta. 

« C'est bon pour les jeunes athlètes. C'est quelque chose dont on a besoin, estime Veronika Schulze. Ça m'a aidé à l'école. Tu apprends à te concentrer pour une certaine période de temps, comme à l'école. Ça m'a aussi appris d'importantes leçons de vie : rester dans le moment présent et avoir une attitude positive. »


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Cammalleri mène les Devils à un gain sur les Canucks

Mike Cammalleri a marqué deux buts et les Devils du New Jersey ont signé une victoire de 4-2, vendredi à Newark, face aux Canucks de Vancouver.

Jordin Tootoo et Patrik Elias ont également touché la cible pour les Devils, tandis qu'Adam Larsson a amassé trois aides. Cory Schneider a stoppé 21 tirs face à ses anciens coéquipiers et il a aidé les Devils à récolter au moins un point pour une 12e fois en 14 rencontres à domicile (9-2-3).

Zack Kassian a inscrit les deux buts des Canucks, qui sont passés bien près de niveler la marque en troisième période après s'être retrouvés en arrière 3-0. Radim Vrbata a obtenu deux occasions en or et Chris Higgins a aussi eu sa chance lors d'une supériorité numérique avant que Cammalleri ne confirme le résultat avec son 20e but de la saison, dans un filet désert.

Devant la cage des Canucks, Eddie Lack a accordé trois buts sur 26 tirs.


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Bienvenue dans la LNH, Malcom!

Les Blues ont malmené le gardien Malcolm Subban à ses débuts dans la Ligue nationale, vendredi à St. Louis, dans un gain de 5-1 sur les Bruins de Boston.

Vladimir Tarasenko, lui, est devenu le plus jeune membre des Blues en 23 ans à atteindre le plateau des 30 buts.

Petteri Lindbohm, Alex Pietrangelo et T.J. Oshie ont également touché la cible sur les trois premiers tirs des Blues en deuxième période, chassant ainsi le gardien recrue Subban du filet des Bruins et annulant la soirée de congé de Tuukka Rask. Ce dernier a participé à 25 des 26 derniers matchs des Bruins et il a renversé sa chaise avant de se rendre sur la patinoire.

Brad Marchand a été l'unique buteur des Bruins, qui ont subi un sixième revers d'affilée et qui ont été privés des services de David Krejci (bas du corps) pendant la majorité des deux dernières périodes.

Subban, le frère de PK chez le Canadien, est revenu dans la mêlée avec 4:06 à jouer et n'a pas fait face à un seul tir. Il était déjà trop tard pour les Bruins, qui ont chuté à 0-4-2 et qui connaissent leur pire série d'insuccès depuis une séquence de 0-6-4 en 2010.

Jake Allen a effectué 26 arrêts devant le filet des Blues. À l'autre bout de la patinoire, Subban a été crédité de trois arrêts, tandis que Rask a accordé deux buts sur neuf tirs.

Le 30e de la saison de Tarasenko a couronné la poussée de quatre buts des Blues en deuxième période et il a ajouté son 31e en troisième. À 23 ans et 65 jours, il est devenu le plus jeune marqueur de 30 buts des Blues depuis Brendan Shanahan, qui avait marqué son 30e à 23 ans et 63 jours en 1991-92.


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Jennifer Jones atteint la finale au Tournoi des Coeurs

La championne olympique Jennifer Jones a atteint la finale du Tournoi des Coeurs Scotties grâce à un gain de 8-6 contre l'Albertaine Val Sweeting, vendredi soir lors du match opposant les équipes ayant terminé au sommet du classement du tournoi rotation.

Jones avait terminé en tête du classement grâce à une victoire de 10-5 contre Sweeting en matinée, lors du dernier programme du tournoi rotation.

La skip manitobaine est revenue à la charge en soirée. Jones a inscrit quatre points dès le premier bout avant de voir son avance fondre. Sweeting a ramené la marque à 5-5 après sept bouts, mais Jones a été en mesure de reprendre le contrôle en fin de rencontre.

Dimanche, Jones aura l'occasion de mettre la main sur un cinquième titre canadien de curling féminin au cours de sa carrière.

De son côté, Sweeting aura une deuxième chance d'atteindre la finale, mais elle devra passer par la demi-finale, samedi. Elle retrouvera alors la gagnante du duel opposant la double championne en titre Rachel Homan à la Saskatchewanaise Stefanie Lawton, qui s'affronteront plus tôt dans la journée.

