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Sciences - Les femmes plus vulnérables aux commotions

Written By Unknown on Senin, 29 April 2013 | 16.10

De plus en plus d'anciens joueurs professionnels offrent leur cerveau à la science. Mais les études qui portent sur les athlètes féminines sont beaucoup plus rares et pourtant leurs cerveaux sont plus vulnérables.

Des commotions cérébrales de plus en plus médiatisées, surtout quand les joueurs vedettes sont touchés.

Au football américain, certains règlements ont même été modifiés pour mieux protéger les joueurs. Les femmes ne sont pas moins touchées.

En décembre dernier, Radio-Canada révélait que le quart de l'équipe canadienne de water-polo était contrainte au repos en raison de commotions cérébrales.

Émilie Chamard, candidate au doctorat en neuropsychologie clinique à l'Université de Montréal, a découvert que la composition du cerveau des femmes les rend plus vulnérables à ce chapitre.

« Il y a une circonvolution du cou plus petite, note Émilie Chamard. Et des muscles du cou qui sont moins développés, ce qui fait qu'elles [les femmes] sont plus à risque de subir une commotion cérébrale pour un coup d'une même intensité. »

Une plus faible quantité de liquide céphalo-rachidien ajoute aussi à la vulnérabilité.

« C'est un liquide au cerveau qui fait une barrière entre le cerveau et le crâne, ajoute Mme Chamard. Étant donné qu'il y en a moins, le cerveau est plus vulnérable à entrer en contact avec la boîte crânienne. »

Subir une commotion et l'expliquer

Cette candidate au doctorat est particulièrement touchée par le sujet.

Joueuse de soccer universitaire, Émilie Chamard a déjà subi quatre commotions et publiera sous peu un article dans la revue Brain Injury.

Ses recherches en imagerie par résonance magnétique effectuées exclusivement sur des athlètes féminines montrent que des traces de commotion cérébrale sont visibles dans le cerveau un an et demi après le choc.

« Il y aurait des atteintes, mentionne l'étudiante. Ce qui fait que la transmission de l'information se ferait moins bien et serait moins efficace. »

Un avertissement, pas un frein

Émilie Chamard est l'une des rares scientifiques au Québec à s'intéresser de façon spécifique aux commotions affectant les cerveaux féminins.

Elle entend maintenant poursuivre des recherches sur les impacts à court terme.

« Et éventuellement adapter les protocoles de retour au jeu pour les athlètes féminines parce que là, c'est généralisé même si les recherches portent uniquement sur les athlètes masculins. »

Si les effets des commotions répétées ont de quoi effrayer, elle insiste : il ne faut pas pour autant fuir le sport.

« Il ne faut pas dire à nos enfants d'arrêter de pratiquer des sports parce qu'en contrepartie, la pratique des sports amène énormément de bienfaits et protège aussi le cerveau de plusieurs autres choses. Oui, il faut être à l'affût, mais pas retirer tout le monde parce qu'il y a des dangers », conclut Émilie Chamard.

Dans son cas, être à l'affut, ça veut dire changer son style de jeu sur un terrain de soccer.


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LNH - Canadien - Eller, trois mois plus tard

TORONTO - Dans le grand livre du hockey, la fameuse recette du succès compte plusieurs ingrédients. Mais on doute qu'amorcer la saison dans les mauvaises grâces de l'entraîneur en fasse partie.

C'est pourtant de cette façon que s'est lancée la drôle de saison 2013 de Lars Eller. Et trois mois plus tard, voilà qu'il vient de conclure la meilleure campagne de sa carrière et qu'il se présentera en séries à titre de centre le plus menaçant offensivement pour le Canadien.

Or, comme on le dit dans l'anglophonie, la laisse du Danois était courte en début de saison. Un seul match et Michel Therrien en avait assez de son manque de combativité. Il l'a expédié dans les estrades pour les deux rencontres suivantes, une autre façon pour l'entraîneur-chef de montrer son impatience après avoir déclaré, au camp, qu'Eller devait « passer à l'autre niveau ». Et la suite?

Avec ses trois points samedi contre les Maple Leafs, Eller a porté son total de la saison à 30, un sommet pour lui en trois campagnes complètes dans la LNH. Mais il a atteint la trentaine en seulement 46 rencontres. On parle ici d'un rythme de 53 points sur une saison de 82 matchs, pour un athlète qui se contente de quelques secondes à gauche à droite en avantage numérique.

« J'ai toujours été très conscient du potentiel de Lars, a affirmé Therrien après le match de samedi. On voulait lui passer un message en début de saison. Il compétitionne, on peut l'utiliser dans plein d'aspects de jeu, en désavantage et en avantage. On lui donne plein de responsabilités. C'est le fun de travailler avec un jeune qui veut s'améliorer. »

« Je disais à l'époque que les choses peuvent changer rapidement, a rappelé Eller. Je l'avais vu avant, il faut juste continuer à travailler. J'ai eu du succès avec mes compagnons de trio, on avait de la bonne chimie. Ça a souri à tout le monde. »

Comme il l'avait fait plus tôt cette saison, Eller a une fois de plus souligné l'apport du psychologue sportif du CH, Sylvain Guimond, dans ses succès.

« Il m'a amené à croire en moi-même et c'est ça le plus important. La confiance est la chose la plus importante dans tout sport. C'est assez simple », a expliqué le 81.

Centre 1, 2 ou 3?

À l'aube des séries, on est en droit de se demander où placer Eller dans l'organigramme des centres du Tricolore.

En termes d'utilisation, il est clairement le troisième centre, puisque Tomas Plekanec et David Desharnais lui sont constamment préférés en avantage numérique. Les missions défensives de la plus haute importance demeurent toutefois l'affaire de Plekanec.

Mais pour les points, Eller se retrouve entre Tomas Plekanec (33) et David Desharnais (28). Et dans les 12 derniers matchs, l'avantage revient à l'ancien des Blues, auteur de 13 points (4 buts, 9 passes), contre 6 points chacun pour Plekanec et Desharnais.

Si Therrien poursuit dans sa tradition de ne pas briser de combinaison gagnante, Eller devrait amorcer les séries avec les recrues Alex Galchenyuk et Brendan Gallagher. À 23 ans, le voici dans la peau du vieux routier...

« C'est la première fois que je joue le rôle du vétéran dans un trio!, a-t-il lancé en riant. C'est incroyable de jouer avec eux. Gallagher est un petit bulldog, il travaille fort et crée de l'espace. Et Galchenyuk s'améliore constamment. »

Que ce soit le psychologue de l'équipe ou ses compagnons de trio, Eller semble prendre plaisir à imputer aux autres ses succès personnels.


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Sénateurs 4 - Bruins 2 - Un duel Canadien-Sénateurs

L'identité du premier adversaire du Canadien est désormais connue. Le Tricolore se mesurera aux Sénateurs d'Ottawa en première ronde des séries éliminatoires.

Les Sénateurs ont vaincu les Bruins 4-2 dans l'ultime match du calendrier régulier dimanche, à Boston, pour ainsi se hisser au 7e rang dans l'Est. Grâce à cette défaite des Bruins, le Canadien consolide sa 1re place dans la Division nord-est et sa 2e position au classement de l'Association de l'Est.

La série s'amorcera jeudi (2 mai), au Centre Bell. Les joueurs ne pourront bénéficier d'un grand répit puisqu'ils disputeront le deuxième match le lendemain (3 mai). Les Sénateurs accueilleront par la suite le Canadien dimanche (5 mai) et mardi (7 mai), à Ottawa, pour les troisième et quatrième rencontres.

Le CH et les Sens ne se sont jamais affrontés au tournoi printanier depuis le retour d'Ottawa dans la LHN en 1992. La dernière rencontre en séries entre les deux équipes remonte à 1927. Les Sénateurs avaient alors éliminé le Bleu-blanc-rouge en demi-finales de la Coupe Stanley.

Cette saison, Montréal et Ottawa se sont partagé les honneurs des quatre matchs au calendrier avec deux victoires et deux défaites chacun.

Le Canadien sera confronté à une équipe canadienne en éliminatoires pour la première fois depuis la demi-finale de la Division Adams en 1993 contre les Nordiques de Québec. Il avait par la suite mis la main sur la 24e coupe Stanley de son histoire.

Sénateurs 4 - Bruins 2

Jean-Gabriel Pageau (2e) a brisé l'égalité de 2-2 avec 3:34 à jouer en troisième période pour procurer la victoire aux siens.

Erik Condra (4e) et Jared Cowen (1er) ont aussi touché la cible pour les Sénateurs. Kyle Turris (12e) a ajouté le but d'assurance dans un filet désert avec 37 secondes à écouler au cadran. Le jeune gardien suédois Robin Lehner a effectué 34 arrêts.

Rich Peverley (6e) et Dennis Seidenberg (4e) avaient permis aux Bruins d'effacer un retard de 2-0 et d'espérer terminer au 2e rang de l'Association de l'Est. Ils devront finalement se contenter du 4e rang et d'un duel face aux Maple Leafs de Toronto en quarts de finale de l'Est.

Tuukka Rask a cédé trois fois sur 21 tirs devant le filet des Bruins.


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LNH - Congédiements - Les Stars et l'Avalanche font le ménage

Il reste encore un match à la saison de la Ligue nationale, mais déjà la valse des congédiements bat son plein.

L'Avalanche a montré la sortie à son entraîneur Joe Sacco, dimanche. L'équipe a terminé au 15e et dernier rang de l'Association de l'Ouest avec une fiche de 16 victoires et 32 défaites, dont 7 en prolongation ou en tirs de barrage. L'Avalanche rate donc les séries pour la troisième année de suite.

Le directeur général Greg Sherman a déclaré, par le biais d'un communiqué, que « l'organisation estime qu'un changement d'entraîneur est nécessaire pour progresser ».

Sacco était en poste depuis 2009. Le style de jeu rapide qu'il préconisait a bien servi l'équipe à sa première saison derrière le banc. L'Avalanche a alors atteint les séries éliminatoires. Mais depuis, la ville de Denver a été privée de hockey printanier.

Sacco n'aura pas à attendre trop longtemps avant de se retrouver à nouveau derrière un banc. Il est l'entraîneur de l'équipe américaine au Championnat du monde de hockey qui s'amorcera le 3 mai en Suède et en Finlande.

Dans la même foulée, le vice-président des opérations hockey Éric Lacroix a remis sa démission.

Lacroix est le fils de Pierre, ancien directeur général de l'équipe. Ce dernier occupe toujours un rôle dans l'organisation de l'Avalanche aux côtés de Sherman.

Nieuwendyk remercié

À Dallas, c'est Joe Nieuwendyk qui a payé pour les insuccès des Stars. Le directeur général a été démis de ses fonctions.

Jim Nill, qui possède 15 ans d'expérience comme adjoint au directeur général des Red Wings de Détroit, succèdera à Nieuwendyk. Le propriétaire des Stars, Tom Gaglardi, a confirmé l'information à un quotidien de Dallas.

Les Stars ont déjà convié les médias à une conférence de presse pour présenter leur prochain directeur général lundi.

Nill avait déjà été approché par le Canadien de Montréal avant l'embauche de Marc Bergevin, mais il avait décliné l'invitation.

Les Stars n'ont pas participé aux séries durant le règne de quatre ans de Nieuwendyk, nommé en mai 2009. Cette saison, ils ont conclu au 11e rang dans l'Ouest, à 7 points de la 8e place.

Il avait connu plus de succès comme joueur. Il avait notamment mené les Stars à la conquête de la Coupe Stanley en 1999.

Il restait un an au contrat de Nieuwendyk.


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LNH - Lightning - St-Louis le prolifique

L'attaquant du Lightning de Tampa Bay Martin St-Louis a officiellement remporté le championnat des pointeurs de la LNH dimanche, au terme de la saison régulière.

St-Louis met ainsi la main sur le trophée Art-Ross, remis au joueur qui a récolté le plus de points en saison. Il avait également réussi l'exploit en 2003-2004.

Il a inscrit 60 points (17 buts et 43 passes) en 48 matchs. Le Québécois a devancé son coéquipier Steven Stamkos (57 points), Alexander Ovechkin (56 points) des Capitals de Washington et Sidney Crosby (56 points) des Penguins de Pittsburgh.

Crosby a toutefois disputé 12 rencontres de moins que St-Louis en raison d'une blessure à la mâchoire qui l'a tenu à l'écart.

Le Maurice-Richard à Ovechkin

Alexander Ovechkin peut se consoler, il a tout de même gagné le trophée Maurice-Richard remis au meilleur compteur du circuit.

Le capitaine des Capitals a marqué 32 buts en 48 matchs. Il remporte cet honneur pour la troisième fois de sa carrière.

Ovechkin a réussi à distancer Stamkos (29 buts) et John Tavares (28 buts) au final.


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LNH - Canadien - Tinordi en uniforme jeudi soir

Written By Unknown on Kamis, 25 April 2013 | 16.10

Rappelé de Hamilton par le Canadien lundi, le défenseur format géant Jarred Tinordi participera au match de jeudi contre les Jets.

Arrivé mercredi à Winnipeg, il a pris part à l'entraînement de l'équipe. Les seuls absents étaient Francis Bouillon et Andrei Markov, qui devraient toutefois être à leurs postes pour la rencontre.

Le défenseur de 21 ans a disputé six rencontres avec le Tricolore depuis le début de la saison. Tinordi, 1,98m et 88 kg (6 pi 6 po/205 lb), n'a récolté qu'une mention d'aide et deux minutes de pénalités.