Homan a dû arracher une victoire de 6-4 à la Nord-Ontarienne Tracy Horgan vendredi matin afin de se tailler une place en éliminatoires.

Elle a réussi un vol de deux points au neuvième bout, ce qui a fait la différence dans un duel où la gagnante poursuivait son aventure et la perdante était éliminée. Cette victoire a permis à Homan de se qualifier pour le match entre les équipes qui ont terminé troisième et quatrième lors du tournoi rotation.

Lawton a défait Suzanne Birt, de l'Île-du-Prince-Édouard, 5-4 afin de terminer au troisième rang.

L'équipe championne du Tournoi des Coeurs représentera le Canada au Championnat du monde de curling féminin, du 14 au 22 mars à Sapporo, au Japon.


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Harvey, vice-champion mondial au sprint individuel

Written By Unknown on Jumat, 20 Februari 2015 | 16.10

Le reportage de Mireille Roberge

Alex Harvey a remporté l'argent du sprint individuel aux Championnats du monde de ski de fond de Falun, en Suède, jeudi.

« J'adore courir à Falun. Le parcours est très difficile et il exige un effort constant. Je suis tellement content », a déclaré le Canadien, qui compte quatre podiums dans cette station du centre de la Suède.

Dans une fin de course spectaculaire, le Québécois a comblé l'écart pour passer du troisième au deuxième rang et s'approcher dangereusement du meneur, Petter Northug. Le Norvégien a bouclé le parcours en 3 min 2 s 35/100.

Harvey, deuxième au sprint de la Coupe du monde d'Östersund le week-end dernier, a finalement terminé à cinq centièmes de Northug, auteur du premier titre mondial de sa carrière en sprint. Ola Vigen Hattestad, un autre Norvégien, a complété le podium en 3:02,7.

Les derniers moments de la course d'Alex Harvey

Après sa médaille d'or avec Devon Kershaw au sprint par équipe en 2011 à Oslo et sa médaille de bronze au sprint individuel aux mondiaux de Val di Fiemme en 2013, Harvey complète sa collection avec l'argent dans son épreuve de prédilection.

« C'était presque parfait. Il a peut-être manqué 5 ou 10 mètres à la course pour que je l'emporte, mais c'est une très bonne journée », a raconté Harvey, qui a pu profiter du soutien de la foule suédoise. Il y avait trois Norvégiens en finale, alors les Suédois semblaient être un peu de mon côté! »

Lent départ, rapide arrivée

Sur ce parcours taillé sur mesure pour mettre à profit son explosivité, Harvey n'a pas déçu. La course avait pourtant bien mal commencé pour le Québécois. Il s'est retrouvé à l'arrière du peloton de six coureurs après le départ.

Entrevue d'Alex Harvey avec l'agence Sportcom:

« J'ai toujours eu de la difficulté à démarrer rapidement, mais j'avais des skis vraiment performants dans les descentes et assez d'énergie dans le dernier 200 mètres. »

Cinquième aux qualifications plus tôt dans la journée, le jeune homme de Saint-Ferréol-les-Neiges a amorcé son retour lors d'une première montée, où il a décroché deux de ses adversaires. Il s'est ensuite campé en troisième position avant de faire de furieuses poussées dans les derniers mètres du sprint.

Sa lancée semblait si irrésistible, que la médaille d'or était soudainement à portée de ski, mais le grand Northug s'est accroché à sa mince avance pour s'emparer d'un 10e titre mondial, une 13e médaille au total lors de cette compétition biennale. Cette médaille d'or au sprint individuel était toutefois une première pour lui.

Après les demi-finales, la conclusion n'apparaissait pas aussi prometteuse pour Harvey et Northug, qui ont tous les deux été repêchés pour participer à la finale. Coincés dans la vague la plus rapide, le nouveau champion mondial et son dauphin avaient terminé respectivement 3e et 4e de leur groupe.

« C'est extraordinaire, mais on en veut toujours plus. C'est le jour un des mondiaux, alors c'est un bon départ pour toute l'équipe. Je vais savourer cette médaille, mais toute ma concentration va sur les prochaines courses », a rappelé Harvey.

Il prendra part au skiathlon samedi et au 50 km la semaine prochaine.

L'Ontarien Len Valjas a été éliminé en quarts de finale et a pris le 14e rang. Sa performance pourrait faire changer d'idée Harvey. Il n'avait pas l'intention de disputer le sprint par équipe, dimanche.

Jesse Cockney, de Yellowknife, a pris le 49e rang des qualifications.

Un sprint dominé par la Norvège

Un peu plus tôt jeudi, les Norvégiennes avaient placé la barre haut pour leurs coéquipiers.

L'ineffable Marit Björgen a mis la main sur sa 20e médaille aux Championnats du monde grâce à sa victoire au sprint individuel. Il s'agissait pour l'athlète de 34 ans d'une 13e médaille d'or à des mondiaux.

Sa compatriote Maiken Caspersen Falla s'est emparée de la médaille de bronze, tandis que la favorite locale, la Suédoise Stina Nilsson, a terminé 2e.

Éliminée en quarts de finale, Perianne Jones a été la meilleure Canadienne, avec une 24e place.


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Le bronze pour les Canadiennes à la poursuite

Les Canadiennes sont montées sur la troisième marche du podium à la poursuite des Championnats du monde de cyclisme sur piste jeudi, à Saint-Quentin-en-Yvelines, en France.

Jasmin Glaesser, Stephanie Roorda, Kirsti Lay et Alison Beveridge ont effectué le parcours en 4 min 14 s 492/1000 pour devancer de plus de huit secondes leurs adversaires de la Nouvelle-Zélande (4:22,673) dans le duel pour la médaille de bronze.

Ce sont les représentantes australiennes qui ont remporté la médaille d'or. Elles ont battu du même coup le record mondial de l'épreuve grâce à un temps de 4:13,615.

Melissa Hoskins, Ashlee Ankudinoff, Amy Cure et Annette Edmondson ont battu en finale la Grande-Bretagne (4:16,606), qui détenait le titre mondial.

Le précédent record du monde datait du 5 décembre 2013 à Aguascalientes (Mexique) où la Grande-Bretagne (Archibald, Barker, King, Rowsell) avait tourné en 4:16,552.

Depuis l'inscription de l'épreuve aux mondiaux en 2008, la Grande-Bretagne n'avait laissé filer le titre qu'en 2010, quand l'Australie l'avait devancée en finale.

Hugo Barrette déçu

À sa deuxième épreuve des mondiaux, le Québécois Hugo Barrette n'a quant à lui pu aller plus loin que les rondes de repêchage du keirin et a conclu au 17e échelon.

« Je suis extrêmement déçu, a admis le cycliste des Îles-de-la-Madeleine. Je crois que c'est la performance la plus décevante de ma carrière. »


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Les Panthers s'accrochent et gagnent

Les Panthers de la Floride sont désespérément à la recherche de points de classement et ils en ont obtenu deux très importants face au Canadien, jeudi, en l'emportant 3-2 aux tirs de barrage, au Centre Bell.

Dave Bolland a mis fin à la séance au sixième tour, en déjouant Carey Price à l'aide d'un tir des poignets.

Le Canadien a offert une bonne performance, en devant composer avec un peu d'adversité pour la première fois de la saison.

Privé des défenseurs Sergei Gonchar et Alexei Emelin, blessés, ainsi que de l'attaquant Alex Galchenyuk, malade, le Tricolore (37-16-5) avait dans sa formation six jeunes joueurs - Christian Thomas, Jacob De La Rose, Michaël Bournival, Nathan Beaulieu, Jarred Tinordi et Greg Pateryn - qui étaient membres des Bulldogs de Hamilton au début de décembre.

Panthers-Canadien : faits saillants et les réactions avec Diane Sauvé

Brendan Gallagher a fourni deux buts en temps réglementaire, ses 14e et 15e de la saison. Ce faisant, il a franchi le plateau des 100 points dans la LNH.

Tomas Fleischmann et Steven Kampfer ont permis aux Panthers (26-19-12) de venir de l'arrière.

Les Panthers livrent actuellement une lutte aux Bruins de Boston pour l'obtention du huitième rang de l'Association de l'Est. Ils ne pointent plus qu'à deux points derrière.

Le gardien gagnant Roberto Luongo a été très solide face aux 39 tirs qu'il a reçus. Price a été confronté à 21 tirs.