Avec les Bulldogs, il a amassé 2 buts et 11 passes en 67 matchs au cours de la saison 2012-2013, sa première dans la Ligue américaine.


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Divers - Le retour de l'enfant prodige

L'ancien entraîneur de l'Impact Marc Dos Santos est de passage à Montréal cette semaine. Installé au Brésil depuis maintenant un an et demi, Dos Santos est venu partager sa riche expérience avec des entraîneurs d'ici.

Marc Dos Santos n'a pas changé.

Après son départ du Québec pour le paradis du soccer au Brésil il y a 18 mois, le jeune entraîneur de 35 ans a le sourire facile.

Venu à la rencontre de la crème des entraîneurs de soccer du Québec, Dos Santos enchaîne les accolades. Non, il n'a pas oublié d'où il vient.

« Ça me fait vraiment plaisir d'être ici aujourd'hui », lance-t-il d'entrée de jeu à l'assemblée.

Dos Santos est venu transmettre son message. Oui, c'est possible pour un Québécois de faire carrière dans un autre pays, même au Brésil, une terre de champions pas trop accueillante aux entraîneurs étrangers.

« Dans un sondage, près de 70 % des répondants voyaient d'un mauvais œil que Pep Guardiola (NDLR : l'ancien entraîneur du FC Barcelone) prenne les rênes de l'équipe nationale. »

« Ils pensent que le Brésil n'a pas besoin de l'aide de personne. Je dois me prouver chaque jour, je dois gagner. Le jour où je ne gagnerai plus, je ne travaillerai plus. »

L'expérience brésilienne

Marc Dos Santos dirige déjà une troisième formation au Brésil : l'équipe des moins de 20 ans du Desportivo Brasil, une académie spécialisée dans la vente à gros prix de joueurs formés par le club.

En décembre, quand il entraînait les joueurs de 16 ans du Palmeiras, le club rival Corinthians a gagné la Coupe du monde des clubs.

C'est là qu'il a compris à quel point les rivalités étaient fortes au Brésil.

Trois jeunes du Palmeiras, qui s'étaient réjouis des succès du Corinthians, ont été mis à l'écart par le reste des joueurs.

« Les joueurs sont venus me voir et m'ont dit qu'ils ne joueraient plus à leurs côtés. On me disait : notre sang est vert, pas le leur. Ce sont des fils de ... »

Dos Santos avait des anecdotes à la tonne pour son auditoire.

Après avoir mené Palmeiras au titre brésilien en juillet 2012, un employé du club l'a chaleureusement félicité tout en lui précisant que ça n'enlevait pas une immense tache à son dossier.

Quelques mois plus tôt, son équipe s'était inclinée devant le Corinthians. Une défaite inacceptable pour le club.

« Chaque fois que je le saluais le matin et que je lui demandais comment il allait, il me répondait toujours : ça va bien, mais ça irait encore mieux si on n'avait pas perdu contre le Corinthians. C'est une véritable obsession. »

Et quand l'équipe senior du Palmeiras a été reléguée en deuxième division, les dirigeants du club lui ont suggéré d'éviter certaines rues ou certains quartiers où la défaite avait été plus difficilement reçue.

Une question de vie ou de mort.

« Quand je perdais à Montréal, je pouvais quand même aller au St-Hubert avec ma famille. C'est vraiment un autre monde, la passion des gens est sans limites. Le désir de gagner est immense. »

Entraîneur transformé

Après 18 mois au Brésil, Dos Santos se dit prêt maintenant prêt à entraîner n'importe quelle équipe dans le monde, rien de moins.

Celui qui n'a jamais manqué de confiance en lui ni d'ambition admet qu'il lui manque encore des matchs d'expérience.

« Ça me prend au moins 1000 matchs d'expérience avant d'être un entraîneur complet. Je n'ai que 35 ans, ça viendra. »

Il aimerait bien devenir l'adjoint d'un entraîneur de renom et pourquoi pas en première division brésilienne.

« C'est une porte qui semble s'ouvrir en ce moment, on verra ce qui arrivera dans les prochains mois. »

Il dit avoir changé un peu sa philosophie de jeu. Il admet qu'il était parfois trop organisé.

« Des fois, il faut désorganiser des choses en attaque ou en défense pour avoir plus de succès. Quand tu veux être trop perfectionniste, les solutions pour gagner t'échappent. »

Le cœur au Brésil, un œil sur Montréal

À court terme, il aimerait rester au Brésil, qui sera le centre d'attraction de la planète foot jusqu'à l'été 2014, date de la prochaine Coupe du monde.

Déjà, en juin prochain, le Brésil sera l'hôte de la Coupe des confédérations. Et déjà les amateurs attendent le triomphe de la Seleção.

« Pour les Brésiliens, c'est impossible que le Brésil ne gagne pas la Coupe du monde. C'est impossible. »

Tout comme c'est impossible pour Marc Dos Santos de cesser de rêver à l'Impact de Montréal.

« Je me réjouis des succès de l'Impact de Montréal. Et qui sait, dans 3, 8 ou 10 ans, je rêve de revenir gagner un autre titre avec l'Impact de Montréal. »

« Des fois, je ne comprenais pas ce que Joey Saputo attendait de moi. Maintenant, avec ce que je vis et apprends au Brésil, je saisis beaucoup mieux. »

Au contact d'un peuple si passionné de son sport, le désir de gagner de Dos Santos s'est amplifié.


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Championnat canadien - Le Toronto FC maître chez lui

L'Impact de Montréal a offert une prestation médiocre contre le FC Toronto au stade BMO, mercredi, en match aller de demi-finale du Championnat canadien.

Les hommes de Marco Shällibaum se sont inclinés 2-0 devant leurs rivaux de Toronto dans un match qui ne passera pas à l'histoire.

Les Torontois ont pris le contrôle de l'affrontement en deuxième demie. Doneil Henry a ouvert la marque à la 49e minute.

Shällibaum a eu beau modifier sa formation, rien n'y fit.

Andrew Wiedeman a complété le pointage en fin de rencontre pour Toronto.

Une petite foule de 11,043 spectateurs a assisté au match, lors de cette soirée froide sur les rives du lac Ontario.

Le match retour de la série sera disputé au Stade Saputo le mercredi 1er mai. L'Impact affrontera d'ici là le Fire de Chicago, samedi, à Montréal.

Par ailleurs, le réserviste Tom Heinemann a marqué à la 88e minute et les Whitecaps de Vancouver ont vaincu le FC Edmonton 3-2 lors du match aller de l'autre demi-finale.


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LNH - Résultat - Les Maple Leafs font du surplace, St-Louis grimpe

Martin St-Louis a réussi un tour du chapeau et le Lightning de Tampa Bay a infligé un revers de 5-2 aux Maple Leafs de Toronto, mercredi.

St-Louis, qui a inscrit 16 buts jusqu'ici cette saison, s'est hissé au premier rang des marqueurs de la LNH avec 58 points. Deux de plus que son coéquipier Steven Stamkos et que l'étoile des Penguins de Pittsburgh, Sidney Crosby.

Stamkos pour sa part a enfilé son 29e filet et ajouté une mention d'aide à sa fiche.

Nate Thompson a permis à Martin St-Louis d'inscrire son premier but du match en deuxième période en lui passant le disque à partir de l'arrière du filet de James Reimer. St-Louis portait la marque à 2-1 en faveur du Lightning.

En troisième période, Tampa-Bay a pris les devants 3-2 lorsque St-Louis a sauté sur un retour de tir frappé de Keith Aulie, qu'il a glissé derrière Reimer.

L'attaquant du Ligthning a complété son tour du chapeau en tirant dans un filet désert avec 2 min 49 s à jouer au match.

À la suite de ce revers, les Maple Leafs se maintiennent au cinquième rang de l'Est avec 55 points. Ils ont maintenant joué le même nombre de matchs que les Islanders de New York, qui les talonnent par un point.

Détroit 3 - Los Angeles 1

Les Red Wings de Detroit ont signé un gain de 3-1 contre les Kings de Los Angeles pour se hisser au huitième rang dans l'Ouest.

Jordin Tootoo a marqué le but vainqueur tôt en troisième période pour permettre aux Wings de demeurer dans la course aux séries.


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LCF - Alouettes - C'est le début d'un temps nouveau

C'est le début d'une nouvelle ère chez les Alouettes de Montréal. Celle de Dan Hawkins.

Hawkins a vécu mercredi en Floride son premier entraînement avec les Alouettes, premier entraînement avec des professionnels et premier entraînement au football canadien.

Un entraîneur qui montre plus d'énergie que son prédécesseur. Il voulait d'ailleurs établir un bon tempo.

Son premier message aux joueurs : arrivez avec l'esprit ouvert et prenez garde aux détails!

« Tout est différent, a dit Anthony Calvillo... jusqu'aux séances d'étirements! »

Le quart de 40 ans se dit remis à 90 % d'une opération à l'épaule gauche. Il assiste au minicamp même s'il ne peut pas lancer car, dit-il, il a beaucoup à apprendre.

« C'est plutôt un changement dans la continuité à l'attaque, précise Hawkins, mais tout sera nouveau en défense et dans les unités spéciales. »

C'est pour ça que le secondeur Olivier Brouillette a pris congé de son cabinet d'avocat...

C'est aussi presque tout le personnel d'entraîneurs qui est nouveau. On aura encore deux autres jours à ce minicamp pour faire connaissance.

(D'après un reportage de Diane Sauvé)


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Canadien 2 - Devils 3 - Une défaite, mais de la vie

Written By Unknown on Rabu, 24 April 2013 | 16.10

Le Canadien traverse une séquence si atroce qu'on en vient à trouver des points positifs dans une défaite contre une équipe de bas de classement...

Le Tricolore (27-14-5) a subi une cinquième défaite à ses six dernières sorties, un revers de 3-2 aux mains des Devils du New Jersey (18-18-10), mardi, à Newark.

De la façon dont la soirée a commencé, Michel Therrien devrait toutefois se réjouir que ses hommes aient été dans le coup jusqu'à la sirène finale. Après 25 minutes de jeu, tout indiquait que le Canadien allait subir une énième bastonnade.

Patrik Elias, en avantage numérique, et Jacob Josefson ont déjoué Carey Price dans une première période lors de laquelle l'écrasante majorité de l'action s'est déroulée en territoire montréalais. Dès la cinquième minute au deuxième tiers, Steve Sullivan a empiré la situation du Canadien en faisant 3-0.

Même s'il n'était pas le principal responsable des buts, Price semblait de nouveau incapable de sortir un arrêt important de temps à autre pour son coéquipier. Et son meilleur arrêt en première période, une chance de marquer d'Andrei Loktinokov après une minute, a été attribué à Patrick Roy par le descripteur. Quand tout va mal...

Le réveil

Un coup de chance a toutefois redonné vie aux visiteurs en période médiane. En avantage numérique, la passe de Max Pacioretty vers Rene Bourque a heurté le patin du défenseur des Devils Adam Larsson et a glissé derrière Martin Brodeur.

Dès lors, le CH s'est mis en marche et a enfin cessé de jouer en panique. Les efforts des Montréalais ont été récompensés 21 secondes avant le deuxième entracte. La pression exercée par Alex Galchenyuk et Rene Bourque derrière le filet a permis à Lars Eller de couper l'écart à un but.

Les Devils se sont toutefois recroquevillés en défense au dernier vingt et n'ont permis que cinq tirs au Canadien, et ont ainsi confirmé la 669e victoire de Brodeur dans la LNH.

Le Canadien demeure à égalité avec les Bruins de Boston au 1er rang de la Division nord-est avec 59 points, mais les Bruins doivent disputer un match de plus.

Price rebondit

Au final, c'est donc encore une première période molle qui a coulé la formation montréalaise. Ce qui était jadis une force semble désormais un talon d'Achille. Le Canadien a accordé 13 buts en première période à ses 6 derniers matchs.

Ce faux départ n'a toutefois pas empêché Price de retomber sur ses pattes. Le gardien du Tricolore a bloqué les 11 derniers tirs des Devils, dont un arrêt difficile sur un tir d'Ilya Kovalchuk qui aurait pu briser les reins du CH.

Bref, pour seulement la deuxième fois à ses six derniers matchs, le Canadien a ressemblé à une équipe de la Ligue nationale. Le hic, c'est que l'autre performance encourageante était survenue face au pauvre Lightning de Tampa Bay. Reste donc à livrer au moins une, sinon deux, performances convaincantes face à une formation qui participera aux séries.

À noter

  • Les Devils ont inscrit deux filets en quatre occasions en avantage numérique. Les unités d'infériorité numérique du Tricolore présentent un taux de succès épouvantable de 62,9% dans les six derniers matchs (17 en 27).
  • L'attaquant Colby Armstrong revenait au jeu pour le Canadien après avoir raté les 10 derniers matchs. Il a pris la place de Travis Moen, laissé de côté par Michel Therrien.

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Boxe - Bute/Pascal - Lucian 2.0

Aux dires de son entraîneur Stéphan Larouche, Lucian Bute a bien retenu la leçon servie par Carl Froch en mai 2012.

« Après cette défaite, Lucian a réalisé que la boxe pouvait être plus dure. Ça lui a fait du bien. Ça lui a fait réaliser des choses. Ça te donne un coup d'humilité. À travers cette humilité, tu es capable d'établir un nouveau point de départ. Tu te demandes si tu as atteint ta limite ou si tu peux t'améliorer », a indiqué Larouche rencontré sur le site d'entraînement du clan Bute à West Palm Beach, en Floride.