Prudence, prudence

Le Canadien voulait doublement éviter de céder le premier but face aux Panthers, qui ont comme signature le resserrement à outrance du jeu en défense. Ça ne surprendra donc personne qu'on dise que le premier vingt a offert du jeu hermétique... et terne!

On a pu apprécier, en se sens, l'efficacité des jeunes défenseurs Pateryn et Tinordi, qui ont bien tenu leur bout ensemble. Les deux ont distribué quatre des 10 coups d'épaule du CH dans la période (deux chacun). Tinordi a appliqué une très solide mise en échec à l'endroit du robuste Derek MacKenzie, qui n'a pas apprécié.

Au chapitre des tirs, les hôtes ont dominé 10-6.

Doublé de Gallagher

Le jeu s'est heureusement animé en deuxième période grâce à Gallagher qui a ouvert la marque à 2:31.

Le pugnace ailier droit a marqué sur le retour de tir de Max Pacioretty, comme lui seul peut le faire à courte distance. Il a refait sensiblement le même coup à 10:32, en tournoyant près du but afin de loger le disque libre derrière Luongo.

Mais Fleischmann a aussitôt replacé les visiteurs dans le coup, à 11:54. Le défenseur Tom Gilbert a bloqué deux tirs dans l'enclave, avant que Fleischmann ne fasse mouche.

Après deux périodes, le Tricolore dominait largement 27-13 dans les tirs au but.

En troisième, les Panthers ont créé l'égalité à 4:57, quelques secondes après la conclusion d'un jeu de puissance. Kampfer a concrétisé la passe en provenance de derrière le but de Fleischmann, à la droite de Price.

Tinordi avait écopé de la première pénalité des siens, pour obstruction à l'endroit de Fleischmann au centre de la patinoire. Tinordi a dû en découdre face à Alex Petrovic, qui s'était porté à la défense de son coéquipier. Petrovic l'a emporté par décision partagée.

Le Canadien a par la suite exercé un échec-avant soutenu. Jiri Sekac a cogné à la porte du but deux fois, mais Luongo a résisté.

À la fin du temps réglementaire, le CH doublait les Panthers 38-19 dans les tirs.

Luongo a continué de s'illustrer en prolongation, en frustrant Tomas Plekanec qui s'est amené presque seul devant lui.


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« Roberto Luongo a été phénoménal » -Michel Therrien

On était loin d'être malheureux dans le vestiaire du Canadien, après la défaite de 3-2 en tirs de barrage contre les Panthers de la Floride.

Le Tricolore a offert une bonne performance, en devant composer avec un peu d'adversité pour la première fois de la saison.

« Nous avons été l'équipe qui a exercé le plus de pression, a relevé l'entraîneur Michel Therrien. J'ai beaucoup apprécié l'effort des gars. Nous sommes dans une séquence exigeante. C'était notre troisième match en quatre soirs, mais nous avions de l'énergie et du rythme. Quand tu joues habituellement de la sorte, tu te retrouves du bon côté. »

Montréal comptait six jeunes joueurs dans sa formation en raison des blessés.

« Nous le répétons depuis le début de la saison que nous sommes une jeune équipe qui est en période de transition. Vous le réalisez peut-être maintenant », a souligné Therrien, en se disant satisfait de l'implication physique de Tinordi à son retour dans la LNH.

Le gardien gagnant Roberto Luongo, qui a fait face à 39 tirs, a récolté les plus beaux éloges.

« Roberto Luongo a été phénoménal, a commenté Therrien. Il a été dur à battre. »

Tinordi se bat

C'était la première fois que Jarred Tinordi laissait tomber les gants depuis qu'un rival l'avait mis K.-O. dans la Ligue américaine, au début de l'année.

« Je n'ai pas réellement eu le choix, a mentionné le jeune défenseur du Canadien. Le gars s'est amené vers moi et il m'a agrippé. Ses intentions étaient claires. »

Le géant Tinordi a dit qu'il ne craint pas de se battre en raison de ce qui s'est produit et qu'il ne modifiera pas son style de jeu.

« Ça ne me dérange pas du tout. C'est quelque chose que je suis prêt à faire. Je vais me battre contre quiconque me mettra au défi », a-t-il réitéré.

Le 10 janvier, dans une rencontre des Bulldogs de Hamilton, Andrey Pedan des Comets d'Utica a envoyé Tinordi au pays des rêves. On a craint que le jeune espoir ne soit plus autant combatif à son retour au jeu, qu'il a fait une semaine plus tard à peine.