Larouche croit que son protégé a pu remettre son compteur à zéro, mais que le processus est exigeant sur le moral.

« Ça fait mal à l'âme, mais ça ne fait pas mal physiquement. C'est comme appuyer sur le bouton reset. On se dit, je l'efface. Je ne veux pas que ça m'arrive de nouveau. Mais que dois-je faire pour l'éviter? Durant le combat, il y a une prise de conscience chaque seconde. À tel moment, je ne dois pas le laisser faire ça. C'est comme ça que l'on devient meilleur. »

Plus méchant

Larouche, fidèle compagnon de route depuis ses premiers pas chez les professionnels au Québec, avoue avoir été surpris par la nature des propos tenus par Bute lundi. Ce dernier a parlé de Jean Pascal en indiquant vouloir lui « fermer la gueule ».

« J'avoue que j'ai été surpris par la réaction de Lucian, mais je suis aussi très content. Pourquoi? Parce qu'il est mean. Il a envie de cette bataille-là. Ce soir-là [le 25 mai], ça va être une coche de plus de méchanceté de ce que l'on a vu de Lucian jusqu'à présent. »

Larouche croit que Bute doit détester perdre plus que tout. « Rien ne doit le déranger. Il doit garder un moral de fer, une volonté de fer. En fin de compte, il faut que tu aimes mieux mourir que de perdre. »

Gagner la foule

Larouche sait que Bute ne doit pas non plus négliger l'influence de la foule. Habitué à être soutenu par le public, Lucian ne fera pas l'unanimité. Mais il peut faire en sorte de rallier les amateurs à sa cause.

« Les gens ont l'habitude de l'encourager, mais là ça va pencher de l'autre côté. Lucian sera dans sa bulle, mais il est conscient qu'aussitôt qu'il imposera le rythme, ou s'il laisse Jean prendre l'initiative, il y a des chances que ça vire de bord. À Montréal, on switche facilement. Lucian devra donc être assez performant, assez dominant, pour que toute la foule soit derrière lui. »

Devant la prédiction de Jean Pascal qui promet une victoire par K.-O. au cinquième round, Larouche émet un sérieux doute.

« Jusqu'à présent, il a prédit beaucoup de choses, mais peu ce sont réalisées. C'est un boxeur de 3-4 rounds. Il veut se convaincre qu'il est capable d'en faire un 5e. La guerre n'est pas finie. Tout ça est de bonne guerre. »

En collaboration avec Diane Sauvé


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F1 - Ferrari - Le mauvais rôle de la pièce

Fernando Alonso n'a cette fois rien à se reprocher. Il a été victime à Bahreïn de la rupture d'une petite pièce dans le système DRS de son aileron arrière.

C'est ce que Ferrari a confirmé par communiqué mardi. C'est la première fois depuis l'arrivée du DRS en 2011 que cette pièce lâche. Alonso a été obligé de s'arrêter deux fois aux puits afin que les mécaniciens baissent à la main le plateau mobile de l'aileron. Des mécaniciens tapant sur la voiture pour replacer une pièce, on ne voit pas ça souvent en F1...

« Notre analyse a montré qu'il s'agit du bris d'une composante mécanique dans le système DRS de l'aileron. Le bris de cette pièce ne nous inquiète pas, peut-on lire dans le communiqué de Ferrari. Mais nous devons nous assurer que la voiture soit toujours fiable à 100 %.

« Ça arrive souvent qu'une petite pièce nous empêche de tirer le maximum de la voiture, poursuit Ferrari. Ce bris est d'autant plus décevant que la voiture a été performante tout au long du week-end, et Alonso aurait certainement pu disputer la victoire à Vettel. »

Et comme si les problèmes de DRS ne suffisaient pas, la voiture de Felipe Massa a été ralentie par deux crevaisons durant la course.

« Je ne me souviens pas d'un week-end où tout a été à ce point de travers, a affirmé le patron de l'équipe Stefano Domenicali. Nous aurions pu obtenir de bons résultats, car la voiture était bonne. Alors, il ne faut surtout pas nous décourager. »

Ferrari conclut son bilan du week-end de Bahreïn en expliquant que « le calme règne à l'usine, car l'équipe a tous les éléments pour se battre pour le titre ».

Fernando Alonso n'a-t-il pas dit qu'il avait cette saison « la meilleure voiture qu'il ait pilotée depuis 3 ans »? Si.

Après ce week-end de misère, Ferrari a 32 points de retard sur Red Bull au Championnat des constructeurs.


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Ligue des champions - Munich écrase Barcelone

Les demi-finales de la Ligue des champions se sont mises en marche mardi avec le match aller entre le Bayern Munich et le FC Barcelone. L'équipe allemande l'a facilement emporté 4-0 au Allianz Arena sur des Catalans en manque d'inspiration.

Incertain avant la rencontre, Lionel Messi a amorcé le match avec le onze partant, mais sa présence n'aura pas dynamisé le jeu barcelonais.

Malgré une possession du ballon en faveur de Barcelone (64 % contre 36 %), le Bayern, plus incisif, a dominé le jeu. L'équipe bavaroise a réussi 15 tirs (7 cadrés) contre 4 (1 cadré) pour son adversaire catalan.

À la 25e minute, après un des 11 corners accordés par Barcelone, Arjen Robben a trouvé d'un court centre la tête de Dante, qui l'a redirigé vers Thomas Müller au second poteau. L'international allemand n'a eu qu'à pousser le ballon du front derrière un Victor Valdès hors position.

Après une demie, c'était 1-0 Bayern.

Dès le retour de la pause, Mario Gomez a accru l'avance des siens. Cette fois, c'est Müller qui a servi la passe décisive de la tête après un autre corner du Bayern. Gomez avait devant lui un filet béant et n'a pas raté l'occasion. L'attaquant allemand était toutefois en position de hors-jeu, mais les officiels ne l'ont pas signalé.

Puis, à la 73e minute, Robben s'est faufilé balle au pied dans la défense barcelonaise avant de mettre le ballon dans le petit filet, du côté opposé. Enfin, Müller a marqué son deuxième du match quelques minutes plus tard.

À 4-0, la situation semble désespérée pour Barcelone. Le match retour aura lieu au Camp Nou le 1er mai.

Avant le match, le Bayern a annoncé le transfert dès le 1er juillet de Mario Götze. Le jeune prodige allemand de 20 ans joue présentement avec le Borussia Dortmund, grand rival du Bayern. Le montant du transfert serait de 37 millions de dollars.

Dortmund jouera mercredi son match aller des demi-finales contre le Real Madrid.


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LNH - Résultats - Les espoirs des Jets, comme peau de chagrin

Les Jets auraient pu se réveiller au 3e rang de l'Est mercredi matin. Plutôt, ils ne seront même pas en position de participer aux séries, au 9e rang.

Les Jets se sont inclinés 5-3 devant les Capitals, leurs rivaux de division, mardi à Washington.

Les Capitals ont refusé de glisser hors du tableau provisoire des séries et se sont même assurés de conclure la saison au 3e rang. Dès la première période, ils ont pris une avance de 2-0 grâce aux efforts de Matt Henricks et Jason Chimera.

En deuxième, les Jets ont réussi à créer la parité avec les contributions d'Evander Kane et Blake Wheeler. Mais l'égalité n'aura persisté que 37 secondes.

Nicklas Backstrom et Mathieu Perreault ont eu tôt fait de redonner deux buts d'avance aux Jets avant que Nik Antropov ne vienne pimenter la fin de match en troisième période. Alex Ovechkin a complété le pointage dans un filet désert.

Plutôt que de trôner au sommet de leur division, les Jets n'ont plus qu'un match - contre le Canadien - pour se tailler une place en séries. Ils ne sont plus maîtres de leur destin.

Même si les Jets gagnent leur ultime rencontre, ils seront exclus du bal printanier si les Sénateurs signent une victoire à leurs trois derniers matchs et si les Rangers remportent un de leurs deux derniers duels.

Islanders 3 - Hurricanes 4 (F)

La défaite des Jets a ouvert la voie aux Islanders. Les New Yorkais se sont assurés d'une place en séries avec le point obtenu dans leur défaite de 4-3 en tirs de barrage face aux Hurricanes de la Caroline, à Raleigh.

Les Islanders atteignent donc les éliminatoires pour la première fois depuis 2007. John Tavares leur a permis de décrocher ce point crucial. Son but, à 61 s de la fin de troisième période, a forcé la prolongation.

Josh Bailey et Brad Boyes ont également marqué pour les Islanders. Evgeni Nabokov a réussi 29 arrêts.

Alexander Semin, Jordan Staal et Patrick Dwyer ont répliqué pour les Hurricanes. Dan Ellis a bloqué 36 tirs.

Rangers 2 - Panthers 3

Les Rangers auraient pu, eux aussi, assurer leur place parmi les huit premières formations de l'Est. Ils ont toutefois trébuché face à la pire équipe de leur Association.

Les Panthers ont vaincu les New-Yorkais 3-2, en Floride.

Henrick Lundqvist a cédé 2 fois sur 15 tirs. Drew Shore a marqué le troisième but des Panthers dans un filet désert avant que Derick Brassard, des Rangers, ne touche la cible pour la 11e fois de la saison en fin de match.

Taylor Pyatt est le seul autre des Rangers à avoir déjoué Jacob Markstrom, auteur de 36 arrêts.

En plus de Shore, Tomas Fleischman et Marcel Goc ont agité les cordages pour les Panthers.

Bruins 2 - Flyers 5

Les Bruins n'ont pu profiter d'une autre défaite du Canadien pour le distancer au classement.

Les Bostoniens ont été vaincus 5-2 par les Flyers, à Philadelphie.

Rien n'allait pour les Bruins. Leur capitaine Zdeno Chara a même marqué dans son propre but. Sa passe a dévié sur le bâton de son gardien Anton Khudobin pour donner l'avance 3-1 aux Flyers en deuxième période. Oliver Lauridsen, qui a été crédité du but, aurait sûrement rêvé d'un plus beau premier but dans la LNH.

Les Bruins, 2es dans l'Est, ont 59 points au classement, le même nombre que le Canadien, 4e. Ils ont toutefois un match de plus à disputer que le Tricolore.

À noter:

  • Thomas Vanek a inscrit deux buts, Ryan Miller a effectué 40 arrêts et les Sabres de Buffalo ont défait les Penguins de Pittsburgh 4-2.
  • Chris Stewart a récolté un 100e but et une 100e passe et les Blues de St. Louis ont défait Colorado 3-1 pour confirmer leur présence en séries. Ils n'avaient besoin que d'un point pour assurer leur participation aux éliminatoires.
  • Au Minnesota, le Wild a vaincu Los Angeles 2-1 sur des buts rapides de Charlie Coyle et Cal Clutterbuck en 1re. Le Wild occupe toujours le 7e rang dans l'Ouest avec 53 points et 2 matchs à jouer. Il devance de 2 points les Blue Jackets de Columbus, qui ont aussi 2 matchs à disputer.

  • Roman Cervenka a réussi un doublé, mais les Flames de Calgary se sont inclinés 4-3 face aux Predators, à Nashville. Filip Forsberg, 11e choix du dernier repêchage, a inscrit son premier point dans la LNH sur le premier but des Predators.
  • Austin Watson et Matt Halischuk ont marqué en l'espace de 1:23 en 3e pour mener les Predators de Nashville à une victoire de 4-3 sur les Flames de Calgary qui ont vu leur série de trois victoires prendre fin.

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Boxe - Bute/Pascal - «Je veux lui fermer la gueule» - Bute

Written By Unknown on Selasa, 23 April 2013 | 16.10

Lucian Bute a lancé un message clair à ses partisans et à Jean Pascal, lundi, à son camp d'entraînement de West Palm Beach, en Floride.

L'ancien champion IBF des super-moyens a indiqué aux journalistes sur place qu'il souhaite régler le cas de Pascal.

« Ça fait des années qu'il parle de moi. Il m'a lancé un défi. Il parle en mal de moi. Ces choses-là sont à l'intérieur de moi. Je n'ai jamais été aussi motivé. Je veux lui fermer la gueule », a-t-il lancé sur un ton hargneux qu'on ne lui connaissait pas.

Le hic, c'est que Bute avait promis la même chose dans les semaines qui ont précédé son duel fatidique contre l'Anglais Carl Froch.

On se souvient tous comment les choses se sont mal terminées, le 26 mai 2012, à Nottingham. Le Montréalais d'adoption y a subi, en moins de cinq rounds, la pire raclée et la seule défaite de sa carrière.

« Je ne savais pas ce que c'était de perdre. J'ai réalisé que je n'avais pas tout fait ce qu'il fallait faire contre un adversaire aussi difficile. Je l'ai probablement sous-estimé un peu. J'avais une confiance que je n'aurais pas dû avoir. »

Leçon bien apprise

Bute, c'est vrai, affiche une forme splendide. Son entraîneur Stéphan Larouche répète qu'il n'a jamais vu son protégé aussi motivé. À raison de deux séances par jour, sauf les dimanches, Bute peaufine sa préparation.

Bien encadré par Larouche, la nutritionniste Mélanie Olivier et le préparateur physique Alain Delorme, Bute met les bouchées doubles. Reprenant un autre refrain connu, jadis servi par Muhammad Ali, Bute a indiqué qu'il était prêt à en baver au gymnase pour que ce soit plus facile le soir du combat.

Pour ce qui est du poids qu'il doit ajouter à sa charpente, Bute parle là aussi avec confiance.

« Ça va être un avantage parce que je me sens plus fort. Mais je suis conscient que Jean Pascal est très fort et qu'il boxe à 175 lb depuis longtemps. Il a déjà été champion du monde des mi-lourds. »

Pour Alain Delorme, c'est encore plus clair. « On ne développe pas de la masse musculaire. On développe un athlète et le résultat a un impact sur la masse musculaire, pas l'inverse. On verra Lucian à son sommet. Ces gains ont été acquis avec du travail en puissance, en vitesse, en agilité et en mobilité. »

Comme il a amorcé sa préparation dès le mois de décembre, Bute avait une longueur d'avance avant de débarquer en Floride.

Le boxeur canadien a conclu en insistant sur le fait qu'il devra rester concentré pendant 12 rounds, s'il le faut.

« Jean Pascal est un boxeur explosif avec un bon crochet du gauche. Je m'entraîne avec des partenaires imprévisibles qui sont capables d'attaquer ou de contre-attaquer. »

En collaboration avec Diane Sauvé


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Féminin - Canada - St-Pierre range ses jambières

Moins d'une semaine après Sarah Vaillancourt, c'est au tour de la gardienne de l'équipe féminine du Canada Kim St-Pierre d'annoncer son retrait officiel de la compétition internationale.

St-Pierre, 34 ans, est associée au programme national de hockey féminin depuis 1998. Son palmarès comprend trois médailles d'or olympiques et quatre titres de championne du monde.

En 83 matchs, un record national, devant le filet canadien, elle a compilé une fiche de 64 victoires (autre record) et seulement 10 revers. Sa moyenne s'est fixée à 1,17 et son taux d'efficacité à ,939.

« Mes premiers Jeux olympiques, en 2002, c'est le plus beau moment que j'ai vécu avec l'équipe nationale, a indiqué la mère d'un petit garçon. Ç'a été tellement spécial pour moi. J'avais toujours rêvé d'une participation olympique dans n'importe quel sport. Finalement, c'est en hockey que j'ai réussi à le faire. C'était vraiment un beau moment. Mes parents étaient là lorsqu'on a gagné la médaille d'or. »

L'athlète de Châteauguay a aussi fièrement défendu les couleurs des Martlets de l'Université McGill durant quatre ans avant de jouer avec les Redmen. Elle devenait alors la deuxième femme à disputer des matchs dans une équipe universitaire masculine.

Elle a aussi inscrit son nom sur la coupe Clarkson à deux reprises en tant que membres des Stars de Montréal, dans la Ligue professionnelle féminine.

« Je veux remercier Hockey Canada, mes coéquipières, les entraîneurs, soigneurs, amis, parents et partisans qui m'ont appuyée tout au long de ma carrière. Je vais m'ennuyer de jouer pour Équipe Canada, mais je sais que de nouveaux défis excitants et des occasions intéressantes m'attendent, comme mère et dans mes projets. »

St-Pierre se dit maintenant prête à relever de nouveaux défis. Elle travaille notamment à l'élaboration de deux sites Internet. Le premier vise à aider les athlètes étudiants à se faire recruter au niveau universitaire. Le second propose des capsules pour conseiller les gardiennes de but dans leur entraînement.

« Entraîner des gardiennes de but m'intéresserait énormément. Il y a aussi des ouvertures pour moi du côté de la télévision pour être commentatrice ou analyste. C'est sûr que le hockey fait partie de ma vie. J'aimerais rester impliquée et aider au développement du hockey féminin au Québec »


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LHJMQ - Armada - Matteau libéré

L'Armada de Blainville-Boisbriand traverse une crise, en pleine série demi-finales de la Ligue de hockey junior majeur du Québec.

Lundi, l'équipe a décidé de libérer l'attaquant Stefan Matteau fils. C'est ce qu'a annoncé Joël Bouchard, le président et directeur général de l'Armada, en conférence de presse.

« Stefan n'en était pas à ses premiers incidents avec l'équipe, a-t-il expliqué. Nous lui avons indiqué à maintes reprises que son comportement était inacceptable pour notre organisation et l'avons souvent ramené à l'ordre lors de la saison actuelle. »

À l'origine de la décision, la réaction de Matteau après avoir été cloué au banc par l'entraîneur Jean-François Houle pendant la troisième période du dernier match, à Baie-Comeau, samedi.

Mécontent, le choix de premier tour des Devils du New Jersey a fait le voyage de retour dans l'autobus des partisans de l'équipe, même si l'Armada avait « insisté pour qu'il prenne un vol solitaire de Baie-Comeau vers Montréal le dimanche matin ».

Son père Stéphane, ancien joueur de la LNH et entraîneur adjoint de l'Armada depuis la saison 2011-2012, l'aurait accompagné. Malgré les frasques du fils, l'Armada a annoncé qu'il conservait ses fonctions d'adjoint.

Stefan Matteau fils a été choisi au 29e rang du repêchage de 2012. Il avait créé la surprise en commençant l'année dans le circuit Bettman, mais les Devils l'avaient renvoyé dans la LHJMQ après 17 rencontres.

Avec l'Armada, il a récolté 3 buts et 6 passes en 11 matchs pendant les séries éliminatoires.

L'Armada accuse un retard de 0-2 dans sa demi-finale contre le Drakkar de Baie-Comeau.


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LNH - Canadien - Le traitement Strasburg pour Galchenyuk

Une équipe qui se dirige vers une participation aux séries. Un jeune prodige dont la carrière a été ralentie par une blessure. L'équilibre entre le besoin de succès immédiat et l'avenir à long terme de ce prodige.

À bien des égards, le Canadien se retrouve avec Alex Galchenyuk dans la même situation qu'étaient les Nationals de Washington avec Stephen Strasburg en 2012.

Strasburg, rappelons-le, présentait l'an passé une fiche de 15-6 avec 197 retraits au bâton en 159,1 manches. Mais il disputait une première saison complète depuis son opération de type Tommy John. Les Nationals l'ont donc forcé au repos dès le 8 septembre, même s'ils participaient ensuite aux séries.

Dans le cas de Galchenyuk, c'est plutôt une déchirure ligamentaire à un genou qui lui a mis des bâtons dans les roues en 2011-2012. Limité à huit matchs cette saison-là, il est revenu au premier plan en 2012-2013 et a disputé samedi son 85e match de la saison (sans compter les rencontres préparatoires avec le Sting de Sarnia et l'équipe américaine junior).

Mais à 19 ans, il assure que l'énergie n'est pas un problème.

« Je me sens assez bien. Et quand tu joues dans un endroit comme le Centre Bell, le bruit des partisans m'aide à retrouver mon énergie. Donc, tu n'as pas vraiment à te motiver avant un match », a lancé le jeune homme après l'entraînement de lundi.

Évidemment, la blessure subie par Strasburg est nettement plus dangereuse que celle de Galchenyuk pour la suite d'une carrière. Et l'attaquant du Canadien n'est pas aussi dominant parmi les grands que l'artilleur des Nationals. Mais l'idée du juste milieu entre le besoin immédiat de gagner et la santé des deux jeunes demeure la même.

Pas de panique!

La fatigue n'a visiblement pas atteint Galchenyuk, qui s'impose comme un des meilleurs attaquants du Canadien depuis 10 matchs. Au cours de cette période, il a inscrit au moins un point dans huit rencontres pour amasser six buts et trois aides.

Le numéro 27 présente de telles statistiques en dépit du fait que son temps d'utilisation est limité. Soir après soir, il figure parmi les trois attaquants les moins employés par Michel Therrien, et il se contente souvent de miettes en avantage numérique (1:04 par match, le 8e total parmi les attaquants). Il a excédé les 12 minutes de jeu seulement 3 fois dans les 10 derniers matchs.
Avec sous la main une équipe qui se cherche, Therrien a-t-il été tenté de déroger de son « plan » avec Galchenyuk et d'exploiter davantage son talent naturel?

« Il va très bien dans la position où on le met, a rappelé Therrien. Si on commence à changer cette position, je ne suis pas sûr que ça ira si bien. On a toujours tendance à penser qu'on va en donner plus à un joueur et que ça ira mieux. Ce n'est pas toujours comme ça, c'est parfois le contraire. On a un plan avec Alex. Il va bien, il progresse. On veut s'assurer que ça continue. »

En bonne recrue, Galchenyuk balaie du revers de la main toute question sur son utilisation.

« Les gens me posent toujours des questions sur mon temps de glace. Je suis simplement heureux de faire partie de cette équipe. Après les matchs, je ne regarde pas combien de temps je joue. Ça ne me dérange pas. Je me concentre à faire les bonnes choses sur la glace. »

Moen en danger

Par ailleurs, il semble que Travis Moen soit en danger de sauter son tour mardi soir au New Jersey.

À l'entraînement de lundi, l'attaquant a fait plusieurs apparitions dans le « cinquième » trio avec Gabriel Dumont et Mike Blunden, tandis que la quatrième unité était formée de Brandon Prust, Jeff Halpern et Colby Armstrong. Ce dernier s'est dit prêt à revenir au jeu après sa blessure à un genou.

Therrien n'a toutefois pas voulu confirmer quoi que ce soit au sujet de sa formation.
Therrien a également jonglé avec ses duos d'arrières. Il a réuni Josh Gorges à Raphael Diaz, un tandem qui fonctionnait bien en début de saison. Andrei Markov a été jumelé à Yannick Weber, tandis que Francis Bouillon a retrouvé P.K. Subban.

Trios à l'entraînement

Bourque-Plekanec-Gionta
Pacioretty-Desharnais-Gallagher
Galchenyuk-Eller-Ryder
Prust-Halpern-Armstrong
Moen-Dumont-Bounden

Défenseurs

Gorges-Diaz
Bouillon-Subban
Markov-Weber
Kaberle-Drewiske

À noter

- Le Canadien a rappelé des Bulldogs de Hamilton les gardiens de but Robert Mayer et Dustin Tokarski, les défenseurs Nathan Beaulieu, Greg Pateryn et Jarred Tinordi, de même que les attaquants Michaël Bournival, Louis Leblanc et Petteri Nokelainen.


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LNH - Résultats - Les Jets prennent les Sénateurs en chasse

La course aux séries s'est corsée lundi soir. La défaite des Sénateurs combinée à la victoire des Jets a créé un certain embouteillage entre les positions 6 et 9 au classement de l'Est.

Les Sénateurs ont été vaincus 3-1 par les Penguins, à Ottawa. Dan Bylsma est devenu l'entraîneur le plus rapide à atteindre les 200 victoires. Il l'a fait à son 316e match.

Pour ce faire, il a su compter sur les contributions offensives de Dustin Jeffrey, Jarome Iginla et Tyler Kennedy. Patrick Wiercioch a ramené le match à 2-1 en milieu de troisième période, mais les Sénateurs n'ont pu compléter la remontée. 

Ils ont ainsi glissé du 7e au 8e rang, derrière les Rangers, qui ont eux aussi amassé 52 points en 45 matchs, mais qui ont signé plus de victoires que les Sénateurs en 60 minutes de jeu.

Les Jets, qui ont un match de moins à disputer, sont maintenant à un point des Sénateurs. Ces derniers ont une fin de calendrier peu rassurante devant eux. Ils affronteront les Capitals, les Flyers et les Bruins. 

Au 6e rang, les Islanders sont les mieux positionnés dans cette course à quatre équipes pour les trois derniers billets donnant accès aux séries. Ils détiennent 53 points et ont 3 matchs à jouer.

Jets 2 - Sabres 1

Les Jets ont perdu deux soldats en fin de semaine, mais ils sont toujours en guerre.

Le but d'Antti Miettinen à la 13e minute de la 3e période a permis aux Manitobains de l'emporter 2-1 face aux Sabres, à Buffalo, et de se rapprocher à un point d'une place en séries. 

Ondrej Pavelec a réussi 24 arrêts et Aaron Gagnon a marqué l'autre but des Jets, qui ont maintenant 51 points au 9e rang dans l'Est.

Tomas Vanek a été le seul à toucher la cible pour les Sabres, déjà éliminés de la course aux séries.

Les Jets, motivés par leur possible participation aux séries, ont tiré 39 fois en direction de Jhonas Enroth.

Coyotes 0 - Red Wings 4

Les Red Wings ont fait un pas de plus vers une 22e participation de suite aux séries, mais elle n'est pas encore acquise.

Les Wings ont signé un gain sans appel de 4-0 face aux Coyotes de Phoenix, à Détroit. Johan Franzen a réussi un doublé. Damien Brunner et Valtteri Filppula ont complété le pointage.

Avec cette victoire, les Wings s'approchent à un point des Blue Jackets et du 8e rang dans l'Ouest. Les Wings ont trois matchs à disputer, contre deux seulement pour les Jackets.


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ATP - Monte-Carlo - Choc Nadal-Djokovic en finale

Written By Unknown on Minggu, 21 April 2013 | 16.10

Le dernier affrontement entre Rafael Nadal et Novak Djokovic remonte à Roland Garros en 2012. Les deux joueurs remettront ça en finale du tournoi de Monte-Carlo, dimanche.

Rafael Nadal a d'abord battu le Français Jo-Wilfried Tsonga (no 6) en demi-finale samedi, 6-3, 7-6 (7/3).