Tinordi n'a pas apprécié que son assaillant jeudi, le défenseur Alex Petrovic des Panthers de la Floride, lui assène un coup au moment où il était étendu face première contre la glace.

« Il a porté un coup de poing qui m'a atteint à la visière, a-t-il relaté. J'ai perdu l'équilibre et je suis tombé vers l'avant. J'étais dans une position vulnérable et le gars a continué de me frapper. On ne fait pas ça. »

Une belle occasion

Rappelé mercredi, Tinordi a dit qu'il veut saisir l'occasion qui s'offre à lui - l'absence des vétérans Gonchar et Alexei Emelin blessés - afin de prouver qu'il peut faire sa place sur une base régulière dans la LNH.

« J'estime avoir réalisé des progrès dans la Ligue américaine au cours des derniers mois, a-t-il argué. J'étais quelque peu perdu à mon retour chez les Bulldogs de Hamilton. Ça m'a pris quelques semaines avant de retrouver mon niveau de jeu. Dernièrement, j'étais meilleur défensivement et je faisais de plus belles premières passes. »

Jeudi, l'Américain format géant a trouvé qu'il suivait le rythme de jeu de la LNH, mais que l'exécution n'a pas été au beau fixe.

« Je me sentais à l'aise en ce qui a trait à la vitesse du jeu. Je patinais bien, mais je peux faire mieux au chapitre de l'exécution », a-t-il résumé.


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Alphonse Ouimette, témoin privilégié de l'hégémonie québécoise

Alphonse Ouimette s'entraîne au quotidien avec les membres de la puissante équipe de courte piste québécoise. Aux Jeux du Canada, l'Ontarien assiste à leurs succès sans pouvoir y participer.

« Je connais tous les entraîneurs du Québec et ils parlaient beaucoup du triplé. Ça aurait été le fun d'être le seul d'une autre province à avoir une médaille », admet Ouimette après une troisième journée d'exception pour les patineurs en bleu sur courte piste.

Le Franco-ontarien a terminé au pied d'un podium tout québécois au 1000 m, jeudi. Il lui a manqué l'endurance nécessaire dans les derniers tours pour freiner l'hégémonie de l'équipe du Québec, auteure de six triplés en six épreuves.

« C'est une équipe très forte, reconnaît le patineur originaire de Spencerville, à 80 km au sud d'Ottawa. Ça fait des années qu'ils s'entraînent ensemble. Ils vont vite quand ils patinent ensemble et c'est encore plus dur quand tu n'as pas leur uniforme. Ils te voient. »

Alphonse s'entraîne au Centre national de courte piste à l'aréna Maurice-Richard à Montréal et côtoie ses désormais adversaires sur une base quotidienne. « Cette semaine, je me sens un peu outsider, mais c'est super agréable quand même. Je suis chum avec tous ces gars-là. »

S'élever par mimétisme

Avec une 5e position au 1500 m et une 33e place au 500 m, Alphonse ne parvient pas à rivaliser avec eux à Prince George. Mais il sait qu'il ne s'agit pas d'un état de fait permanent. Aux Championnats canadiens seniors en janvier, il s'est classé 16e devant Simon Godin (17e) et Antoine Roy (21e), qui lui font la vie dure cette semaine.

Surtout, il sait que de se frotter quotidiennement aux meilleurs patineurs de son âge le tire vers le haut et l'aidera dans la poursuite de son objectif de faire l'équipe nationale d'ici deux ans.

À 19 ans, il se réjouit de pouvoir accélérer son apprentissage après avoir raté presque une année entière d'entraînement à cause d'une fracture du tibia et d'une mononucléose en 2012.

« Quand tu roules souvent à une vitesse élevée, tu deviens plus relaxe quand les courses atteignent leur vitesse de pointe. Je suis plus confortable à patiner à 8,8 ou 8,9 secondes par tour. Avant, ça ne m'arrivait pas souvent de faire des tours dans les 8 secondes, donc quand j'atteignais cette vitesse, j'étais moins stable. »

À ses six entraînements et trois séances de musculation hebdomadaires s'ajoutent des études à temps plein en sciences du loisir à l'Université Concordia.