La tête de série no 3 a dû contenir une belle remontée de Tsonga pour mettre fin au match.

Mené 1-5 en deuxième manche, Tsonga a brisé son adversaire à deux reprises pour forcer un bris d'égalité. Il n'a toutefois pu arracher la manche et s'est avoué vaincu après 1 h 37 min.

Tsonga a connu de la difficulté en première balle de service avec un taux d'efficacité de 62 %, mais a tout de même réussi quatre as, contre trois pour Nadal.

Quant à Djokovic, il n'a eu besoin que de 52 min pour venir à bout de l'Italien Fabio Fognini 6-2, 6-1.

Le no 1 mondial a été expéditif en plus de réussir trois as et de briser quatre fois Fognini. Ce dernier a d'ailleurs été chahuté par la foule au terme du match en raison de son manque de vigueur sur le terrain.

Djoko tentera donc de venger sa dernière défaite contre Nadal, soit en finale des Internationaux de France l'an dernier. Il s'était également incliné devant l'Espagnol en finale à Monte-Carlo, en 2012.

En double, le Canadien Milos Raonic n'a pu accéder à la finale avec son coéquipier australien Bernard Tomic. Ils ont été défaits en deux manches identiques de 6-3 par les frères Bob et Mike Bryan des États-Unis.


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ITF - Fed Cup - Bouchard se blesse et perd

Eugenie Bouchard s'est blessée, et a perdu le premier match de l'affrontement de Fed Cup entre le Canada et l'Ukraine, samedi, à Kiev. Les deux pays sont à égalité 1 partout.

La Québécoise de Westmount a cédé en trois manches de 6-7 (8), 6-3 et 6-2 face à Elina Svitolina. Après une première manche accrochée, Bouchard s'est blessée à la cheville droite dans la deuxième, et a lâché prise, permettant à l'Ukraine de prendre l'avance 1 à 0 dans cet affrontement de la phase éliminatoire du Groupe mondial II.

Mais le Canada a égalisé dans le deuxième simple grâce à Sharon Fichman, qui a battu Lesia Tsurenko en trois manches 7-6 (5), 2-6 et 6-3. La joueuse canadienne s'est moquée du classement mondial, plus de 50 places les séparent, pour aller chercher le premier point du Canada.

« C'est agréable d'inscrire un point pour l'équipe, a dit Fichman. Il ne fallait pas que je me fasse du souci à propos du premier match. Il fallait que je me concentre sur la tâche à accomplir. Je suis heureuse d'avoir bien joué, car nous sommes en bonne posture pour gagner demain. »

Dimanche, le Canada pourra en tout cas compter sur le patriotisme de Bouchard...  

« Je veux jouer demain, a dit Bouchard. Je vais me reposer ce soir et tout faire pour être prête. J'abandonne rarement un match. Après le traitement, mes mouvements n'étaient pas aussi fluides, mais je voulais me battre jusqu'à la fin. Je représente mon pays et mon équipe, et c'est un week-end très important pour nous. »

Les deux autres matchs de simple et celui de double seront disputés dimanche, à compter de 5 h HAE. En ouverture de programme, Bouchard affrontera Tsurenko. Les deux pays tentent d'obtenir une place dans le groupe II en 2014. Le Canada avait réussi à y accéder en 2011.

Dans sa demi-finale du groupe mondial, l'Italie a pris à Palerme une avance de 2 à 0 dans son affrontement contre la République tchèque. Sara Errani et Roberta Vinci l'ont emporté face à des joueuses tchèques visiblement gênées par la lenteur de la terre battue italienne.

Dans l'autre demi-finale, Dominika Cibulkova et Daniela Hantuchova ont donné une avance de 2 à 0 à la Slovaquie sur la Russie.

La finale du groupe mondial de la Fed Cup aura lieu les 2 et 3 novembre.


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LNH - Résultats - Van Riemsdyk s'occupe des Sénateurs

James van Riemsdyk a inscrit deux buts en deuxième période et les Maple Leafs de Toronto ont battu les Sénateurs 4-1 à Ottawa. 

Les Maple Leafs (25-15-5) se sont ainsi assurés d'une place dans les séries éliminatoires pour la première fois depuis la saison 2003-2004.

Jakob Silfverberg (9e) a été le seul joueur des « Sens » à tromper la vigilance de James Reimer, impérial, qui a repoussé 49 des 50 rondelles dirigées vers lui.

Nazem Kadri (18e) et Joffrey Lupul (10e) ont aussi marqué en troisième période pour Toronto qui s'approche à deux points des Bruins de Boston et du 4e rang dans l'Est. Les Sénateurs d'Ottawa (23-15-6) reculent d'un échelon et sont maintenant 7e.

Les deux buts de Van Riemsdyk étaient ses 17e et 18e de la saison.

Penguins 3 - Bruins 2

Jarome Iginla a inscrit un but en plus de blesser Nathan Horton dans un combat et les Penguins de Pittsburgh ont battu les Bruins 3-2 à Boston, samedi.

Avec cette victoire, les Penguins remportent le titre de l'Association de l'Est.

Brad Marchand (17e) avait pourtant ouvert la marque pour les Bruins en première période après avoir déculotté Kristopher Letang et déjoué Tomas Vokoun.

Iginla a ensuite jeté les gants devant Horton, qui n'a pu compléter la rencontre.

Au deuxième vingt, Jussi Jokinen a créé l'égalité avec sa 10e réalisation de la saison. Iginla (12e) a procuré l'avance aux siens en troisième période et Letang (5e) s'est chargé du but d'assurance.

Tyler Seguin (16e) a, quant à lui, compté le dernier but des Bruins avec 3 secondes à jouer.

Le match, qui devait avoir lieu la veille, avait été reporté en raison des événements liés à l'attentat du marathon de Boston.

Après une cérémonie d'ouverture teintée d'émotion, les partisans des Bruins (26-12-5) ont chahuté Iginla tout au long de la rencontre.

Avant la date limite des échanges, de nombreuses rumeurs envoyaient Iginla à Boston, mais ce dernier a finalement opté pour Pittsburgh (34-10-0).

Islanders 5 - Jets 4

Les Islanders de New York ont fait un pas de plus vers une première participation aux séries éliminatoires depuis la saison 2006-2007. Ils ont battu les Jets de Winnipeg en tirs de barrage 5-4 (2-1).

Les Islanders s'étaient donné un coussin de deux buts en deuxième période à la suite du quatrième but de la saison de Matt Martin. Mais Kyle Wellwood (5e, 6e) a marqué deux fois avant la fin de l'engagement et les deux équipes sont retournées au vestiaire avec une égalité de 3-3.

En troisième période, Michael Grabner (16e) a redonné l'avance aux Islanders, mais Bryan Little (7e) a déjoué Evgeni Nabokov (24 arrêts) avec deux minutes à jouer au match pour provoquer la prolongation.

Après une période supplémentaire échevelée, mais qui n'a pas fait de maître, John Tavares et Brad Boyes ont battu Ondrej Pavelec (29 arrêts) en fusillade pour permettre aux Islanders de l'emporter. Andrew Ladd a été le seul joueur des Jets à battre le gardien adverse pendant les tirs au but.

Le point accumulé par les Jets (23-19-3) leur permet de s'approcher à un seul des Rangers de New York (23-17-4) et du 8e et dernier échelon donnant accès aux séries.

Panthers 2 - Devils 6

À Newark, les Devils du New Jersey ont effacé un déficit de deux filets pour l'emporter 6-2 sur les Panthers de la Floride.

Les deux buts du match de Patrik Elias (12e, 13e) ont permis aux Devils d'égaliser le score et David Clarkson (14e) a ensuite donné les devants aux siens au milieu de la deuxième période.

Ryan Carter (6e), Stephen Gionta (4e) et Dainius Zubrus (2e) ont aussi contribué offensivement à la deuxième victoire de suite des Devils, qui avaient connu auparavant une séquence de dix matchs sans victoire (0-6-4).

Avec ce gain, New Jersey (17-17-10), 10e dans l'Est à 6 points des Rangers de New York et du 8e rang, conserve un bien mince espoir de participer à la grande danse du printemps.

Martin Brodeur n'a eu besoin d'effectuer que 11 arrêts pour récolter la 668e victoire de sa carrière.

À noter

  • L'attaquant des Flyers de Philadelphie Wayne Simmonds a connu une soirée qu'il n'oubliera pas de si tôt. Il a réussi le premier tour du chapeau de sa carrière, en plus de récolter une passe, et il a ainsi mené les Flyers à une victoire de 5-3 sur les Hurricanes, en Caroline. 

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Capitals 5 - Canadien 1 - «On était mous» - Gorges

Une semaine de trois matchs peut-elle suffire au Canadien pour se replacer? Pour que Michel Therrien prive ses hommes de leur habituel congé dominical, c'est signe que le temps presse.

C'est avec cette question pour le moins inquiétante que le Tricolore (27-13-5) amorcera la dernière semaine de son calendrier, après un autre gênant revers, cette fois au compte de 5-1, aux mains des Capitals de Washington (25-18-2), samedi, à Montréal.

« Je dois faire quelques arrêts de plus. On doit mieux jouer en tant que groupe et ça commence par moi », a admis Carey Price après la rencontre.

« Je suis déçu de tous les aspects : 5 contre 5, avantage numérique, désavantage numérique », a décrit un Therrien de peu de mots.

Après une victoire à l'arraché contre une équipe de 13e place jeudi, le Tricolore avait besoin d'une performance convaincante contre les Capitals. C'est plutôt l'équipe à la défense brouillonne qui est réapparue.

À quel point était-elle brouillonne? Après six minutes et trois tirs au but, c'était 2-0. Après huit minutes en deuxième période, le Canadien avait besoin d'un grand chelem pour créer l'égalité.

Les trop rares arrêts de Carey Price ont semblé venir quand l'adversaire visait une de ses pièces d'équipement. Josh Gorges, encore sur la patinoire pour trois buts des rivaux, a continué à ne plus être l'ombre de lui-même. Et même P.K. Subban, un exemple de constance cette saison, a joué sans conviction.

« On peut parler des X et des O, de l'exécution, du système tant qu'on veut, on était mous, a martelé Gorges. Quand tu te fais battre dans des batailles dans le coin, quand tu n'es pas premier sur la rondelle, quand nos couvertures ne sont pas bonnes, c'est là que l'exécution semble molle. »

Et la solution?

« De l'entraînement », a sèchement répondu Price.

Le gardien du Tricolore sera servi à souhait puisque le congé attendu dimanche a été remis aux calendes grecques. C'est plutôt une rare séance d'entraînement du dimanche, la première de la saison, qui attend le CH.

« Ma responsabilité en tant qu'entraîneur est que notre équipe soit prête pour les séries, a a rappelé Therrien. Il nous reste une semaine, trois matchs, je suis convaincu qu'on sera prêt. »

Gorges outré

Alexander Ovechkin et Troy Brouwer, avec deux buts chacun, et Nicklas Backstrom ont été les tortionnaires de Price. Ovechkin a ainsi atteint la marque des 30 buts pour une 8e fois en 8 saisons dans la Ligue nationale.

Max Pacioretty a privé Braden Holtby d'un jeu blanc avec moins de sept minutes à écouler à la rencontre. Pacioretty et ses compagnons de trio ont célébré le but avec leur plus belle face d'enterrement, tandis que les applaudissements des quelques braves qui n'ont pas été chassés par le cinquième but des Capitals semblaient dérisoires.

Parlant de dérision, Price a eu droit à sa part d'applaudissements sarcastiques sur les arrêts les plus banaux. Et ça n'a pas plus à Gorges.

« Je n'ai jamais compris que ça puisse arriver dans ton propre aréna, a dit le défenseur. Il a été incroyable pour nous depuis plusieurs années. Et ce n'était pas sa faute. Êtes-vous sérieux? C'est notre faute à tous. Et ça m'offense parce que c'est un bon ami et un coéquipier. Je connais son caractère, je sais qu'il donne son meilleur effort.

« Oui, il aimerait revoir un ou deux buts, mais le reste est la faute de l'équipe. Je n'aime pas qu'on se moque de lui. Ça ne nous aide pas, ça ne l'aide pas. Je comprends la frustration, mais se moquer de quelqu'un n'aide pas. »

Diaz de retour

Après 25 matchs d'absence en raison d'une commotion cérébrale, Raphael Diaz est revenu au jeu pour le Canadien. Le défenseur suisse a ravi le poste de Davis Drewiske dans la formation.

Diaz a justement obtenu la première chance de marquer du Tricolore. Pendant un avantage numérique, son tir de la pointe a heurté le poteau à la gauche de Holtby.

À l'avant, Brandon Prust a repris sa place au profit de Gabriel Dumont. Ce dernier a livré un autre effort digne d'un guerrier avec six mises en échec et trois tirs bloqués, dont un particulièrement douloureux sur un pied en première période.

Quand le Canadien allait bien, Prust se distinguait à titre de quatrième étoile. C'est pourquoi il a reçu le trophée Jacques-Beauchamp avant le match. Quand Prust devient le meilleur joueur sur la patinoire, même avec une seule cheville fonctionnelle et une épaule en compote, c'est généralement mauvais signe.

À noter

  • Mike Ribeiro (3 passes) et Alex Ovechkin (2 buts, 1 passe) ont récolté trois points chacun.

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Comité olympique canadien - Aubut réélu

Marcel Aubut a vu son mandat à la tête du Comité olympique canadien être prolongé de quatre autres années, samedi.

Aubut, qui a été élu président du COC en 2009, a un objectif bien précis en tête pour son nouveau mandat : récolter plus de médailles aux prochains Jeux olympiques d'hiver comme d'été.

Pour ce faire, le président réélu compte augmenter le bassin de médaillés potentiels, puis transformer ces espoirs en médailles, mieux que tout autre pays. Il croit fermement que les athlètes canadiens peuvent rivaliser avec les meilleurs au monde s'ils sont adéquatement soutenus et encadrés.

Dans son discours de réélection, Aubut a ciblé trois éléments sur lesquels il veut concentrer ses efforts. Il compte investir dans les athlètes, dans les entraîneurs ainsi que dans les fédérations nationales de sport, harmoniser le système sportif et montrer comment le sport et les athlètes sont des atouts pour la société.

Au cours de son premier mandat, Aubut a notamment permis de générer des revenus de plus de 100 millions en provenance du secteur privé.

L'ancien président des Nordiques de Québec s'est dit très honoré de pouvoir continuer à servir le COC.


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F1 - GP de Bahreïn - La 200e de Webber

Written By Unknown on Sabtu, 20 April 2013 | 16.10

Mark Webber disputera son 200e Grand Prix de F1, dimanche, s'il se qualifie pour la course. Il a commencé sa carrière en F1 au Grand Prix d'Australie de 2002.

Après le départ de Michael Schumacher, Webber est le vétéran du plateau en 2013, âgé de 36 ans. Douze saisons, c'est remarquable dans le monde si compétitif de la F1. Webber a connu 3 chapitres dans sa carrière : les débuts chez Minardi, l'apprentissage chez Jaguar et chez Wiliams et les victoires chez Red Bull.

Webber a fait forte impression à ses débuts en terminant au 5e rang à son tout premier Grand Prix, en Australie. De quoi déroger au protocole. Webber et son patron de l'époque et compatriote Paul Stoddart n'ont pas hésité à monter sur le podium pour célébrer cet exploit.

« Je ne pensais pas, dans mes rêves les plus fous, qu'il finirait 5e, se souvient Paul Stoddart, ancien propriétaire de l'équipe Minardi. À la fin, tout le public de l'Albert Park est venu dans les puits, c'était un des moments les plus fous de l'histoire de la F1. »

Engagé logiquement par une équipe de plus grande envergure, Jaguar, Webber n'a pas pu se faire justice en 2003 et 2004. L'équipe n'a pas eu les résultats escomptés, a  finalement été lâchée par le géant Ford et a été vendue à Red Bull. 

Webber a alors été repêché par Frank Williams, pour les saisons 2005 et 2006. Et c'est avec Williams qu'il est monté pour la première fois sur le podium. À Monaco en 2005, un tire-bouchon circuit où il a connu beaucoup de succès. Il a beaucoup appris du patron de l'équipe, un homme marqué par la vie, très exigeant envers lui-même et ses employés.

« Mark a toujours été passionné, a témoigné Frank Williams. Tout ce qu'il a obtenu, il l'a mérité, par sa détermination. Il fait partie de l'histoire de notre entreprise. Nous avons eu nos prises de bec, mais c'est sain. Entre ces quatre murs, nous n'avons que de bons souvenirs de lui. »

Ses performances dans l'équipe de Grove lui ont permis de décrocher un volant dans l'équipe Red Bull en 2007. Il a d'abord eu David Coulthard comme coéquipier, puis Sebastian Vettel.

« Quand Mark a signé, je ne pense pas qu'il pouvait imaginer combien de victoires on allait remporter, ni à combien de titres il allait contribuer », affirme Adrian Newey, ingénieur en chef de Red Bull.

Red Bull, le temps des récompenses

Le pilote australien a remporté sa première victoire en Allemagne en 2009.

« Personne n'aurait pu l'empêcher de gagner ce jour-là », se souvient le patron de l'équipe, Christian Horner. Il avait obtenu la pole position et avait dominé la course. »

Chez Red Bull, il a remporté 9 courses, dont 2 à Monaco (2010, 2012). 

« On aimerait toujours avoir 25 ans, mais je suis devenu plus sage, précise Webber, plus affûté, j'adore piloter et j'ai toujours faim. On verra bien combien de courses je pourrai faire encore. »

Une dernière phrase qui en dit long sur les récents évènements qui ont sérieusement fragilisé sa position chez Red Bull. Et dire qu'il aurait pu piloter pour Ferrari en 2013, mais qu'il a préféré rester le coéquipier de Vettel, pour « continuer à piloter la meilleure voiture du plateau », avait-il dit en juillet 2012, après avoir accepté une prolongation de contrat.

La presse spécialisée rapporte qu'il doit rencontrer le cofondateur de l'empire Red Bull, Dietrich Matschitz, lundi pour discuter de son avenir. Il est question qu'il soit remplacé par Kimi Raikkonen en 2014.

Comme cadeau, la FIA lui a offert... une pénalité, le jugeant responsable de l'accrochage avec Jean-Éric Vergne (Toro Rosso) lors du Grand Prix de Chine. Webber devra reculer de 3 places sur la grille de départ de Bahreïn. Il ne pourra donc pas s'offrir une place en première ligne.

Avant la F1, les 24 heures du Mans

Et dire qu'il a failli ne pas atteindre la F1... En 1999, alors âgé de 22 ans et pilote d'endurance pour Mercedes-Benz, il a connu le pire week-end de sa vie lors de la célèbre course des 24 heures du Mans.

Le prototype Mercedes-Benz CLR n'était pas au point et le pilote australien qui pilotait la voiture no 4 a décollé à deux reprises en 24 heures. La première fois lors des qualifications à 300 km/h et la deuxième fois lors du réchauffement avant le départ de la course.

« À cette vitesse, je n'ai pas pu empêcher qu'elle décolle, se souvient Webber (à écouter dans l'extrait vidéo). La voiture s'est envolée, je voyais le sol, le ciel, le sol, le ciel, ce fut une expérience horrible. La voiture a tenu le coup lors de l'impact, mais c'est clair qu'elle était dangereuse. »    

Webber n'a pas participé à la course, encore sonné par ses deux sorties de piste. Et c'est des puits qu'il a vu un coéquipier de l'équipe, Peter Dumbreck, décoller lui aussi au 75e tour. Une image terrifiante captée en direct (voir vidéo).

Le souvenir tragique de 1955 est revenu en mémoire à grande vitesse. Mercedes-Benz a compris qu'il ne fallait pas tenter le mauvais sort. Le géant allemand a retiré ses voitures de l'épreuve et a détruit les prototypes CLR après le désastreux week-end. 


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LNH - Canadien - La forêt des mal-aimés

Ce n'est évidemment pas avec une victoire à l'arraché contre une équipe de 13e place que le Canadien peut se bomber le torse. Mais à tout le moins, les hommes de Michel Therrien ont apaisé la tempête.

Le Tricolore a eu droit à un congé d'entraînement, vendredi, et tentera de continuer à bâtir sa confiance samedi soir, avec la visite des Capitals de Washington.

Que ce soit sur Twitter ou dans les commentaires au bas des articles de nouvelles, la panique se sentait au sujet d'une équipe qui, avant ce triomphe de 3-2 sur le Lightning, avait accordé 18 buts à ses 3 derniers matchs. Et l'écrasante majorité des critiques étaient dirigées vers Carey Price. Ce dernier avait accordé 12 buts sur les 53 derniers tirs qu'il avait vus.

« C'est facile pour les gens de s'en prendre au gardien parce qu'il est le dernier rempart, a rappelé le gardien du Canadien, jeudi soir, quand le groupe de journalistes devant son casier s'éparpillait. Mais nous sommes six sur la patinoire. Tu ne peux pas tout prendre sur toi, ça va te rendre fou! »

À ce sujet, Michel Therrien avait un message pour ses ouailles, pour leur permettre de survivre dans un marché aussi exigeant que Montréal.

« Quand ça va bien, tout le monde te donne des tapes dans le dos, te dit que t'es très bon, rappelait l'entraîneur-chef du CH jeudi. Et quand ça va mal, c'est l'inverse. Quand ça va bien, soyez humbles, ne vous pensez pas meilleurs que ce que vous êtes. Et quand ça va mal, ne vous pensez pas pires que ce que vous êtes. Il y a un équilibre à trouver. »

Le message de Therrien a visiblement été compris.

« Ici, on m'a dit que tu n'es jamais aussi bon que ce que tu es, ni jamais aussi mauvais que ce que tu es, a mentionné Price. Tu ne peux pas accepter tout le blâme, mais tu dois faire un effort honnête pour changer les choses.

« En tant que professionnel, il faut travailler fort pour s'en sortir. J'en ai parlé à mon père et il m'a dit qu'il n'y a aucun raccourci, il faut continuer à travailler. S'il y en avait un, quelqu'un l'aurait trouvé! »

La rédemption pour Weber

Si Price s'est racheté dans le coeur des partisans, au moins le temps d'un match, Yannick Weber, lui, a fait des pas dans la bonne direction pour revenir dans les bonnes grâces de Therrien.

Le Suisse n'avait disputé que 2 des 42 premiers matchs du Tricolore, mais ne s'est jamais plaint devant les micros. Sa patience a été récompensée cette semaine.

Weber a passé près de 30 minutes sur la patinoire au total lors des rencontres de mercredi et de jeudi, et il a été sur la patinoire pour un seul des huit buts accordés par le Canadien. Et c'était le but chanceux de Douglas Murray en troisième période à Pittsburgh.

En deux matchs, Weber a amassé deux aides. Sa tenue a permis au CH de renvoyer Nathan Beaulieu à Hamilton. Et sa présence offre à l'équipe un deuxième défenseur droitier avec P.K. Subban.

« Il a une chance, c'est à lui de la saisir, a rappelé Therrien. Il a fait un bon jeu sur le but gagnant. Il patine bien et semble en confiance, ce qu'on ne sentait pas au début. Il doit continuer de cette façon. »

« Avec la blessure à Alexei Emelin et les séries qui arrivent, c'était important que j'aie une chance de jouer. Ç'a bien été, j'ai bien joué en défense. C'est important d'avoir cette chance. »

Avec un retour possible de Raphael Diaz samedi, Therrien pourrait devoir envoyer un arrière sur la passerelle. À la lumière des deux dernières rencontres, c'est à se demander si le malheureux élu ne sera pas Davis Drewiske. Ce dernier a joué quatre minutes de moins que Weber jeudi.


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Canada - Wozniak espère toujours un retour cet été

Petit à petit, l'épaule droite d'Aleksandra Wozniak guérit. La joueuse de Blainville a fait le point vendredi sur son état de santé.

Wozniak dit que la rééducation de son épaule suit son cours normal. Pour le moment, cela se passe à l'extérieur du court de tennis, et sans raquette.

« Les exercices continuent à progresser, je suis capable de faire plus de choses en gymnase, donc c'est encourageant », a-t-elle déclaré. Elle ajoute que l'inflammation est maintenant disparue.

L'épaule d'Alexsandra Wozniak l'embête depuis plusieurs mois maintenant.

Blessée une première fois au Challenge Bell, en septembre dernier, Wozniak a effectué un très bref retour au jeu en mars, à Miami. Elle n'a joué qu'un match, qu'elle a perdu contre la Française Caroline Mladenovic, avant de ressentir de nouvelles douleurs au même endroit.

Un spécialiste lui a alors conseillé une pause de trois mois avant de revenir au jeu.


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MLS - Impact - De Bologne à Montréal

Daniele Paponi change de latitude. L'Impact de Montréal a confirmé vendredi que l'attaquant italien lui a été prêté par le Bologne F.C.  de la première division italienne.

L'entente sera confirmée une fois que son transfert international et son visa seront acceptés.

Paponi, qui a eu 25 ans le 16 avril, se joint à l'Impact après avoir participé à un essai avec l'équipe. « C'est un joueur qui ajoutera beaucoup de profondeur en attaque » a déclaré dans un communiqué le directeur sportif de l'Impact, Nick De Santis. « Il a des qualités et un profil différent de Marco Di Vaio et d'Andrew Wenger » .

Il a été prêté à l'Impact de Montréal jusqu'au 31 décembre 2013.

L'attaquant a disputé trois matchs en Serie A et un match de Coupe d'Italie avec le Bologne F.C. en 2012-2013. Il a également joué 18 matchs en trois saisons avec le club d'Émilie-Romagne. Il y a été le coéquipier de Marco Di Vaio et du milieu de terrain Andrea Pisanu.

Daniele Paponi a commencé sa carrière professionnelle en 2005 avec Parme, à l'âge de 17 ans. Il avait marqué deux buts et récolté une passe décisive pour le Parme F.C. à la Coupe UEFA en 2006-2007.

Sur la scène internationale, il a disputé quatre matchs avec l'équipe italienne des moins de 20 ans.


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LNH - Résultats - Les Sabres éliminés

Les Rangers de New York se sont amusés vendredi soir à Buffalo, où ils ont infligé une sévère correction de 8-4 aux Sabres.

Brad Richards s'est distingué dans la victoire, en marquant ses 8e, 9e et 10e buts de la saison. Étonnement, il s'agit du premier tour du chapeau de sa carrière, lui qui disputait son 896e match dans la Ligue nationale. Il compte maintenant 255 buts depuis son arrivée dans le circuit.

Rick Nash (un but et une passe), Ryane Clowe (un but et une passe) et Derek Stepan (deux passes) sont les autres joueurs des Rangers qui ont obtenu plus d'un point dans cette rencontre.