« Je pense que l'école aide mon patin. Je ne suis pas sur mon divan à rien faire. Ça me prend une heure me rendre à l'école. Je marche, je suis actif, mon cerveau roule... Je suis plus alerte quand j'arrive à l'entraînement. L'école, ça aide le patin et le patin aide l'école. »

Razzia québécoise

Le Québec a raflé la totalité des médailles distribuées en courte piste jusqu'ici.

« On a de bonnes infrastructures, de bonnes heures de glace, de bons entraîneurs et beaucoup d'encadrement. Je pense que c'est ça qui fait la différence », explique Catherine Desjardins, médaillée de bronze pour une deuxième fois (1000 m et 1500 m).

« Honnêtement, je ne comprends pas, réplique Rosalie Tremblay. On est forts, on est vraiment forts. Je ne sais pas comment on fait, mais on est forts. »

Tremblay a pris l'argent après deux médailles d'or. Elle cachait mal sa déception.

« Je m'étais donné comme objectif de ramasser l'or sur trois distances, lance la patineuse de Saint-Félicien. Je suis quand même déçue de ne pas l'avoir. J'ai l'argent, je suis contente, mais ce n'est pas ça que je visais. »

Béatrice Lamarche, de Québec, a profité d'un accrochage dans le dernier tour pour passer de la 4e à la 1re position et célébrer sa 1re victoire après deux médailles d'argent.

Chez les hommes, Marc-Olivier Lemay a remporté l'or après deux médailles d'argent. Simon Godin a pris le 2e rang, lui qui avait remporté l'or au 500 m. Gabriel Maillé a décroché le bronze, sa première médaille des Jeux.


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Ovechkin répond présent et les Capitals défont les Penguins

Written By Unknown on Rabu, 18 Februari 2015 | 16.10

Alexander Ovechkin a récolté son 37e but dans un gain de 3-1 des Capitals face aux Penguins, mardi soir, à Pittsburgh.

Ses 37 buts sont un sommet dans la LNH. Il a de plus récolté une aide sur le but vainqueur de Joel Ward.

Ovechkin a battu Marc-André Fleury sur une échappée en première. Il a ensuite préparé le but de Ward à cinq contre trois à 15:47 de la troisième pour porter la fiche des Caps contre les Penguins à 3-0 cette saison.

John Carlson a ajouté un but en désavantage numérique dans un filet désert, avec 11 secondes à jouer.

Braden Holtby a stoppé 30 tirs dans la victoire, ne cédant que devant Steve Downie, qui a inscrit son 10e but de la campagne.

Fleury a bloqué 29 tirs dans la défaite.


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On vise un record du monde sur 600 m

De grosses pointures s'attaqueront au 600 m ce week-end lors des Championnats canadiens en salle, à Montréal.

Cette compétition sert de championnats nationaux pour les athlètes des catégories jeunesse et junior et présentera aussi des athlètes de l'équipe nationale canadienne dans des épreuves ouvertes. C'est ainsi que les spectateurs pourront voir à l'oeuvre notamment Karine Belleau-Béliveau (800 m) et Jessica Zelinka (heptathlon).

L'athlétisme en salle regroupe plus de 30 disciplines hommes et femmes, réparties sur deux jours et demi de compétition.

Le fait saillant du week-end sera le 600 m (trois tours de piste). Une épreuve peu courue, dont le record du monde date de 1999. Des athlètes de très haut niveau ont accepté l'invitation des organisateurs : le Dominicain de 21 ans Lugelin Santos, médaillé d'argent des Jeux de Londres au 400 m et le Britannique de 28 ans David « Dai » Green, champion du monde du 400 m haies en 2011.

Ils tenteront, sur la piste du Centre Claude-Robillard, de battre le record du monde, qui est de 1 min 15 s 12/100, réussi par l'Allemand Nico Motchebon le 28 février 1999.

« C'est réaliste [de penser que le record sera battu], mais c'est un record très, très, très difficile à battre, a expliqué Laurent Godbout, directeur technique de la Fédération québécoise d'athlétisme à Radio-Canada, mardi.

« Le Canada aussi doit avoir un championnat national d'athlétisme en salle » - Laurent Godbout

« Je dirais que Lugelin Santos, qui a une certaine expérience du 600 m, pourrait être un sérieux candidat. Mais aussi David Green, qui est un spécialiste du 400 m haies, et pour un 600 m à l'intérieur, je dirais que c'est un effort similaire à un 400 m haies. Donc, quand on a un champion du monde du 400 m haies, il faut absolument le prendre au sérieux. »

Le 25 janvier 2014 sur la piste intérieure de l'Université McGill à Montréal, lors du McGill Team Challenge, Lugelin Santos avait tenté de battre le record du monde du 600 m. Tentative ratée : il avait gagné la course en 1:16,9. 