Cette victoire permet aux Rangers de s'offrir un maigre coussin de deux points sur les Jets de Winnipeg au 8e rang dans l'Association de l'Est. Les deux équipes doivent encore disputer quatre rencontres d'ici la fin de la saison.

Cette défaite des Sabres confirme par ailleurs qu'ils ne participeront pas aux séries éliminatoires cette année. Avec trois matchs à jouer, ils accusent un retard de six points sur les Rangers, qui comptent en ce moment quatre victoires de plus qu'eux.

À noter :

  • Brian Elliott a effectué 21 arrêts et les Blues de St. Louis ont signé une neuvième victoire en 11 rencontres, 2-1 face aux Stars de Dallas. Les Blues occupent le 6e rang dans l'Ouest avec 54 points.
  • Marian Hossa a marqué un but en avantage numérique en tout début de période de prolongation pour procurer aux Blackhawks de Chicago un 7e gain d'affilée, 5-4 face aux Predators de Nashville.
  • À Denver, Devan Dubnyk a repoussé 33 tirs et les Oilers d'Edmonton ont mis fin à une série de 6 revers en l'emportant 4-1 sur l'Avalanche du Colorado.

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Féminin - Canada - Vaillancourt ferme les livres

Written By Unknown on Jumat, 19 April 2013 | 16.10

La Sherbrookoise et double médaillée d'or olympique Sarah Vaillancourt a annoncé, jeudi, qu'elle mettait un terme à sa carrière internationale.

Elle a contribué aux succès de la sélection canadienne aux Jeux de Turin en 2006 et à ceux de Vancouver en 2010.

« Bien que la décision de prendre ma retraite n'a pas été facile, je sais que d'autres défis et de belles occasions m'attendent », a raconté la Québécoise dans un communiqué de Hockey Canada.

« Je veux profiter de cette occasion pour remercier tous ceux qui m'ont aidée à réaliser mon rêve de jouer au hockey pour mon pays, a ajouté Vaillancourt. Plusieurs entraîneurs m'ont aidée à progresser comme joueuse au fil des ans, de mes premiers pas en patins à ma participation aux Jeux olympiques et aux championnats mondiaux avec Équipe Canada.

« Merci aussi à ma famille, mes amis, les soigneurs, les membres du personnel de soutien et toutes les excellentes coéquipières aux côtés desquelles j'ai eu l'honneur de jouer au fil des ans. Ce fut un immense plaisir et un honneur de vous compter parmi mes coéquipières et mes amies. »

En 107 rencontres internationales, elle a inscrit 45 buts et récolté 53 mentions d'aide. Vaillancourt, 27 ans, a pris part à six Championnats du monde et a décroché l'or en 2007.

Plus récemment, elle a effectué un retour dans l'équipe nationale après une absence de deux ans en raison de chirurgies à une hanche et pour des hernies.

Elle a marqué deux buts et amassé cinq passes dans les cinq rencontres du mondial féminin, à Ottawa, début avril. Le Canada a perdu en finale contre les États-Unis.


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LNH - «Véridique» -Jason Burns

On peut maintenant se plonger dans la vie de Pat Burns en français. La traduction de sa biographie parue en octobre dernier (Coach : the Pat Burns Story) s'intitule : « L'homme qui voulait gagner ».

« C'est un livre véridique, drette dessus. Ça représente bien le personnage qu'était Pat Burns », affirme le fils du célèbre entraîneur, Jason Burns.

Au fil des 407 pages de la biographie, Rosie DiManno expose les grands passages de la vie de Pat Burns : l'enfant orphelin de père, le policier, l'entraîneur coloré et l'homme miné par la maladie. DiManno a côtoyé Pat Burns dans le cadre de son travail de journaliste de sport dans les années 1990, alors qu'elle était affectée à la couverture des Maple Leafs de Toronto. Le parcours de Burns chez les Maple Leafs est d'ailleurs abondamment traité.

Questionné sur l'étrangeté de lire une biographie sur son propre père, Jason Burns répond : « Un collègue m'a aussi posé cette question et j'ai été surpris par cette question-là. Je ne m'étais vraiment jamais arrêté pour y penser, mais après ça, j'ai pris une petite minute et j'ai réalisé que c'est peut-être un peu spécial. Ça m'a fait sourire à bien des occasions. »

Le fils n'a pas appris de révélation sur son entraîneur de père, mais certains passages lui ont tout de même relayé certaines situations auxquelles il n'a pas eu accès.

« Moi, j'ai toujours aimé les anecdotes de police parce que c'était souvent comique. Ça me faisait bien rire. Tout ce qui se passait autour du hockey, ce sont aussi des choses qui me faisaient rire souvent! » a relaté le fils de Burns.

Tel père, tel fils

Ce projet de biographie a été présenté à Pat Burns quelque temps avant sa mort, survenue en 2010 à l'âge de 58 ans, après plusieurs années à s'obstiner avec le cancer. Il semblait plutôt favorable à l'idée.

Jason a aussi passé deux jours en compagnie de l'auteure pour apporter le reflet de sa relation avec son père. « Mon père, c'était un bon chum finalement. On s'appelait une ou deux fois par semaine. On pouvait jaser de tout et de rien. C'était vraiment comme on appelle un ami », se souvient Jason, avec tendresse.

Il existe de nombreuses similitudes entre Jason et son père. La ressemblance physique est indéniable et leurs choix de vie, tout aussi semblables. Jason est pompier à Gatineau depuis deux ans et il est un entraîneur dévoué dans les ligues mineures de la région.

Aurait-il été entraîneur sans avoir eu son père comme prédécesseur?

« Je pense que c'est quelque chose qui m'a été transmis. À part mon père, je ne viens pas d'une famille de hockey où c'était bien important. C'est quelque chose que j'ai pris de lui. Probablement pas. », juge-t-il.

La personnalité de Pat Burns a fait déferler toute une vague de qualificatifs tout au long de sa vie, comme flamboyant, cru, complexe, secret, charmeur et attachant. Il s'est passionné pour la moto et la musique country. Dans tout, il a été un autodidacte.

« Je suis fier du personnage. J'aimais beaucoup le personnage qu'il était. Celui du travail et aussi de la vraie vie. C'était deux personnes un peu différentes et tout ce personnage-là, je l'aimais beaucoup. C'était pratiquement toujours plaisant d'être avec lui. J'avais pas souvent l'occasion d'être avec lui, mais quand j'étais avec lui, je savourais tous les moments. »


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Athlétisme - Deux livres par athlète

Non seulement le marathon de Londres aura bel et bien lieu dimanche, mais les organisateurs n'oublieront pas les victimes du marathon de Boston.

Jeudi, les organisateurs ont annoncé que deux livres sterling (3,14 $CA) par athlète franchissant la ligne d'arrivée seront versées dans un fonds de soutien pour les victimes.

Les explosions de lundi à Boston ont fait 3 morts et 180 blessés.

Avec quelque 35 500 coureurs attendus à l'arrivée, les organisateurs s'attendent à un don de plus de 81 000 euros (127 000 $CA).

« Toutes les personnes ayant un rapport avec le marathon de Londres sont sous le choc des terribles événements de Boston et nous voulons apporter notre soutien aux familles des victimes et à nos amis de la communauté des coureurs là-bas », a déclaré le directeur du marathon de Londres, Hugh Brasher.

Son homologue de Boston Tom Grilk l'a remercié de son soutien.

« Nous n'oublierons pas le geste que les coureurs à Londres et les organisateurs du marathon de Londres feront dimanche. Au nom de tous, merci », a dit M. Grilk.

Trente secondes de silence seront observées avant le départ du marathon de Londres. De plus, les participants ont été invités à porter un crêpe noir.


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Lightning 2 - Canadien 3 - Le vent tourne

Trois tirs sur le poteau, un arrêt du derrière de la jambe, un avantage numérique au bon moment. Après trois matchs de misère, le Canadien était mûr pour quelques coups de chance.

C'est ce qui est survenu tout au long de la soirée et le Tricolore (27-12-5) l'a emporté 3-2 sur le Lightning de Tampa Bay (17-23-4), jeudi, à Montréal.

Une punition idiote à Benoît Pouliot tard en troisième période a ouvert la porte aux Montréalais. Avec 47 secondes à écouler, Brian Gionta a récupéré un retour de la bande pour semer l'hystérie dans le Centre Bell, et freiner la remontée du Lightning. Les Montréalais menaient 2-0 en fin de deuxième période, mais Richard Panik, puis Vincent Lecavalier, ont permis aux Floridiens de créer la parité.

Le Canadien met fin à une séquence de trois défaites de suite, qui coïncidait avec le moment où l'équipe a obtenu une place en séries.

Et après trois matchs au cours desquels le gardien partant n'a jamais terminé la rencontre, Carey Price a tenu le coup et a bloqué 32 tirs. Trois gaillards vêtus de rouge l'ont grandement aidé. On ne parle pas ici d'un trio en particulier du CH, mais plutôt de ses deux poteaux et de la barre horizontale, qui ont chacun arrêté une rondelle en première.

Du lot, la chance de Teddy Purcell, en tout début de match, a été la meilleure du Lightning, mais l'attaquant a été incapable de profiter d'une cage déserte. Ce même Purcell bénéficiait encore de plusieurs pieds carrés d'espace en troisième période, mais a bêtement tiré sur une jambière de Price.

« Il a rebondi, a reconnu Michel Therrien au sujet de son gardien. Il a fait des arrêts clés. Il a parfois été chanceux. Mais tu as parfois besoin de chance pour gagner. Tu as besoin de chances et de décisions au bon moment. C'est ce qu'on a eu et on en a profité. »

Price s'est aussi permis, en tout début de période médiane, un arrêt du mollet contre Martin St-Louis. Ce dernier a contourné Price, a suffisamment été patient pour le forcer à se coucher sur le ventre et a tiré, mais le numéro 31 a levé la jambe à temps.

« Tu as parfois de la chance. Martin est un bon joueur, je ne sais pas comment j'ai levé ma jambe », a admis Price.

Gio le héros, Pouliot le zéro

Pouliot, lui, a été coupable de l'accrochage le moins subtil de l'histoire sur P.K. Subban, à deux bras, en zone offensive de surcroit. Son filet a permis à Gionta d'inscrire son deuxième filet du match.

« On se passait bien la rondelle, a humblement répondu le capitaine, lorsque questionné sur son doublé. Les changements de trio ont provoqué des choses sur chaque unité. On a mis de la pression dans leur territoire et ça a rapporté. »

Dans l'autre vestiaire, Pouliot s'en voulait.

« C'est sûr, ils ont marqué, a lancé le Franco-Ontarien. Mais ça s'est passé vite. Parfois, la punition est appelée. Parfois, non. Cette fois, elle l'a été. »

Galchenyuk s'illustre dans l'ombre

Therrien cherchait une façon de secouer ses troupes et il l'a fait en brassant ses cartes. Il a donc employé Max Pacioretty dans un trio avec Brian Gionta et Tomas Plekanec, une décision qui a semblé fouetter Pacioretty. Même s'il n'a pas marqué, le numéro 67 a obtenu quatre tirs au but et a distribué trois mises en échec.

« J'ai aimé Pacioretty avec Plekanec et Gionta, ils ont bien fait ça », a jugé Therrien.

Therrien a aussi eu la main heureuse en réunissant ses deux prodiges, Alex Galchenyuk et Brendan Gallagher, et en leur donnant Lars Eller comme centre. Ce trio a ouvert la marque de façon inélégante en deuxième période quand Galchenyuk a poussé une rondelle libre devant le filet tout en tombant à la renverse.

Malgré ce succès, Galchenyuk a été le joueur le moins employé par Therrien et n'a passé que 8 min 21 s sur la patinoire.

« Ce sont des circonstances, a répondu Therrien. Dans certains matchs, tu y vas avec des confrontations. Ce soir, on voulait employer Plekanec contre Stamkos, ça demande beaucoup de temps de glace. »

Les chiffres donnent raison à l'entraîneur-chef. Stamkos a passé 23:29 sur la patinoire, contre 24:40 pour Plekanec. Et le deuxième buteur de la LNH a été tenu en échec.

Plekanec aura une autre mission de taille samedi. Cette fois, il devra contrer le meneur dans la LNH pour les buts, Alexander Ovechkin, et les Capitals de Washington.

À noter

  • Absent mercredi, Michael Ryder était de retour au jeu et a pris la place de Brandon Prust, qui a ainsi raté un deuxième match cette semaine. Prust sera à son poste samedi. On parle d'un congé préventif dans son cas.
  • Colby Armstrong, lui, a pris part à l'échauffement d'avant-match, mais n'a pas été retenu dans la formation. L'attaquant est absent depuis le 1er avril sur blessure à un genou. Il pourrait revenir samedi.
  • Therrien pourrait saluer un autre retour samedi : celui du défenseur Raphael Diaz. Le Suisse subira des tests vendredi pour confirmer qu'il est remis de sa commotion cérébrale.

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LNH - Résultats - Les Capitals trébuchent

Les Sénateurs ont infligé une première défaite en neuf matchs aux Capitals de Washington, jeudi, à Ottawa. Ils l'ont emporté par la marque de 3-1.

Kyle Turris (9e, 10e) a inscrit deux buts, le second dans un filet désert, et il a récolté du même coup son 100e point dans la LNH. Cory Conacher (11e) a compté le but gagnant pour les Sénateurs qui ont gagné leurs quatre derniers matchs. 

Dans la défaite, Mike Ribeiro (13e) a été le seul à déjouer Craig Anderson (18 arrêts), qui n'a accordé que trois buts à ses trois derniers départs.

Les Sénateurs ont tiré 37 fois en direction de Brian Holtby (35 arrêts). Ce gain leur permet de se maintenir au 6e rang dans l'Est, mais de s'approcher à un seul point des Maple Leafs, 5es.

Les Sénateurs et les Capitals croiseront le fer une dernière fois cette saison, dans une semaine à Washington, le 25 avril.

Islanders 5 - Maple Leafs 3

À Toronto, les Islanders de New York ont battu les Maple Leafs 5-3, jeudi soir.

Les Maple Leafs ont rapidement pris l'avance 2-0 en début de première période à l'aide du 9e but de Joffrey Lupul et du 4e de Cody Franson. Mais les Islanders ont conclu la période avec trois buts sans riposte. Brad Boyes (9e), Matt Moulson (15e) et John Tavares (25e) ont permis à New York de retourner au vestiaire avec une avance d'un but.

Tavares a ensuite marqué son 26e en deuxième période et Frans Nielsen (5e) a mis le match hors de portée de Toronto au début du dernier tiers. Dion Phaneuf (9e) a marqué l'autre but des Maple Leafs dans les dernières secondes de la rencontre.

Avec cette victoire, les Islanders s'approchent à deux points des Maple Leafs et du 5e rang dans l'Est.

Hurricanes 3 - Jets 4

À Winnipeg, Dustin Byfuglien (8e) a donné la victoire en prolongation aux Jets qui ont battu les Hurricanes de la Caroline 4-3.

À mi-chemin en troisième période, les Jets menaient 3-1 grâce à des buts de Zach Bogosian (4e), Paul Postma (4e) et Blake Wheeler (17e). Mais Tuomo Ruutu (1er, 2e) a marqué son deuxième du match et Alexander Semin (11e) a ensuite créé l'égalité avec moins de deux minutes à jouer.

Les Jets (23-19-2) remportent ainsi un cinquième match de suite, mais la victoire des Rangers de New York aux dépens des Panthers de la Floride les empêche de grimper au 8e rang. Winnipeg demeure 9e avec 48 points, le même nombre que les Rangers qui ont toutefois disputé un match de moins.

Ondrej Pavelec (24 arrêts) a obtenu sa 20e victoire de la saison.

Devils 3 - Flyers 0

À Philadelphie, les Devils du New Jersey ont battu les Flyers 3-0 et Martin Brodeur a finalement récolté la 667e victoire de sa carrière. Le deuxième blanchissage de la saison du gardien québécois est son 121e dans la LNH.

Brodeur (23 arrêts) avait perdu ses 10 derniers matchs.

Ryan Carter (5e) et Matt D'Agostini (3e) ont déjoué Ilya Bryzgalov tandis qu'Adam Henrique (11e) a complété dans un filet désert.

Les Devils s'accrochent à un bien mince espoir de participer aux séries. Les hommes de Peter DeBoer sont à six points du huitième échelon dans l'Est.

Panthers 1 - Rangers 6

Au Madison Square Garden, Mats Zuccarello (2e, 3e) et Derick Brassard (9e, 10e) ont compté chacun deux buts pour les Rangers qui ont défait aisément les Panthers de la Floride 6-1.

Rick Nash (18e) a récolté un but et deux passes et Henrik Lundqvist a bloqué 34 des 35 tirs dirigés contre lui. Jonathan Huberdeau (14e) a été le seul joueur des Panthers à le déjouer.

Canucks 1 - Stars 5

À Dallas, les Stars ont marqué quatre buts en troisième période pour vaincre les Canucks de Vancouver 5-1.

Après une première période sans but, l'attaquant des Canucks Derek Roy (6e) a ouvert le pointage au début de la deuxième. Vernon Fiddler (4e) a répliqué avant la fin de l'engagement.

Cody Eakin (7e), Jamie Benn (11e), Ray Whitney (11e) et Erik Cole (9e) ont trompé le gardien Cory Schneider (25 arrêts) dans un dernier tiers tout à l'avantage de l'équipe hôte. 

Kari Lehtonen a réalisé 37 arrêts pour les Stars, qui ont gagné 6 de leurs 7 derniers matchs.


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Canadien 4 - Penguins 6 - Défense offensante

Written By Unknown on Kamis, 18 April 2013 | 16.10

Marquer sept buts en deux matchs et subir deux défaites? L'unité défensive du Canadien est maintenant à ce point désorganisée.

Les Penguins (33-10-0) ont été la plus récente équipe à se payer un pique-nique aux dépens du Canadien (26-12-5) : un gain de 6-4, mercredi, à Pittsburgh.

Le Tricolore demeure embourbé dans sa pire séquence de la saison avec trois défaites de suite et quatre à ses cinq dernières rencontres. Michel Therrien dit souvent que la façon importe plus que le résultat, et disons qu'il ne sera pas rassuré : ses hommes ont perdu les 3 dernières rencontres par une marge totale de 10 buts.

Therrien n'a sans doute pas aimé non plus comment le meneur de sa brigade défensive, P.K. Subban, a réagi dans un moment sombre : en se battant avec Brenden Morrow, et surtout, en se permettant de narguer la foule après le combat. Et à son retour sur la glace, sa mauvaise conduite lui a valu une expulsion.

En plus de la façon, il y a le moment. L'équipe n'a plus que cinq matchs avant les séries pour rectifier le tir. L'avantage de la patinoire au premier tour, qui semblait acquis aussi récemment que la semaine dernière, n'est peut-être plus dans la poche. L'avance du CH sur les Maple Leafs de Toronto et la 5e place se chiffre à quatre points. Et les Leafs sont sur une lancée.

Les Penguins, eux, comptent maintenant 20 gains à leurs 22 dernières sorties. Leurs adversaires au premier tour des séries, quels qu'ils soient, peuvent déjà frémir : ils signent un deuxième triomphe d'affilée en l'absence de Sidney Crosby, Evgeni Malkin et James Neal. On parle ici d'une production totale de 41 buts et 117 points...

Un autre changement de gardiens

Pour une deuxième fois cette saison, Michel Therrien jouait gros en employant pour un duel au sommet son gardien numéro 2, Peter Budaj, plutôt que Carey Price, même si ce dernier vit des moments difficiles. La stratégie lui avait souri le 3 mars à Boston, mais pas cette fois.

Avec une défense aussi fragile, Budaj n'avait pas le droit à l'erreur et il a failli à la tâche dès la huitième minute, battu par un tir de Brandon Sutter qu'il aurait pu arrêter.

Il n'en fallait pas plus pour tourmenter le groupe d'arrières montréalais, particulièrement Josh Gorges, atroce au premier vingt. Morrow et Jarome Iginla ont profité de la confusion dans le territoire adverse pour donner une avance de 3-0 aux Penguins après 20 minutes.

Le CH a maintenant accordé 9 buts en première période à ses 3 derniers matchs, après en avoir permis seulement 16 dans les 40 premières rencontres de la saison.

Après avoir assisté à ce film d'horreur, Therrien a tenté de secouer sa troupe en envoyant Price dans la mêlée. Ç'a finalement été un coup d'épée dans l'eau puisque les Penguins ont ajouté deux filets, ceux de Morrow et de Sutter, chacun leur deuxième du match. Un généreux retour accordé par Price a aidé Morrow à marquer.

Les Montréalais ont au moins été capables d'ébranler Marc-André Fleury pendant cette période médiane, avec des filets de Brian Gionta et Alex Galchenyuk.

Et en troisième période, après le tout premier but dans la LNH de Gabriel Dumont, qui faisait 5-3, le Canadien avait repris vie. Mais la résurrection n'aura duré que 75 secondes et la malchance s'en est mêlée. Un tir banal de Douglas Murray a dévié sur Tomas Plekanec pour déjouer Price.

Les joueurs ne pourront pas se morfondre trop longtemps : le Lightning de Tampa Bay l'attend dès jeudi soir, à Montréal. Pour ceux qui cherchent une lueur d'espoir pour le Canadien, l'équipe affiche un dossier de 6-1-1 quand elle joue un deuxième match en deux soirs.

Reste à voir si le Canadien des 40 premiers matchs sera de retour à temps.

À noter

  • Le but de Jarome Iginla était son 1100e point dans la Ligue nationale.
  • Avec une passe sur le but de Morrow, Pascal Dupuis a obtenu un point dans un sixième match de suite (3-7-10). Morrow a quant à lui terminé sa soirée avec deux buts et une aide.
  • Michael Ryder, blessé, n'a pas affronté les Penguins et était remplacé par Brandon Prust dans le troisième trio. Dumont a pris la place de Ryan White, suspendu, dans la quatrième unité.
  • À la ligne bleue, Nathan Beaulieu a été laissé de côté au profit de Yannick Weber. Ce dernier a obtenu son premier point de la saison, une aide sur le filet d'Andrei Markov, inscrit avec 10 secondes à écouler.
  • Même s'il était sur la patinoire lors des quatre premiers buts des Penguins, Gorges a terminé la soirée avec un différentiel de -1.

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Boxe - Bute/Pascal - Dopage : pas de suspensions possibles

À la lumière des propos tenus mercredi par Yvon Michel, Jean Pascal et Lucian Bute ne s'exposent à aucune autre sanction en cas de dopage que la possible annulation du combat.

Selon les explications fournies par le patron de GYM, Groupe Yvon Michel et InterBox se sont entendus sur le choix d'une agence de prélèvements et des laboratoires qui analyseront les échantillons recueillis de façon inopinée.

« La compagnie avec laquelle on travaille n'est pas une compagnie qui cherche de la publicité. Il y a des compagnies américaines qui cherchent à se faire de la publicité sur le dos des athlètes. Nous savons que c'est une compagnie extrêmement compétente qui fera ce qu'il faut. Maintenant, on va parler de boxe dans les semaines qui viennent », a indiqué Michel.

Concernant la possibilité de voir Pascal ou Bute recevoir des sanctions qui les tiendraient à l'écart de la compétition pour une période prolongée (comme c'est le cas avec l'Agence mondiale antidopage), Michel a été très clair.

« Il n'y a pas de sanctions comme telles, parce qu'il n'y a aucun organisme autre que nous (GYM) et InterBox qui chapeaute l'événement. La seule sanction qu'il y aura est que si un des boxeurs se fait prendre il n'y aura pas de combat. Nous n'avons pas de juridiction au-delà de ça. »

L'Agence canadienne et l'Agence mondiale antidopage ont été sciemment tenues à l'écart.

Carte blanche

Il faut donc comprendre que GYM et InterBox ont le plein contrôle. Ils ont choisi qui fera les tests, ils se sont entendus sur le protocole (quels seront les tests administrés) et au final, ils se réservent probablement le droit de ne pas divulguer les informations liées à un test positif.

En fait, compte tenu des sommes en jeu pour les deux organisations, elles pourraient même décider de ne pas dévoiler les résultats et se contenter de dire que les deux boxeurs sont propres.

« Je suis convaincu que Jean Pascal est un athlète propre. Je suis convaincu que Lucian Bute est un athlète propre. On a mis sur pied une politique que l'on pourra réutiliser dans le futur pour les autres combats de championnats que l'on voudra présenter », a ajouté Michel.

Les coûts rattachés à cette pratique étant très élevés, il est loin d'être certain que l'on procéderait de cette façon pour un simple championnat canadien.

De son côté, l'entraîneur de Jean Pascal, Marc Ramsay, y voit quelque chose de positif.

« Ça nous rassure que les choses seront bien faites. Nous savons exactement ce que nos athlètes prennent. Qu'il soit question de produits comme des protéines, nos médecins nous disent avec quelle compagnie nous pouvons traiter pour être sûr à 100 % de ce que l'on achète. On suit cette liste à la lettre et on sait qu'il n'y aura aucun problème. »

Pendant ce temps, à Vegas...

Si Ramsay avait quelques inquiétudes au sujet de l'environnement de travail de Jean Pascal à Las Vegas, elles se sont vite dissipées dès les premières heures du camp d'entraînement.

« Vegas est une ville où il y a beaucoup d'action. Mais quand on connaît mieux Vegas ou quand on est un peu à l'extérieur, à part le Strip il n'y a pas grand-chose là-bas. Jean est concentré à 100 % sur son travail. Quand il est un peu nerveux ou qu'il fait face à un challenge, je l'ai perçu contre Chad Dawson où il n'était pas le favori, il devient à son meilleur. »

Ramsay ajoute que Pascal carbure à la pression et que ce combat local contre Bute est exactement ce qu'il lui faut.

La relation entre Pascal et Roy Jones fils prend une tournure intéressante.

« Jones est un type très brillant. Il n'essaie pas de passer par-dessus la tête de personne. Il sait comment travailler en équipe. Il s'adresse rarement directement à Jean. Il parle d'abord avec moi, avec Russ Anber ou avec mon assistant Luc-Vincent Ouellette. On met tout ça ensemble pour livrer un seul message à Jean Pascal. »

Issu de la boxe olympique, Ramsay dit avoir l'habitude de travailler en équipe. « Je laisse les gens dans leur champ d'expertise. Je me vois comme un directeur gérant. Je mets les gens en place. Chacun doit rester à son poste. »

Parions que même au Nevada, Marc Ramsay ne prêche pas dans le désert.


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