David Green sait que ce sera compliqué, mais pas impossible.

« Je cherchais à participer à une course de 600 m en salle, et ça ne se court pas souvent. Je ne pouvais pas rater ce rendez-vous de Montréal, même si c'est loin de l'Angleterre, a dit David Green à Radio-Canada. À ce temps-ci de l'année, je m'entraîne en courant sur de plus grandes distances, donc pour moi, c'est un bon entraînement, et je vais affronter des athlètes contre lesquels je cours rarement. Des athlètes du 400 m, du 800 m. Donc c'est un beau mélange.

« Nous allons tenter de battre le record du monde. Quelques-uns d'entre nous pourraient y arriver, mais comme on ne le court pas souvent, c'est difficile de trouver le bon rythme. En salle, il peut y avoir un peu de la bousculade, et on ne sait pas comment la course va se dérouler. Si tout se passe bien et que chacun trouve son rythme, on pourra faire de bons chronos. Mais il faudra que tous les ingrédients soient là pour y arriver. Moi, je vais tenter de battre ma marque personnelle et de remporter la course. »

Ce 600 m sera le fait saillant de ces Championnats canadiens en salle, qui ont repris leur place en 2014 dans le calendrier sportif hivernal.

« Le Canada pendant 20 ans n'a pas eu de Championnat national en salle, a rappelé M. Godbout. Tous les pays du monde, peu importe le climat, la France, la Grande-Bretagne, la Pologne, l'Italie, la Suisse, l'Allemagne, ont tous des championnats nationaux en salle. Donc, nous ici aussi au Canada, il faut qu'on ait un Championnat canadien en salle. C'est bon pour le développement de nos athlètes, surtout dans une période qui est difficile pour l'entraînement des athlètes. »

« C'est compliqué [à organiser], car il y a toujours des questions financières qui rentrent en ligne de compte, a-t-il expliqué. Mais tout le monde a mis la main à la pâte : Athlétisme Canada, le comité organisateur local, nous à la fédération. Donc, on a mis argent et énergie dans ce projet, et on sent que comme on dit que le gâteau lève tranquillement.

« On est assez fiers d'avoir pu monter un projet semblable. On a vraiment relevé le niveau cette fois. Ça fait plusieurs années qu'on n'avait pas eu un niveau comme ça à Montréal. Il va y avoir une bonne ambiance et de beaux athlètes, et les athlètes des catégories jeunesse vont pouvoir côtoyer les athlètes de haut niveau juste à côté d'eux autres. »

Se préparer pour les Jeux panaméricains de Toronto

Karine Belleau-Béliveau fait partie des athlètes du Québec qui ont un profil international. La jeune femme de 31 ans, qui a découvert l'athlétisme en 2008, se spécialise dans le 800 m et a participé aux Jeux du Commonwealth en 2014 à Glasgow (éliminée en préliminaires).

« C'est une belle opportunité de courir avec les meilleurs athlètes du pays, a-t-elle dit à Radio-Canada. Ça va être un très beau championnat avec beaucoup d'olympiens et de grandes vedettes.

« Et c'est une bonne pratique pour moi pour la saison qui vient cet été, ajoute-t-elle, car la plupart des athlètes de niveau élite sont en ce moment en grande préparation pour les Championnats du monde et les Jeux panams à Toronto qui s'en viennent très rapidement, donc ça va être une excellente préparation dans le cadre de notre entraînement. »

Une excellente préparation au niveau mental plus qu'au niveau performance, compte tenu des dimensions de la piste.

Karine Belleau-Béliveau parle de sa participation aux championnats canadiens en salle

« En salle, on court sur une piste qui est plus petite, de 200 m, et dans les courbes, ça nous ralentit, donc les temps sont plus lents, précise l'athlète de Montréal.

« Par contre, comme ici au Canada, c'est plus difficile de courir de ce temps-ci sur une piste extérieure de 400 m parce qu'il fait froid (rires...), ça nous permet d'entretenir notre vitesse de pointe, et c'est bon de garder en tête la compétition, car mentalement c'est une bonne pratique. »


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